Laveuve du prince Alexandre (fils de Léopold III et Lilian Baels) a mis en vente le magnifique château qu’elle possède à Marche-en-Famenne (province de Luxembourg), dans la petite localité de Humain. Elle l’avait acquis en 2011. En février 2016, l’édition luxembourgeoise de "L’Avenir" écrivait que la Princesse avait entrepris Propriété des Grimaldi depuis un siècle et demi, Marchais, petit bijou de la Renaissance à 12 km de Laon, est un peu le jardin secret du prince Albert et de sa famille, un lieu de refuge et de ressourcement. Le château, pourtant, n’a pas été épargné par les bourrasques de l’Histoire. Au XIIe siècle, trois chevaliers d’Eppes, aux environs de Laon, partis en croisade et prisonniers du sultan du Caire, auraient été libérés et ramenés miraculeusement dans leur patrie. Afin de remercier le ciel, ils y établiront le culte d’une "Vierge noire", objet dès lors de nombreux pèlerinages, y compris de la part des souverains et de leurs épouses en mal d’ Marchais, non loin de cette basilique dédiée à "Notre-Dame de Liesse", s’élevait depuis le Haut Moyen âge, une motte féodale remplacée ensuite par un château-fort. Vers 1540, le descendant d’un des trois frères chevaliers, Nicolas de Boussu, alias Longueval, maître d’hôtel de François Ier, hérite la terre de Marchais de sa mère, Richarde de Losse. Bailli du Vermandois, gouverneur de Stenay et de Luxembourg, ce vaillant capitaine y fait bâtir une élégante demeure Renaissance, en briques et pierres, inspirée d’Azay-le-Rideau. Il y recevra le roi à plusieurs reprises, entre 1543 et la famille des ducs de GuiseAprès la mort de Nicolas de Boussu, Marchais passe à son fils Claude, qui ne tarde pas à le revendre au cardinal de Lorraine, Charles, archevêque de Reims, un prélat fastueux, qui le meuble somptueusement et le sertit dans un vaste parc. Les princes venus faire leurs dévotions à Notre-Dame-de-Liesse – Henri II, Catherine de Médicis, Charles IX – ne manquent jamais d’accepter l’hospitalité du seigneur de Marchais qui organise en leur honneur des réceptions cardinal succède son neveu, Henri Ier, duc de Guise, le fameux "Balafré". Toujours à intriguer et à guerroyer contre les protestants, celui-ci ne résidera guère à Marchais, même s’il y reçoit Henri III en 1582 et sa mère Catherine, l’année suivante. Après son assassinat, à Blois en 1588, son fils Charles, 4e duc de Guise, devient maître du domaine et du château qu’il laisse à l’abandon, préférant naviguer en sa qualité d’amiral des mers du Levant. Cependant, sa mère, Catherine de Clèves et son épouse, Henriette de Joyeuse, veillent sur ses château de Marchais, façade côté ouest. © akg-images / arkiviSon fils Henri II – 5e et dernier duc de Guise – qui hérite de Marchais à sa mort, en 1640, achèvera la déchéance de sa famille en conspirant contre Richelieu, qui le fait décapiter en effigie place de Grève, à Paris. Il est finalement dépouillé de ses propriétés au profit de sa sœur, la princesse Marie de Lorraine, ultime survivante d’une lignée qui se targuait de remonter à Charlemagne et avait brigué le trône de France. Néanmoins, cette Marie de Guise était une femme de caractère, dont Saint-Simon écrira qu’elle "tenait par ses biens et par son rang un grand état dans le monde". Elle s’emploiera à restaurer le château de Marchais et à secourir les paysans de l’endroit, ruinés par la Fronde et l’occupation passe de mains en mainsAu décès de Marie de Lorraine, en 1688, ses héritiers vont se déchirer en d’interminables chicanes. Marchais échoit à deux de ses lointaines cousines, Anne et Bénédicte, princesses palatines de Bavière. La première est mariée à Henri-Jules de Bourbon, fils du "Grand Condé", l’autre est duchesse douairière de Brunswick-Hanovre. Au siècle suivant, Marchais passera de mains en mains, sans être beaucoup habité, de Louis IV-Henri de Bourbon, 7e prince de Condé, à sa belle-sœur Mademoiselle de La 1738, celle-ci cède Marchais à un valet de chambre du dauphin, Georges-René Binet, de noblesse récente. Avisé et âpre au gain, Binet entreprend d’exploiter au mieux les terres et songe même à assécher les marais environnants pour augmenter la surface cultivable. Protégé par Madame de Pompadour, il