PoÚmecela+encore - 9 PoÚmes sur cela+encore. Poésie française. Liens; A Propos ; Poésie; Rechercher un poÚme; PoÚmes; PoÚtes; Nouveaux poÚmes; PoÚme cela+encore - 9 PoÚmes sur cela+encore 9 poÚmes 1 2 3 5 Phonétique (Cliquez pour la liste complÚte): cela celai celais celait celas celùt cel é cÚle celée celées celés cÚles cella cellas celle celles celui celui-là ciel
CƓur dĂ©truit L’amour ma quittĂ© Dans les profondeurs de mon cƓur Une brĂšche c'est crĂ©e Tu en Ă  profitĂ© pour t'Ă©chapper sans peur Doucement tu as filĂ© dans le vent Emportant avec toi tout mon bonheur d'aimer Sans Ă©tat d'Ăąme ni regret tu t'Ă©loigne lentement Dans l'espace tu te disperse sans te retourner Tu ne m’as pas laissĂ© le choix. J'ai laissĂ© Ă©chapper mon cƓur Il part Ă  la dĂ©rive il Ă  peur Normal il souffre il Ă  mal Il voudrait ne plus ressentir cette douleur. Cette chose lĂ  est impossible je le sais bien Car il contient tout l'amour que j'ai pour toi Je ne sais plus quoi faire car il est partagĂ© en deux Mon cƓur Ă  deux faces Il voudrait le rassurer Lui dire que ça vie n'est pas fini Mais le cƓur malheureux ne veut rien entendre Il c'est que pour lui ça vie est terminer. J’ai juste besoin d’un peu d’attention Te parler seul Ă  seul quelques instants Te dire ce que je pense, prononcer ton nom
 M’ouvrir Ă  toi, t’avouer mes sentiments Te dire Ă  quel point tu comptes pour moi Mon besoin de te protĂ©ger, de rester Ă  tes cĂŽtĂ©s Je ne veux que ton bonheur, restĂ© avec toi Dans ces bons moments et dans les pires, pour l’éternité  Toi mon ange, ma douce, ma reine
 Si envoutante, hypnotique, si sereine
 Belle comme le coucher de soleil Si belle, parfaite, tu n’as pas ta pareille. Aujourd'hui je suis pensive Tout aller bien puis d'un coup tout c'est fini A notre relation tu Ă  mis fin je ne comprend pas se qui m'arrive Sans aucune explication je n'avais plus de vie Tu es parti sans un mot Alors comment comprendre Ă  qui la faute Depuis se jour j'ai n'ai plus une minute de repos Je me pose mille et une questions sans avoir de rĂ©ponse Pourtant tout aller pour le mieux enfin je le pensĂ© Hier encore tu me disais je t'aime Mais aujourd'hui de toi je n'ai plus rien comme si j'avais jamais existĂ© Tu ne me donne aucun nouvelle tu ne me rĂ©ponds plus au tĂ©lĂ©phone M'a tu dĂ©jĂ  rayer de ta vie comme un vieux jouer qui ne t'amusĂ© plus La j'avoue que je sus un peut perdu. Vivre sans toi au dĂ©part Ă©tait trop dur Ă  supporter Mes larmes coulĂ©es sans cesse sans que je ne puisse les arrĂȘter Aujourd'hui ton absence me coute encore beaucoup Le temps passe et je ne t'oubli pas et je ne t'oublierais jamais Mes larmes coulent moins mais mon coeur saigne toujours autant. Le temps passe mais ne guĂ©ri pas les blessures de mon coeur Cela vas faire un an que tu Ă  disparut de ma vie Mais tu reste toujours prĂ©sent dans mon coeur. Toi, mon Ă©ternel absent, Toi mon ami, mon frĂšre. Mon Ăąme s'envole loin de cette terre Pour s'enrouler autour de ton souvenir. Toi, mon printemps Qui est venu mourir. Il n'y a plus de mots Pour habiter le vide de mes silences. Il ne reste que de vagues Ă©chos Pour habiller mon existence. Et pourtant, tu es lĂ , Toujours lĂ  et Ă  jamais, Toi, le seul, l'unique, Mon ange de lumiĂšre... Depuis cette date je suis devenu un clown triste. Je souris juste pour faire plaisir mais ça ne reste Qu'une façade. J'avance en douceur je pense que c'est par peur . Peur de faire souffrir ceux qui m’entoure. Bon j'arrive Ă  rire parfois Je ne le cache pas je ne suis pas toujours entrain de pleurer je rassure. Mais je reste avec cette Ă©trange sensation celle de ressentir Que je ne suis qu’une coquille vide. En une journĂ©e je perdu Tous mes repĂšres, toutes mes envies, en une journĂ©e j'ai vue ma vie changĂ©, elle c'est envolĂ© en fumĂ©e. J'ai pas comprit ce qui m’arrivĂ©. Tout s'Ă©croule en fait c'est simple c'est comme si j’étais Ă  l'abri Dans ma maison et que d'un seul coup les murs tomber et que Je me retrouve lĂ  plantĂ© sans comprendre ce qui m’arrivĂ©. Quand sera venu le jour de mon grand dĂ©part Je deviendrais ton ange cĂ©leste Pour t'aider Ă  ne pas pleurer, mais Ă  sourire Pour te rappeler les bons moments que nous aurions passĂ© De lĂ -haut je surveillerais que tu continue d'aimais Que tes moments de doutes ne sois qu'Ă©phĂ©mĂšre Que dans le cƓur d'une autre tu retrouve joie de vivre Car mon plus grand bonheur sera de continuer Ă  te voir heureux Et si un jour tu ressens de la tristesse en pensant Ă  moi LĂšve tes yeux vers le ciel et regarde les Ă©toiles Parmi une d'entre elle une sera la plus belle Ce sera moi qui te sourira et qui te diras combien je t’aime. Mais j'avoue que je ne t'ai pas retenu non plus Maintenant mon cƓur restera sans joie Il battra normalement sans superflu. Un jour elle Ă  rencontrĂ© son bel ange. Qui par la suite est devenu son bel amour. Aujourd'hui il se trouve parmi mes chers nuages. C'est souvent en silence que je pense Ă  lui et cela durera toujours. Chaque jour sont absence se fait ressentir mais je ne le dit pas. Je fais croire que je l'ai oubliĂ©. Mais non il reste lĂ  Ă  guider mes pas. Comment pourrais-je ne plus pensĂ©e Ă  cet ĂȘtre merveilleux Que j'ai rencontrĂ©. C'est vrai que je ne parle plus De lui par choix du sourire des miens. Mais en secret je rĂȘve au jour ou enfin je pourrais lui prendre la main. Souvent je voudrais que tout ceci ne soit qu'un mauvais cauchemar. Mais chaque matin la rĂ©alitĂ© me rattrape.
