SYMBOLIQUEDES MAUX DU CORPS « Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime! » Corps Ă  Coeur est un lieu oĂč les messages du corps sont Ă©coutĂ©s et pris en compte. Le corps n’est pas juste un « instrument » ou un « vĂ©hicule »,

AncĂȘtre SacrĂ© Tortueux et majestueux Ses branches ont suivi Les rayons chaleureux Le souffle du vent et la pluie Ses couleurs enchantent La forĂȘt et ses secrets Ses feuilles chantent Vibrant sous les feux follets Le soleil Ă©tincelle Ă  travers son voile Transperçant son incroyable majestĂ© Dame nature accrochant son Ă©toile Comme un messager couronnĂ© Il n’y a pas de plus belle capture Que la beautĂ© sacrĂ©e de cet ancĂȘtre Qui d’aventures en aventures À braver toutes les tempĂȘtes © LouMiss Image Portland-Japanese-Garden-Photography-Cropped-for-Pinterest-by-Michael-Matti- L'Ă©lu Dans un frĂ©missement lĂ©ger Un effleurement abandonnĂ© Il s'est senti attirĂ© Par cette beautĂ© plumĂ©e Elle, si belle, si pure Au milieu de cette nature La main, lui a tendu Surpris, s'est posĂ©Et depuis, est devenu L'Ă©lu de son cƓur Papillon porte-bonheur L'ange lui confĂšre force et courage L'Ă©phĂ©mĂšre y a gagnĂ© un autre Ăąge DĂ©sormais liĂ©s Ă  jamais Immortels, ils sont fusionnels L'Ă©phĂ©mĂšre la vĂ©nĂšre Dans un envol Ă©blouissant Vers les Ă©toiles tourbillonnant Ils s'Ă©tourdissent en s'aimant Rejoignant infiniment le firmament Elea Laureen © Image du Net Quelle importance ? Qui es-tu ? Toi, l'inconnue Cette incongrue ∞ Je ne te connais Ni d'Adam ni d’Ève Et parfois, tu m'achĂšves ∞ Sans raison, aucune Juste pour l'infortune D'avoir croisĂ© ta lune ∞ Que cache cette haine ? Pourquoi faire tant la peine ? Ce plaisir te rend se Reine ? ∞ Si seulement tu pouvais voir Ton Ăąme et son reflet noir Tu te cacherais dans un placard ! ∞ J'en ai croisĂ© des esprits sombres Bien cachĂ©s dans leur pĂ©nombre Cafards essayant de corrompre ∞ AttirĂ©s par cette douce lueur Est-ce l'espoir qui leur fait peur ? Ou le courage qui les fait bondir de torpeur ? ∞ Petits esprits nourris par le mal Gardez pour vous votre arme fatale Car trop enjouĂ©e, je vous ignore au final ! ∞ Dans l'ombre et l'ignorance Le malin n'a plus d'existence Alors quelle importance ... Je te love Je t'aime, j'aime ces moments Ces doux instants de tendresse Toi et moi en pure finesse Je te love de ces tourments Je te love de ces mots d'amour J'aime tes mains de velours J'aime sentir tes battements Mes pupilles qui te titillent Un partage fantasmagorique Spasmes ascensionnels fĂ©eriques © LouMiss Kamikaze Il a encore frappĂ© En toute impunitĂ© CachĂ© dans la salle ArmĂ© pour "sa" bataille MystifiĂ© par de faux prĂ©textes Son humanitĂ© a disparu Ne reste plus qu'un ĂȘtre Dont l'Ăąme a Ă©tĂ© vendue Ignorant, en chien fou Ce dĂ©mon creuse son trou S'explosant parmi nous Pour des raisons floues Pourquoi cette violence Pourquoi cette vengeance Pourquoi verser le sang De tous ces innocents Sont-ils satisfaits d'eux D'avoir encore mis le feu Si cruelle est la bombe Ils creusent eux mĂȘme leur tombe Mais ne baissons pas les yeux Restons unis face Ă  ces pernicieux Ces barbares sanguinaires Finiront tous en enfer Alors ce soir, en mĂ©moire A ces victimes de Manchester Qui ont laissĂ© leur vie pour un concert Joignons nos priĂšres pour l'espoir... D'une vie sans guerre ! © LouMiss Image Art Graphic Streetart Eric Lacombe ActualitĂ©s Attentat du lundi 22 mai Ă  Manchester *L'encre de mes Mots* Dans mon livre de vie J’ai Ă©crit mes peines Mes joies, mes rancƓurs Que je sois sereine Ou encore quand j’ai peur ∞ Dans ce livre de chevet Ma plume y a glissĂ© Tout ce que je pensais De ma jeune enfance A mon adolescence ∞ Mes premiĂšres amours Mes baisers velours Mes Ă©clats de rire Mes larmes et soupirs Tout ce dont