se fait confirmer par Louis XV, l’érection de son fief en baronnie. Il marie son fils, Gérard Binet, avec une parente de la favorite, Elisabeth-Joséphine de La son hôtel de Versailles, "Madame de Marchais" tiendra l’un des salons littéraires les plus brillants de la fin de l’Ancien Régime. "Les auteurs célèbres dans tous les genres se faisaient présenter chez elle comme chez madame Geoffrin, rapporte Madame Campan dans ses Mémoires. Elle avait du crédit, surtout de l'influence lorsqu'elle sollicitait des voix pour les prétendants aux fauteuils de l'Académie. J'ai vu chez elle tous les gens célèbres du siècle, la Harpe, Diderot, d'Alembert, Duclos, Thomas, etc. […] Personne ne résumait un discours académique, un sermon ou le sujet d'une pièce nouvelle avec autant de précision et de grâces…"Le prince Rainier III avec ses filles Caroline, 9 ans, et Stéphanie, 1 an, au château de Marchais, en 1966. © Jacques Haillot/Sygma via Getty ImagesLorsque la baronne de Marchais s’éteint, deux fois veuve, en 1808, le château appartient déjà depuis sept ans à un paysan enrichi, un certain Aumont, marchand de chevaux qui souhaite y faire de l’élevage. Le domaine est très vite revendu au banquier Desprez, qui fait faillite. En 1811, l’un de ses créanciers, le comte de Pourtalès, écuyer de l’impératrice Joséphine, le rachète pour la somme de francs. Devenu chambellan du roi de Prusse après la chute de Napoléon, Pourtalès ne viendra que deux fois à Marchais et n’y sera même pas quand la duchesse de Berry y logera en mai 1821, lors de son pèlerinage à Notre-Dame de 1836, le comte Delamarre, lieutenant-colonel d’artillerie, fait l’acquisition de la demeure et de ses terres moyennant francs. À la fois fortuné et homme de goût Delamarre entreprend la restauration des bâtiments – peut-être parfois avec trop de zèle – et redécore les salons de meubles précieux, de tapisseries et de tableaux anciens. Hélas pour lui, des spéculations malheureuses l’obligent à se défaire du domaine en 1854. Monaco en Picardie depuis le XIXe siècleLe duc de Valentinois, futur prince Charles III de Monaco, est alors en quête d’une propriété dans le nord de la France, proche de la Belgique, pays natal de son épouse, la comtesse Antoinette de Merode, qui tombe sous le charme de Marchais… Le couple y fera chaque année de longs séjours. Charles III y terminera sa vie, le 10 septembre 1889, presque aveugle, ayant comblé la région de ses bienfaits et mené une existence austère, presque monacale, en compagnie de sa sœur, Florestine, veuve du duc d’Urach. C’est également à Marchais que son fils unique, Albert, s’était marié, le 21 septembre 1869, avec Marie-Victoire Douglas-Hamilton, fille d’un duc écossais et de la princesse Marie de Bade, petite-nièce de Joséphine de sera éphémère et le "prince navigateur" convolera en secondes noces, vingt ans plus tard, avec l’Américaine Alice Heine. Tous deux passeront souvent l’automne à Marchais, dont les chasses prestigieuses sont fréquentées par les plus hauts personnages de la gauche républicaine Jaurès, Clemenceau Millerand, car Son Altesse Sérénissime cultive la fibre progressiste…Pillé par les Allemands en 1918Durant la Première guerre mondiale, Marchais est situé à l’intérieur des lignes allemandes, à une quinzaine de kilomètres de la zone des combats. Le fils d’Albert Ier, le prince héréditaire Louis, officier dans l’armée française, craint pour le manoir et pour la sécurité de la population. Le 10 octobre 1914, sur le rapport d’un aviateur, il peut toutefois rassurer en partie son père "Le château est intact extérieurement, mais je crains, hélas, que l’intérieur ne soit pillé."Le Salon au Château de Marchais, crayon et aquarelle, par François Edme Ricois 1795-1881. Exécuté en 1852. © Christie's Images / Bridgeman ImagesDe fait, les forces d’occupation y installeront un poste d’état-major. Guillaume II, furieux que Louis, arrière-petit-fils d’un prince germanique, serve dans les rangs de l’ennemi, entend se venger en rançonnant les villageois et fait disposer des charges d’explosif pour abattre le bâtiment. Albert Ier répond au Kaiser par une lettre indignée, qui refroidit ses ardeurs. Marchais n’en sera pas moins