Jete souhaite une bonne chance pour la suite. Celle qui t’a aimĂ© et qui ne t’oubliera jamais. Celui qui te quitte mais qui ne t’oubliera pas. AmitiĂ© Je t’embrasse. Citation rupture chagrin d’amour – sĂ©paration pour ne plus souffrir 💔 Rompre pour cause de dĂ©part ou de trop grande distance
ï»żHors ligne 13 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chĂ©ri de t'aimer Ma douce Ă©ternitĂ© Cette nuit j'ai rĂ©vĂ© A tes baisers sucrĂ©s Je t'ai donnĂ© mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes dĂ©sirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai Ă©crit mon amour Je l'ai fait sans dĂ©tour Tu as criĂ© ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​ CARLAME InvitĂ© Hors ligne Hors ligne 13 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chĂ©ri de t'aimer Ma douce Ă©ternitĂ© Cette nuit j'ai rĂ©vĂ© A tes baisers sucrĂ©s Je t'ai donnĂ© mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes dĂ©sirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai Ă©crit mon amour Je l'ai fait sans dĂ©tour Tu as criĂ© ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​Douceur et amour , de magnifiques vers Gaby!😊 Hors ligne 13 Juillet 2019 Douceur et amour , de magnifiques vers Gaby!😊 Merci VĂ©ronique pour ton ressenti Bonne journĂ©e Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 Merci Carlame de ton passage marquĂ© Bonne journĂ©e Amicalement Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 AgrĂ©able lecture de bon matin, merci Gaby Merci personne et bonne journĂ©e Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 Merci personne et bonne journĂ©e Gaby Bon samedi Gaby o MaĂźtre poĂšte Hors ligne 14 Juillet 2019 coucou ma Gaby Quelle tendresse en toi ! A chaque fois tes sentiments me touchent ! Gros bisous de ta Rose * qui ne regarde poo le dĂ©filĂ© hĂ© hĂ© ! o MaĂźtre poĂšte Hors ligne 14 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chĂ©ri de t'aimer Ma douce Ă©ternitĂ© Cette nuit j'ai rĂ©vĂ© A tes baisers sucrĂ©s Je t'ai donnĂ© mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes dĂ©sirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai Ă©crit mon amour Je l'ai fait sans dĂ©tour Tu as criĂ© ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​ Hors ligne 14 Juillet 2019 coucou ma Gaby Quelle tendresse en toi ! A chaque fois tes sentiments me touchent ! Gros bisous de ta Rose * qui ne regarde poo le dĂ©filĂ© hĂ© hĂ© ! Moi je l'ai regardĂ© ma rose. Merci pour ta gentille apprĂ©ciation tendresse ma rose gros bisous Ta gaby Hors ligne 14 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chĂ©ri de t'aimer Ma douce Ă©ternitĂ© Cette nuit j'ai rĂ©vĂ© A tes baisers sucrĂ©s Je t'ai donnĂ© mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes dĂ©sirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai Ă©crit mon amour Je l'ai fait sans dĂ©tour Tu as criĂ© ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​pour quelle raison voulez vous souffrir gentille Gaby, prenez chaque jour de bonheur que la vie vous offre, dĂ©guster la, profitez-en , soyez heureuse et ne pensez pas aux jours tristes! votre Éole prend des forces, il grandit, il a beaucoup de pletites plumes sur ses jambres et jusque sur ses pattes, c'est un Marans Gris, ce sera un beau coq! Hors ligne 14 Juillet 2019 pour quelle raison voulez vous souffrir gentille Gaby, prenez chaque jour de bonheur que la vie vous offre, dĂ©guster la, profitez-en , soyez heureuse et ne pensez pas aux jours tristes! votre Éole prend des forces, il grandit, il a beaucoup de pletites plumes sur ses jambres et jusque sur ses pattes, c'est un Marans Gris, ce sera un beau coq! Merci Emie pour ton apprĂ©ciation mais ce n'est qu'un poĂšme Et merci pour les petites nouvellestructures d'Eole .Gaby
Écrirepour ne plus souffrir. 534 likes. Je souffre en silence et me defoule en ecrivant j'Ă©cris et cris -D Je souffre en silence et me defoule en ecrivant j'Ă©cris et cris -D Facebook