saccagé et les Allemands lanceront six obus sur la chapelle du château, au cours de leur retraite précipitée, à l’automne de 1918. L’hiver suivant, la princesse Charlotte, fille et héritière désignée du prince Louis, organisera un centre de ravitaillement au bénéfice des 23 communes environnantes, n’hésitant pas à sillonner les routes enneigées de l’Aisne pour distribuer elle-même les II a voulu faire revivre MarchaisRestauré et remeublé, Marchais sert de cadre somptueux, le 18 mars 1920, au mariage de Charlotte avec le comte Pierre de Polignac. La princesse, vite désenchantée, s’y réfugiera après son divorce, prononcé en 1933, pour y "chercher désormais en toute simplicité, la paix de [sa] vie". Quant à son père, Louis II, il séjournera lui aussi le plus souvent dans son château picard, qu’il a fait relier par une ligne télégraphique directe avec son palais de Seconde guerre mondiale permettra à Charlotte de se dévouer à nouveau, en organisant une œuvre d’entraide pour les soldats du front. Le 16 mai 1940, son ambulance est détruite au cours d’un bombardement aérien, mais elle s’en sort indemne. Après la Libération, la mère de Rainier III poursuivra dans sa voie anticonformiste en installant à Marchais un centre de réinsertion sociale pour anciens prisonniers. C’est ainsi qu’elle se fera accompagner au mariage de Rainier et Grace, en 1956, par un curieux chauffeur René Girier – alias René la Canne – ex-bras droit de Pierrot le Fou, "gentleman cambrioleur" et spécialiste de l’évasion qu’elle héberge dans une villa proche du II a voulu faire revivre Marchais, quelque peu délaissé par son père, afin de disposer d’un "îlot de tranquillité" à l’abri des paparazzi et du clinquant de la Côte d’Azur. Il y passe quelques weekends l’été. Des parties de chasse ont lieu en septembre et février, même si le prince "écolo", amoureux de la nature sauvage, n’apprécie guère les armes à feu. Les 430 habitants du village, qui le voit passer en vélo ou boire un café au bar du coin, savent qu’il est là pour se reposer, et respectent son incognito. Eneffet, lorsque le prince Albert II se rend au château de Marchais avec sa femme Charlène et les jumeaux Jacques et Gabriella, ils n’hésitent pas à se mêler à la population du village Le roi Albert II et la reine Paola sont grands-parents de 12 petits-enfants. Le roi Albert II est également grand-père de deux petits-enfants supplémentaires, les enfants de la princesse Delphine. Delphine de Saxe-Cobourg révèle que la princesse Joséphine et le prince Oscar ont eu l’occasion de rencontrer le roi Albert II et de faire connaissance avec ce grand-père qu’ils ne connaissaient pas jusqu’à récemment. Lire aussi Delphine de Saxe-Cobourg Je suis monarchiste » À l’issue des combats de Delphine, sa rencontre avec son père Le 1e octobre 2020, la Belgique accueillait deux nouvelles princesses et un nouveau prince. La justice venait d’accorder à Delphine, fille naturelle du roi Albert II, le droit de porter le titre de princesse de Belgique. Sa fille Joséphine et son fils Oscar portent également le titre et le prédicat d’Altesse royale. La décision de justice était la dernière d’un long combat en reconnaissance de paternité de celle qui s’appelait autrefois Delphine Boël. Delphine est née en 1968, fille de la baronne Sibylle de Selys Longchamps et du prince Albert, prince de Liège, frère du roi Baudouin. Enfant non reconnue par son père biologique, le prince Albert étant marié à la princesse Paola et déjà père de trois enfants légitimes, l’époux de Sibylle la reconnaitra comme sa fille et lui donnera son nom, Boël. SAR Delphine de Saxe-Cobourg, princesse de Belgique Photo Delphine a grandi à Londres et est devenue une artiste accomplie avec ses œuvres poèmes qui sont de véritables exécutoires. En 1993, Albert succède à son frère sur le trône de Belgique. Dans un livre consacré à la reine Paola, sorti en 1999, l’existance de Delphine est dévoilée au grand jour. En 2013, elle entame ses premières démarches de reconnaissance de paternité en justice. Après des années de combats dans les tribunaux, Delphine obtient du roi Albert II, qui entretemps a abdiqué en 2013 en faveur de son fils Philippe, qu’il se