Ce dictionnaire contient 78 citations et pensĂ©es d'auteurs cĂ©lĂšbres français ou d'auteurs Ă©trangers sur le verbe quitter. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur quitter issus des quatre coins du monde Je prĂ©fĂšre des maitresses obscures, Ă  qui on offre des pendants d'oreilles en chrysocale, qu'on peut quitter sans façons le jour oĂč les yeux et le cƓur sont las, que de m'attacher. Victor Cherbuliez ; AprĂšs fortune faite 1896 L'homme est une ombre de Dieu. DĂšs que Dieu le quitte, il n'est plus rien, pas mĂȘme l'ombre d'une ombre. Alexandre Weill ; Le petit trĂ©sor d'esprit 1874 Quand on estime sa maĂźtresse, on la quitte. Quand on estime sa femme, on se rapproche d'elle ! Alexandre Weill ; Le petit trĂ©sor d'esprit 1874 Il ne faut jamais quitter son mari parce que cela fait trop de peine de le revoir. XimĂ©nĂšs Doudan ; Les pensĂ©es, essais et maximes 1880 La pensĂ©e de la mort nous fait songer Ă  ceux qu'on va quitter, Ă  ceux que l'on ne reverra plus. XimĂ©nĂšs Doudan ; Les pensĂ©es, essais et maximes 1880 Qui ne quitte la terre que de corps mĂ©rite bien d'y retomber pour toujours. Hypolite de Livry ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions 1808 Nos vices, quand nous les quittons, nous laissent des remords, et des regrets quand ils nous quittent. Gustave Vapereau ; L'homme et la vie 1896 Ce sont ceux qui ont le plus usĂ© de la vie qui ont le plus de peine Ă  la quitter. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 Rien de plus fatigant que les gens capricieux. On n'est jamais sĂ»r de trouver le lendemain ce qu'on a quittĂ© la veille. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 Il est mortifiant d'ĂȘtre quittĂ© par quelqu'un qu'on avait l'intention de quitter ; cela vous laisse du mĂ©contentement, de l'insatisfaction. On aime bien Ă©crire soi-mĂȘme l'Ă©pilogue des aventures amoureuses ; quand c'est l'autre qui le fait en vous prenant de vitesse, on reste sur l'impression dĂ©sagrĂ©able d'un roman ratĂ©. Jean Dutourd ; L'assassin 1993 On trouve une femme entre mille qu'on ne peut plus quitter. Anatole France ; Le Lys rouge 1894 On quitte son pays pour les mĂȘmes raisons qu'on quitte la maison de son pĂšre. FĂ©lix Leclerc ; Le calepin d'un flĂąneur 1961 J'ai toujours abondĂ© dans le sens de ceux qui m'ont quittĂ©. Au premier signe je leur donne raison. Il m'est impossible de combattre en ma faveur, ma fiertĂ© intĂ©rieure me le dĂ©fend. Henri-FrĂ©dĂ©ric Amiel ; Les fragments d'un journal intime 1821-1881 Pour ĂȘtre heureux de se retrouver, encore faut-il s'ĂȘtre quittĂ©s. Philippe Bouvard ; Bonsoir Madame ! Bonsoir Monsieur ! 2016 Une femme quitte moins aisĂ©ment ses pĂ©nates qu'un homme ; elle ne peut s'empĂȘcher de regretter le foyer perdu, oĂč elle avait ses habitudes, ses obligations quotidiennes, oĂč elle commandait Ă  la maisonnĂ©e, oĂč elle rĂ©gnait sur tout un petit monde. Jean Dutourd ; Le septiĂšme jour 1995 Il est aussi cruel d'ĂŽter Ă  un individu le droit de quitter son pays que de l'en exclure. Robert Sabatier ; Le livre de la dĂ©raison souriante 1991 S'Ă©loigner des gens heureux c'est comme quitter un climat qui serait bon pour la santĂ©. Jean Dutourd ; L'assassin 1993 Les vallĂ©es suivent fidĂšlement les fleuves, mais les fleuves, j'en suis sĂ»re, ont bien souvent envie de quitter les vallĂ©es. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 Lorsqu'on quitte une femme avec fureur, on la reprend presque toujours. Albert Guinon ; Le Figaro, le 7 mai 1910. On ne quitte pas un ange pour un diable. Alfred de Musset ; Un caprice 1837 Il n'est pas facile de plaquer sa famille, mĂȘme si les liens qui vous attachent Ă  elle sont trĂšs effilochĂ©s. Jean Dutourd ; Henri ou l'Ă©ducation nationale 1983 Il n'est pas d'amoureux qui ne soit mĂ©content de se voir quitter pour quoi que ce soit. HonorĂ© de Balzac ; Albert Savarus 1842 Un homme veut bien quitter une femme, mais il ne veut pas ĂȘtre quittĂ© par elle. HonorĂ© de Balzac ; Les femmes 1857 La maĂźtresse qui nous quitte quand nous l'aimons le mieux nous Ă©pargne des mois ou des annĂ©es de menues dĂ©sillusions. L'homme est ingrat pour ce service, comme pour les autres. Paul Bourget ; La physiologie de l'amour moderne 1889 Apprenez Ă  quitter un lĂąche qui vous quitte. Pierre Corneille ; La toison d'or, III, 3 1660 Dans les liaisons, qui sont les plus quittĂ©s Les hommes ? Les femmes ? À en juger par ce que j'ai pu voir, entendre, apprendre Les femmes. Paul LĂ©autaud ; Les propos d'un jour 1947 Il ne faut jamais vivre en commun avec sa maĂźtresse, c'est une grande sottise ! AprĂšs cela, on a toutes les peines possibles Ă  s'en dĂ©barrasser, et si enfin on se dĂ©cide Ă  la quitter, il faut toujours se rĂ©soudre Ă  faire l'abandon de son mobilier. Paul de Kock ; Une femme Ă  trois visages 1860 Nous tenons par tant d'attaches aux lieux oĂč nous avons vĂ©cu qu'il nous semble en les quittant plus facile de nous quitter. Marguerite Yourcenar ; Alexis ou Le traitĂ© du vain combat 1929 Si l'on ne quittait jamais nos amis, on Ă©prouverait pas le plaisir qu'on a de les revoir aprĂšs une longue absence. ÉlĂ©onore de Sabran ; Les lettres Ă  Stanislas de Boufflers 1778-1788 Que voulez-vous, vous ĂȘtes une trop ravissante petite personne pour qu'on puisse ne pas vous tenir rigueur, lorsque vous voulez qu'on vous quitte ! Sacha Guitry ; Le scandale de Monte-Carlo 1908
Quinous contempleainsinous entre-dĂ©chirer, Ce n'est plus un salut, non ! c'est un anathĂšme Que nous lui lanceronsavantque d'expirer. Comment! ne disposerde la Forceinfinie Que pour se procurerdes spectaclesnavrants, Imposerle massacre, infligerl'agonie, Ne vouloirsous ses yeux que mortset que mourants! Devantce spectateurde nos douleursextrĂȘmes
PoĂšte amateur depuis 2006 La PoĂ©sie. Entre vers, rimes et sonoritĂ©s douces, retrouvez ici l’ensemble de mes poĂšmes Ă©crits de 2006 Ă  aujourd’hui sur des sujets divers et variĂ©s. Certains de ces poĂšmes ont Ă©galement Ă©tĂ© mis sous forme de vidĂ©os. Que voulez vous ? Le matin se lĂšve La journĂ©e commence Le vent s’achĂšve Les branches rentrent dans la danse Les arbres frĂ©missent Le lierre coulisse L’eau fraĂźche s’éveille Les animaux sommeillent C’est tous les matins pareil La nature s’éveille Les animaux se reposent Bien avant la mĂ©tamorphose DorĂ©navant ce n’est plus possible Vous qui sembliez si invincible VoilĂ  ce que reflĂšte L’esprit de la conquĂȘte Vous n’auriez pas pu faire pire Que de choisir cette avenir Vous auriez pu ĂȘtre prĂ©voyant Et laisser dormir ce royaume luxuriant Vous avez rĂ©duit vos chances D’en assumer les consĂ©quences Il est temps de payer Le prix du passĂ© Vous ne faites que de cacher Une si Ă©vidente vĂ©ritĂ© Et C’est ainsi que mĂšre nature A condamnĂ© votre futur Vous osez maintenant dire Que vous prĂ©fĂ©rez mourir Vous prĂ©fĂ©rez ignorer Une nature blessĂ©e BlessĂ©e par la folie humaine AnĂ©antie par toute cette haine DĂ©vastĂ©e par la guerre PolluĂ©e vous avez rendu la terre Prenez en conscience Ne perdez pas confiance Nettoyez votre jardin Sacrifiez y vos mains Si tout ceci est fait Si tout le monde est respectĂ© Vous pourrez vivre heureux Alors tout sera harmonieux Joyeux anniversaire Cela fait presque deux ans Que tu as quittĂ© le monde des vivants Aujourd’hui c’est ton anniversaire Oui toi, mon pĂšre C’est ainsi un hommage Que je voudrais te rendre Toi qui Ă©tais si sage Repose Ă  jamais dans cette chambre On dit que les souvenirs s’effacent Alors je ferai en sorte Que les Ă©crits portent A jamais ta trace Je ne regrette pas ton dĂ©part Ainsi en a dĂ©cider ton destin Tu m’as laissĂ© du chagrin Mais j’ai pu dĂ©couvrir cet Art La vie est faite ainsi Parfois triste Parfois jolie Suivez en la piste Je pense que tu comprendras Que je ne m’attarde au dessus de toi Car je sais que tu n’es plus lĂ  Mais que tu es toujours autour de moi Il est temps de te dire Ă  bientĂŽt Toi que je retrouve dans mes mots Prends bien soin de toi Ou que tu sois Pticha Minuit a dĂ©jĂ  sonnĂ© Je devrais dĂ©jĂ  dormir Mais je prĂ©fĂšre t’écrire Toi qui as toujours su m’aider Attachante et amusante Protectrice et maternelle C’est ainsi un poĂšme Qu’à tes yeux je prĂ©sente Je me suis souvent confiĂ© Tu m’as toujours consolĂ© Tu sais me faire rire Mais aussi me