soumette à un test de paternité. Le roi Albert II a reconnu Delphine comme sa fille en janvier 2020, puis il l’a rencontrée en octobre Photo Abacapress En janvier 2020, le roi Albert II reconnait officiellement à travers un communiqué laconique que Delphine est bien sa fille biologique. La dernière action en justice est menée par Delphine dans les mois qui suivent. Elle demande l’égalité de traitement avec ses demi-frères et sa demi-sœur le roi Philippe, la princesse Astrid et le prince Laurent, à savoir, porter le nom de leur père et porter les mêmes titres qu’eux. La Cour d’appel de Bruxelles a rendu son jugement en sa faveur, le 1e octobre 2021. En effet, la loi du 12 novembre 2015 concernant l’attribution du titre de prince de Belgique, ne précise pas que l’enfant doit être né dans le mariage pour obtenir le titre. BREAKINGNEWS Delphine Boël a aujourd’hui plaidé pour devenir princesse de Belgique et porter le nom de Saxe-Cobourg comme ses frères et sa sœur ». Histoires Royales ActusRoyales September 10, 2020 Cette loi indique simplement que les enfants et petits-enfants, issus de la descendance directe de Sa Majesté le Roi Albert II portent le titre de Prince ou de Princesse de Belgique à la suite de leur prénom et, pour autant qu’ils les portent, de leur nom de famille ». Par conséquent, les enfants de Delphine, aussi petits-enfants naturels du roi Albert II, obtiennent également le titre. La justice donne le droit à Delphine de porter le nom de Saxe-Cobourg, le nom d’origine de la famille royale, tel qu’il est mentionné dans la Constitution. Les deux enfants de Delphine, issus de son mariage avec Jim O’Hare, sont Joséphine O’Hare et Oscar O’Hare, princesse et prince de Belgique. Le roi Philippe a invité la princesse Delphine quelques jours après la dernière décision de justice de lui octroyé le titre de princesse de Belgique, en octobre 2020 Photo Palais Royal Quelques jours après cette ultime décision de justice, le roi Philippe fut le premier à tendre la main à sa demi-sœur. Le roi Philippe a invité la nouvelle princesse Delphine au château de Laeken, son domicile. Fin du mois d’octobre 2020, c’est le roi Albert II qui invitait à son tour Delphine à son domicile, le château du Belvédère. La reine Paola a assisté aux retrouvailles. Depuis lors, la princesse Delphine de Saxe-Cobourg a même été invitée à assister à la cérémonie officielle de la fête nationale, le 21 juillet 2021, aux côtés du prince Laurent et de la princesse Astrid. Le roi Albert II et la reine Paola ont également invité la princesse Delphine, fin du mois d’octobre 2020 Photo Palais Royal Jim O’Hare, la princesse Delphine, le prince Laurent, le prince Lorenz et la princesse Astrid lors de la fête nationale du 21 juillet 2021 Photo Mischa Schoemaker/ Lire aussi Philippe, Albert II, Astrid et Delphine se recueillent devant les tombes de leurs ancêtres dans la crypte royale Joséphine et Oscar O’Hare ont vu leur grand-père, le Roi Albert II Jusqu’à présent, une seule chose n’était pas connue les enfants de Delphine ont-ils aussi rencontré leur grand-père ? La réponse est oui. Alors que Paris Match accorde sa couverture à la disparition de Bernard Tapie, sa déclinaison belge a choisi la princesse Delphine pour faire sa couverture. À l’intérieur du magazine Paris Match Belgique, un entretien sur dix pages est à retrouvé dans l’édition belge du numéro du 7 octobre 2021. La princesse Delphine, qui vient de signer le nouveau ruban rose de Pink Ribbon après avoir customisé la Lamborghini Huracán d’Esteban Muth, a accordé un long entretien à Paris Match Belgique, à l’occasion de sa prochaine exposition chez Guy Pieters à Knokke. Dans cette interview, la fille du Roi Albert II revient sur cette année mouvementée, remplie de projets artistiques. La princesse Delphine a également pu aider les causes qui lui tiennent à cœur, en profitant de ce nouveau titre qui lui octroie un statut officiel et une attention médiatique particulière, bien qu’elle ne touche aucune dotation et que son agenda ne lui est pas imposé par le Palais. La princesse Delphine de Saxe-Cobourg inaugure le Fonds Prinses Delphine van Saksen-Coburg à l’hôpital de Gand Photo La journaliste