rendre le sourire Pour finir Il faut que je te dise Pticha Que tu comptes beaucoup pour moi Et que je serai lĂ  pour te soutenir Ce jeune fou C’est l’histoire d’un jeune fou Qui se disait diffĂ©rent Il dĂ©testait tout Mais n’était pas mĂ©chant Il rĂ©flĂ©chissait sĂ»rement trop Mais peut ĂȘtre avait il raison Et c’est ainsi que chaque mots Renforçait sa conviction Il se sentait incompris Seul, il n’avait pas beaucoup d’amis Il ne voulait pas suivre le modĂšle De cette sociĂ©tĂ© si cruelle C’est l’histoire d’un jeune fou Qui se disait diffĂ©rent Il rejetait tout Et gardait sa tristesse en dedans Il ne croyait plus en rien MĂȘme plus en l’amour Qui pour lui court toujours Seule la tristesse lui faisait encore du bien Il se rĂ©fugiait derriĂšre une image Qui lui donnait espoir et courage Qu’un monde plus beau sur terre Existait et l’attendait sans toutes ces guerres C’est l’histoire d’un jeune fou Qui se disait diffĂ©rent Il ne comprenait plus Et pour lui tout semblait perdu Son Havre de paix trouvĂ© Il pourrait recommencer Ă  aimer Quitter ce monde pour toujours Et commencer une belle histoire d’amour Oriane Inexplicable est la vie IncomprĂ©hensibles sont les femmes Qui me fera changer d’avis Qui sera cette Ăąme Elles attendent toutes l’Elu Celui qu’elles auraient voulu Depuis toujours Serait-ce de l’amour EnfermĂ©es dans leur monde Elles ne voient pas leur vie DĂ©filer par seconde Dans ce monde qu’elles fuient RĂ©actions inexpliquĂ©es Sentiments Ă©loignĂ©s CompliquĂ©es elles sont Belles elles resteront Absence Je t’aime Toi qui n’es pas lĂ  Toi qui j’espĂšre sera Le pourquoi de ce poĂšme Pourquoi t’écrire Toi que je ne connais pas Pourquoi souffrir Alors que tu n’es pas lĂ  Avoir envie d’aimer Sans jamais n’y avoir goĂ»tĂ© Savoir souffrir Pour qu’elle puisse sourire Le moindre de tes mots Serait si beau Si jamais tu Ă©tais lĂ  Toute proche de moi Caroline Peut ĂȘtre pas inspirĂ© par un cadeau Je prĂ©fĂšre t’écrire ces quelques mots Juste pour te faire sourire Sans risquer le pire C’est donc un poĂšme que j’ai choisi En espĂ©rant qu’il te plaira MĂȘme si je trouve que celui-ci N’est pas assez grand pour toi Ce ne sont que des mots Peut ĂȘtre ont-ils un sens pour toi Ils naissent et meurent ici ou lĂ  Coulant comme un filet d’eau Je ne peux que te souhaiter une bonne journĂ©e En espĂ©rant que tu arriveras Ă  me supporter Saches que tu peux compter sur moi N’importe oĂč, n’importe quand et pour n’importe quoi Pterozorus Ô Grand Pteroz Toi qui es cause De toute cette fureur Qui jaillit Ă  toute heure De tout ce courage PrĂ©sent Ă  tout Ăąge De toute cette joie Qui coule en moi AprĂšs tant d’efforts A combattre plus fort Nous sommes maintenant Le plus grand de tous les clans UsĂ©s ou mĂȘme fatiguĂ©s Nous ne serons jamais dĂ©couragĂ©s Nous combattrons sans cesse Sans connaitre de faiblesse Premier signe Illusion ou prĂ©sage Je ne peux en ĂȘtre sur Mais sur la Lune J’ai vu ton visage Tu m’observais Par cette nuit d’étĂ© Heureux Quelque part dans les cieux Minuit a dĂ©jĂ  sonnĂ© Et tu viens de te rĂ©veiller Au-dessus de cette illusion DerriĂšre laquelle se cache la crĂ©ation Cette petite fenĂȘtre Toute blanche et lumineuse Ou tu as pu glisser ta tĂȘte Par cette nuit ombrageuse Naheulbeuk Entre deux tartines de beurre Est arrivĂ© un raider Sous un peu de confiture S’est installĂ©e l’aventure Une Ă©quipe de bras cassĂ©s Pour une stupide Ă©popĂ©e TaillĂ©s pour la couture Plutot que l’aventure Pour quelques piĂšces d’or Ils dĂ©fieront leur destin En croisant la mort Surtout le nain Ilrestera de toi ce que tu as perdu. Que tu as attendu plus loin que les rĂ©veils, Ce que tu as souffert, en d’autres revivra. Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera. Il restera de toi une larme tombĂ©e, Un sourire germĂ© sur les yeux de ton coeur. Il restera de toi ce que tu as semĂ©. 29 poĂšmes <13456PhonĂ©tique Cliquez pour la liste complĂšte caca cacao cacaos cacaotĂ© cacas cagot cahot cahotĂ© caĂŻd caĂŻeu caĂŻque caĂŻques cake cakes caoua caouas caqua caquai caquais caquait caquas caquĂąt caque caquĂ© caquĂ©e caquĂ©es caques caquĂ©s caquet ... Au vieux roi de ThulĂ© sa maĂźtresse AdĂšle Avait fait en mourant don d'une coupe d'or, Unique souvenir qu'elle lui laissait d'elle, Cher et dernier trĂ©sor. Dans ce vase, prĂ©sent d'une main adorĂ©e, Le pauvre amant dĂšs lors but Ă  chaque festin. La liqueur en passant par la coupe sacrĂ©e Prenait un goĂ»t divin. Et quand il y portait une lĂšvre attendrie, DĂ©bordant de son coeur et voilant son regard, Une larme humectait la paupiĂšre flĂ©trie Du noble et doux vieillard. Il donna tous ses biens, sentant sa fin prochaine, Hormis toi, gage aimĂ© de ses amours Ă©teints ; Mais il n'attendit point que la Mort inhumaine T'arrachĂąt de ses mains. Comme pour emporter une derniĂšre ivresse, Il te vida d'un trait, Ă©touffant ses sanglots, Puis, de son bras tremblant surmontant la faiblesse, Te lança dans les flots. D'un regard dĂ©jĂ  trouble il te vit sous les ondes T'enfoncer lentement pour ne plus remonter C'Ă©tait tout le passĂ© que dans les eaux profondes Il venait de jeter. Et son coeur, abĂźmĂ© dans ses regrets suprĂȘmes, Subit sans la sentir l'atteinte du trĂ©pas. En sa douleur ses yeux qui s'Ă©taient clos d'eux-mĂȘmes Ne se rouvrirent pas. Coupe des souvenirs, qu'une liqueur brĂ»lante Sous notre lĂšvre avide emplissait jusqu'au bord, Qu'en nos derniers banquets d'une main dĂ©faillante Nous soulevons encor, Vase qui conservais la saveur immortelle De tout ce qui nous fit rĂȘver, souffrir, aimer, L'oeil qui t'a vu plonger sous la vague Ă©ternelle N'a plus qu'Ă  se coupe du roi de ThulĂ© PoĂšmes de Louise AckermannCitations de Louise AckermannPlus sur ce poĂšme Voter pour ce poĂšme 173 votesDans tout l'enivrement d'un orgueil sans mesure, Ébloui des lueurs de ton esprit bornĂ©, Homme, tu m'as criĂ© Repose-toi, Nature ! Ton Ɠuvre est close je suis nĂ© ! » Quoi ! lorsqu'elle a l'espace et le temps devant elle, Quand la matiĂšre est lĂ  sous son doigt crĂ©ateur, Elle s'arrĂȘterait, l'ouvriĂšre immortelle, Dans l'ivresse de son labeur? Et c'est toi qui serais mes limites derniĂšres ? L'atome humain pourrait entraver mon essor ? C'est Ă  cet abrĂ©gĂ© de toutes les misĂšres Qu'aurait tendu mon long effort ? Non, tu n'es pas mon but, non, tu n'es pas ma borne A te franchir dĂ©jĂ  je songe en te crĂ©ant ; Je ne viens pas du fond de l'Ă©ternitĂ© morne. Pour n'aboutir qu'Ă  ton nĂ©ant. Ne me vois-tu donc pas, sans fatigue et sans trĂȘve, Remplir l'immensitĂ© des Ɠuvres de mes mains ? Vers un terme inconnu, mon espoir et mon rĂȘve, M'Ă©lancer par mille chemins, Appelant, tour Ă  tour patiente ou pressĂ©e, Et jusqu'en mes Ă©carts poursuivant mon dessein, A la forme, Ă  la vie et mĂȘme Ă  la pensĂ©e La matiĂšre Ă©parse en mon sein ? J'aspire ! C'est mon cri, fatal, irrĂ©sistible. Pour crĂ©er l'univers je n'eus qu'Ă  le jeter ; L'atome s'en Ă©mut dans sa sphĂšre invisible, L'astre se mit Ă  graviter. L'Ă©ternel mouvement n'est que l'Ă©lan des choses Vers l'idĂ©al sacrĂ© qu'entrevoit mon dĂ©sir ; Dans le cours ascendant de mes mĂ©tamorphoses Je le poursuis sans le saisir ; Je le demande aux cieux, Ă  l'onde, Ă  l'air fluide, Aux Ă©lĂ©ments confus, aux soleils Ă©clatants ; S'il m'Ă©chappe ou rĂ©siste Ă  mon Ă©treinte avide, Je le prendrai des mains du Temps. Quand j'entasse Ă  la fois naissances, funĂ©railles, Quand je crĂ©e ou dĂ©truis avec acharnement, Que fais-je donc, sinon prĂ©parer mes entrailles Pour ce suprĂȘme enfantement ? Point d'arrĂȘt Ă  mes pas, point de trĂȘve Ă  ma tĂąche ! Toujours recommencer et toujours repartir. Mais je n'engendre pas sans fin et sans relĂąche Pour le plaisir d'anĂ©antir. J'ai dĂ©jĂ  trop longtemps fait Ɠuvre de marĂątre, J'ai trop enseveli, j'ai trop exterminĂ©, Moi qui ne suis au fond que la mĂšre idolĂątre D'un seul enfant qui n'est pas nĂ©. Quand donc pourrai-je enfin, Ă©mue et palpitante, AprĂšs tant de travaux et tant d'essais ingrats, A ce fils de mes vƓux et de ma longue attente Ouvrir Ă©perdument les bras ? De toute Ă©ternitĂ©, certitude sublime ! Il est conçu ; mes flancs l'ont senti s'agiter. L'amour qui couve