Emmanuelle Jowa a interrogé la princesse Delphine à propos de sa rencontre avec son père, tant d’années après cet abandon, puis après des années de batailles dans les tribunaux. Elle a également voulu savoir ce que ses enfants pensaient d’avoir gagné par la même occasion un grand-père. Parler d’amour serait évidemment trop facile et prématuré», assure Delphine, qui révèle en même que Joséphine et Oscar ont vu le roi Albert II. Une rencontre qui s’est bien déroulée Je peux vous dire que mes enfants ont rencontré leur grand-père aussi et que ça s’est très bien passé. Ils étaient très heureux», explique Delphine. Ces quelques lignes ont rapidement intéressé la presse internationale car jusqu’ici on ignorait que l’ancien roi des Belges avait fait un pas vers ses petits-enfants. Le magazine allemand Bunte a même fait écho de cette interview. Delphine de Saxe-Cobourg, princesse de Belgique et son époux, Jim O’Hare, invités à se rendre dans la crypte royale de Laeken à l’occasion de la fête des morts de la famille royale Photo Danny Gys/Reporters/ La princesse Delphine précise que la rencontre était vraiment très émouvante pour eux». Elle ajoute que son père est un homme extrêmement sympathique» et qu’il l’a encore prouvé, et que le courant est bien passé». La princesse Joséphine et le prince Oscar ont très certainement été impressionnés par ce nouveau grand-père, bien qu’ils aient fait de leur mieux pour créer un lien, malgré une différence de génération évidente. Le roi Albert II a 87 ans. La princesse Delphine a 53 ans. Joséphine et Oscar ont 17 et 13 ans. Même si ce n’était pas gagné, ça s’est vraiment déroulé de façon fluide et agréable». L’article de Paris Match ne précise pas le contexte, le lieu ni la date de cette rencontre. La princesse Delphine révèle que ses enfants ont rencontré leur grand-père Photo Olivier Polet/Isopix/ Joséphine O’Hare, princesse de Belgique, fêtera ses 18 ans cette année. Elle fait partie de l’étonnante longue liste des princes et princesses d’Europe qui ont atteint la majorité en 2021. La suite nous dira si Joséphine souhaite, une fois adulte, elle aussi mettre à profit son titre de princesse de Belgique pour soutenir des causes chères à son cœur. Sera-t-elle une princesse aussi engagée que sa mère ? Pour lire l’entretien complet et exclusif de la princesse Delphine, accompagné de nombreuses photos inédites prises lors de l’interview, rendez-vous en librairie. L’abonnement à Paris Match peut se faire ici. Nicolas Fontaine Rédacteur en chef Nicolas Fontaine est rédacteur web indépendant depuis 2014. Après avoir été copywriter et auteur pour de nombreuses marques et médias belges et français, il s'est spécialisé dans l'actualité des royautés. Nicolas est aujourd'hui rédacteur en chef d'Histoires royales. nicolas Cest la première fois que le roi Albert, la reine Paola et la princesse Delphine apparaissaient ensemble en public. Rédaction 17-02-22, 11:41 Dernière mise à jour: 17-02-22, 14:36 Source: Belga

Ellea acquis le château d’Humain en 2011. Ce magnifique domaine vient d’être mis en vente, après des travaux de rénovation. C’est une superbe demeure de 3.000 m² que la princesse Léa de Belgique, veuve du prince Alexandre, vient de mettre en vente, nous révèlent nos confrères de La Libre. En 2011, elle était devenue

En1641, le cardinal Richelieu nomma son cousin, Jérôme de Camboult, gouverneur du site. Au début du XVIIIe siècle, la princesse de Conti récupéra le château en rachetant les droits du domaine. Le château, laissé alors aux bons soins des agents et des fermiers, se dégrada alors petit à petit. En 1780, le comte de Sérant fut nommé Commentaired'oeuvre : La Princesse de Clèves : structure de l’œuvre. Recherche parmi 274 000+ dissertations. • Exposition : évocation de la Cour des Valois ; la rencontre chez le joaillier entre Mademoiselle de Chartres et Monsieur de Clèves ; leur mariage. Elément perturbateur : coup de foudre entre la Princesse et le Duc, au bal au Le 1er site d’information sur l’actualité. Retrouvez ici une archive du 17 mai 1948 sur le sujet LA PRINCESSE ELIZABETH a visité ce matin le château de Versailles ZAl9H.
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