en moi, l'amour que je comprime N'attend que Lui pour Ă©clater. Qu'il apparaisse au jour, et, nourrice en dĂ©lire, Je laisse dans mon sein ses regards pĂ©nĂ©trer. - Mais un voile te cache. - Eh bien ! je le dĂ©chire Me dĂ©couvrir c'est me livrer. Surprise dans ses jeux, la Force est asservie. Il met les Lois au joug. A sa voix, Ă  son grĂ©, DĂ©couvertes enfin, les sources de la Vie Vont Ă©pancher leur flot sacrĂ©. Dans son Ă©lan superbe Il t'Ă©chappe, ĂŽ MatiĂšre ! FatalitĂ©, sa main rompt tes anneaux d'airain ! Et je verrai planer dans sa propre lumiĂšre Un ĂȘtre libre et souverain. OĂč serez-vous alors, vous qui venez de naĂźtre, Ou qui naĂźtrez encore, ĂŽ multitude, essaim, Qui, saisis tout Ă  coup du vertige de l'ĂȘtre, Sortiez en foule de mon sein ? Dans la mort, dans l'oubli. Sous leurs vagues obscures Les Ăąges vous auront confondus et roulĂ©s, Ayant fait un berceau pour les races futures De vos limons accumulĂ©s. Toi-mĂȘme qui te crois la couronne et le faĂźte Du monument divin qui n'est point achevĂ©, Homme, qui n'es au fond que l'Ă©bauche imparfaite Du chef-d'Ɠuvre que j'ai rĂȘvĂ©, A ton tour, Ă  ton heure, if faut que tu pĂ©risses. Ah ! ton orgueil a beau s'indigner et souffrir, Tu ne seras jamais dans mes mains crĂ©atrices Que de l'argile Ă  Nature Ă  l’Homme PoĂšmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poĂšme Commenter le poĂšme Imprimer le poĂšme Envoyer Ă  un ami Voter pour ce poĂšme 939 votes<13456Les poĂšmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poĂštes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z ilfaut comprendre une fois pour toute que ce sentir bien ne peut venir que de nous de notre vouloir sincĂšre Par marie-reine+mĂ©heri, le 21.12.2016 tu sais la vie c'est vraiment de la merde, je le sais, tu le sais, tout le monde le sais. je suis aussi isolĂ© Par Anonyme, le 23.07.2015 tu sais..? certe s, je ne te connais pas, et tu ne me poĂšmes de tristesse C'est marrant, on se trouve toutes les bonnes raisons de s'interdire d'aimer, Par peur de souffrir, d'ĂȘtre abandonnĂ© un jour. Et pourtant qu'est-ce qu'on aime la vie, Alors qu'on sait qu'elle nous quittera un jour. Je t'ai rencontrĂ©, on est devenus amis, on s'est rapprochĂ©, Notre amitiĂ© s'est transformĂ©e en amour, on Ă©tait heureux, La jalousie nous a Ă©loignĂ©s, on s'est quittĂ©, on se parle plus...Mais ce que je peux dire c'est que depuis le dĂ©but Je t'aime. je te laisse dans les bras de cette nuit, Je laisse les Ă©toiles veillĂ© sur toi, Je te confie a eux jusqu’à ce que le soleil se lĂšve Et prend la relevĂ©, et le moment venue Je prendrai soin de toi. La joie et la tristesse sont toutes deux des chaĂźnes ; L’une est en or et l'autre est en fer, Mais elles sont Ă©galement faites pour nous enchaĂźner Et nous empĂȘcher de rĂ©aliser notre vraie nature. Je me souviens encore de ses mains, de son parfum. Je me souviens de tout ce qu'il m'a dit, de ce qu'il m'a Ă©crit. Je me souviens de tout, Le problĂšme est lĂ  Avec des souvenirs comme ça, je ne l’oublie pas! Mon Ăąme a une grande faiblesse Dans mon cƓur, est gravĂ©e une tristesse On cherche toujours de la tendresse OĂč peut-on trouver alors la caresse D'un amour et d'une politesse Sans avoir aucune adresse. Tu sais que je suis triste sans toi, Je suis malade quand je ne te vois pas, Je pleure quand on ne se parle pas. Mon bĂ©bĂ© ne m'abandonne jamais, Tu vois combien je souffre sans toi. Je peux perdre tout ce que j'ai, Mais je ne veux plus jamais perdre quelqu'un comme toi dans ma vie, Tu es la raison pour laquelle je ris, Je souris et je pleure tu es mon cƓur je t'aime trĂšs fort. Mon cƓur cri de douleur Il hurle mes souffrances Mais tu ne les entends pas Les entendras tu un jour??? Avant qu'il ne soit trop tard??? Que la mort me prenne Et m'emporte pour toujours. Sans toi mon sourire n'a plus de valeur Je t'aime et je t’attends au chaud sous ma couette Je fais des cauchemars de plus te revoir. Je pleure je pleure loin de toi je fais que sa... Avec toi c'est le paradis c'est magique Ă  bientĂŽt ta petite femme qui t'aime.
Jene veux plus souffrir Mais je ne veux pas vous quitter Je vous aime trop Que choisir Une vie triste en compagnie d'amis? Ou la mort Avec les miens qui sont perdu? Je ne veux plus souffrir Mais pourquoi? Pourquoi es-ce si difficile? Tu n'as qu'Ă  m'appeler À cet instant prĂ©cis Et je te le jure Je vais ranger ce couteau Pour ne plus jamais y toucher Je ne veux plus souffrir Mais j'ai
Mon cher ALCOOL ce soir je te quitte » C’est comme une guerre qui est finie mais qui a laissĂ©e tellement de traces, Que l’on ose plus vivre de peur qu’elle ne refasse surface C’est comme un amour interdit qui se vit dans le silence A trop t’aimer j’en ai perdu le sens de ma rĂ©alitĂ©, j’ai perdu le contrĂŽle de ma vie, j’ai brulĂ© tous les feux rouges, j’ai fait Ă©clatĂ© ma colĂšre envers tous ceux que j’aime
 Et me voilĂ  encore lĂ , servile et fragile Ă  arborer ma plus belle plume pour te dire que je n’en peux plus. Ton amour m’étouffe, tu as possĂ©dĂ© mon esprit et mon corps et moi dans l’inconscience de ma dĂ©tresse je t’ai laissĂ© faire Si l’on m’avait dit que tu Ă©tais si nocif peut-ĂȘtre que je ne t’aurais jamais confiĂ© toutes mes peines, peut-ĂȘtre que j’aurais acceptĂ© plus tĂŽt d’en parler, sĂ»rement que je ne serais pas lĂ  aujourd’hui Ă  t’écrire Tout cela pour te dire qu’entre nous tout se termine ce mardi 16 aoĂ»t 2016 Mon cher ALCOOL ce soir je te quitte » Je ne peux plus vivre dans ton ombre, penser Ă  toi sans cesse, m’évanouir dans tes bras chaque soir, oublier ce que je veux, voir mon corps se transformer, voir mon cƓur se noircir, voir mes amis partir, ma famille me haĂŻr et tous mes soleils s’éteindre Je ne veux plus que tu brises tous ces rĂȘves qui m’animent depuis l’enfance, plus de tes angoisses matinales qui m’empĂȘchent d’entrevoir la beautĂ© de chaque journĂ©e, plus de ton refrain lancinant qui me renvoie sans cesse vers le passĂ©, mes erreurs et mes secrets les plus sombres Tout ce que j’ai fais sous ton emprise, tous ce que tes abus m’ont apportĂ©s comme malheurs, combien tes abus ont erronĂ©s le peu d’estime en moi qu’il me restait Ce soir je ne supporte pas l’idĂ©e que tu diriges ma vie, mes Ă©motions, mes nerfs, ma fatigue, mes trous noirs, ce dĂ©sir de rien qui me submerge Ă  chaque fois que je te croise, ce dĂ©sir de s’effacer pour arrĂȘter de faire souffrir ma famille, ce dĂ©sir de disparaĂźtre Ma libertĂ© de penser, positiver, avancer, relativiser s est arrĂȘtĂ©e le jour oĂč tu m’as fait perdre le contrĂŽle, le jour oĂč tu es devenu une habitude malsaine et non un plaisir, le jour oĂč Ă  chaque rĂ©veil j’étais effrayĂ©e et tĂ©tanisĂ©e ne sachant pas ce que j’avais fait ou dit la veille, le jour oĂč j’ai dĂ©passĂ©e les bornes, agressĂ©e ma mĂšre le pilier de ma vie, ce jour oĂč je suis devenue une Ă©trangĂšre Depuis toi, depuis nous, depuis cette addiction je suis devenue une Ă©trangĂšre dans le corps d’une autre dont le cƓur est empli d’amertumes et de pourquoi, je suis devenue une solitaire sans cƓur incapable de s’ouvrir aux autres, je suis devenue insensible et cruelle tant tu monopolises mon Ă©nergie et mes doutes. VoilĂ  ma lettre d’adieu Ă  l’alcool pleine de reproches car il m’est plus facile Ă  ce stade de rejeter toutes mes fautes sur lui, ce produit festif et facile d’accĂšs dans nos magasins. Ma lettre d’adieu Ă  celui qui m’a accompagnĂ© pendant plus de trois ans. Celui qui au delĂ  de l’ivresse, cette fuite en avant, ce suicide inconscient m’a aidĂ© Ă  fermer ce livre ou plutĂŽt refuser ce verre, cette dĂ©pendance insidieuse et mondaine m’as appris que rien n’est irrĂ©versible, que rien n’est impossible, que la honte que nous portons avec ce mot alcoolique » n’est en rĂ©alitĂ© qu’une bataille de plus que nous pourrons gagner contre nos dĂ©mons intĂ©rieurs, contre nos croyances figĂ©es, contre notre malaise. Je souhaite Ă  tous ceux qui lisent mon tĂ©moignage de trouver la paix, l’aide extĂ©rieure ou divine, de concrĂ©tiser vos rĂȘves, de prendre la conscience de vous mĂȘme malgrĂ© les difficultĂ©s du sevrage et du changement. J’espĂšre que mon tĂ©moignage sous forme de lettre de rupture vous aidera
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