j'aspire ∞ Dans ce livre d’harmonie J’y dĂ©livre bien des soucis Mes problĂšmes de santĂ© PĂ©nibles et insolubles Toutes ces difficultĂ©s Qui font que je titube ∞ Et Ă  chaque chapitre Mes plaies s’ouvrent et se referment L’encre s’écoule au flot des maux Évacuant douleurs et sanglots Comme une riviĂšre, elle s'Ă©coule Et me libĂšre de cette houle ∞ C’est un grimoire libĂ©rateur Qui de ma plume sĂšche mes pleurs Personne ne sait ce qui se cache DerriĂšre cette encre qui tache Personne ne peut comprendre Les jours et nuits scaphandres ∞ Cendres de lune IncrustĂ©es sur ma plume Pour un nouvel Ă©crit De cris Ă  mĂ©pris maudits Quel sera ce combat aujourd’hui ? Ma page t’attend, encre de sang
 ∞ © Elea Laureen, 2017Tous droits rĂ©servĂ©sImage du Net Si l'amour... Si l'amour n'existait pas La vie serait triste hĂ©las Nos cƓurs s’ennuieraient De ces Ă©motions Ă  grands fracas Si l'amour n'Ă©tait pas lĂ  Pour rĂ©chauffer nos vies De toutes ces envies Il y ferait bien froid Si l'amour ne frappait pas A la porte plusieurs fois La monotonie des sentiments Aurait un goĂ»t d'amertume Car c'est justement ces frissons Que donne la folle passion Quand l'amour vient Ă  notre rencontre Et que notre quotidien tourbillonne... © LouMiss Image du Net RĂȘve exaucĂ© Une jolie princesse Sur son lit Ă©tendue Priait avec tendresse Chaque nuit, Ă©perdue D'un prince tendrement rĂȘvĂ© Et tellement merveilleux Qu'elle ne pouvait l'oublier En ce songe mĂ©lodieux Tel un appel du cƓur Elle le ressentais si prĂ©cieux Et chaque soir, ce bonheur Revenait en ces lieux Pour la chĂ©rir et l'adorer Intense prĂ©sent des cieux Et de cet amour, son vƓu Fut enfin exaucĂ© en rĂ©alitĂ© ... Et le prĂ©tendant de ses nuits Devint l'amant de ses jours Lui offrant le bonheur espĂ©rĂ© DĂ©licatesse et passion dĂ©sirĂ©e Depuis, chaque soir, Elle allume une bougie Pour conjurer le noir Qui gĂąchait son ancienne vie, Remerciant les cieux ainsi ! © LouMiss Image du Net *Une Vie pour Une Vie Comme un doux signe du ciel Un ange a laissĂ© passer l'orage Et de tout ce qui portait ombrage Ton Ăąme laisse en sillage ☆ Ce nouvel Ă©lixir Au dĂ©licieux goĂ»t dĂ©sir Un merveilleux plaisir Qui en quelques mois va grandir ☆ Dans son Ă©crin prĂ©cieux DĂ©livrĂ© par les cieux Un transfert illuminĂ© Venu nous encourager ☆ Bien sĂ»r, tu nous as quittĂ© Et tu nous manques chaque jour Tu as et auras toujours notre amour Inconditionnel et sans retour ☆ Mais voilĂ , qu'au printemps revenu Tu nous fais cadeau d'un signe inattendu Les anges nous portent et nous relĂšvent Quand la douleur et le chagrin achĂšvent ☆ VoilĂ , qu'Ă  l'aube, nos protecteursLĂšvent le voile sur un nouveau bonheurLe ciel a ses mystĂšresIl crĂ©e notre univers ☆ Petite beautĂ©, de sa douceur Insufflera cette harmonie Et de ses gazouillis Comblera le vide de lueur‱⊰✿~‱ © Elea Laureen Tous droits rĂ©servĂ©sDPP 8413-42935 "Maison de la naissance, ĂŽ nid, doux coin du monde !Ô premier univers oĂč nos pas ont tournĂ© !"~ Marceline Desbordes-Valmore ; La maison de ma mĂšre 1825 ~ Support Image Jasmine PerfumeExtrait du Recueil Comme une Ă©vidence Le Caillou qui Bique C'est ici, dans ce cadre idyllique Que je viens me fondre dans la nature Dans cette incroyable villĂ©giature Vit un monde fantastique Étonnant, Ă  l'orĂ©e du bois, Comme un coup de crayon, Le soleil, tombe en un rayon Traversant les arbres, Comme pour prĂ©venir ; "on ne passe pas" Puis, Ă  peine franchit Totalement Ă©blouit Dans les feuillages s'Ă©levant Le bruissement du vent Tel un message Ă©tourdissant Le chant des anges murmurant Balaye sur mon passage Les feuilles tombĂ©es en pĂšlerinage Plus Ă  l'intĂ©rieur, La lumiĂšre se fait lueur Et les chants d'oiseaux Merveilleux Ă©chos LĂ , tout est mĂ©lodieux A presque voir les elfes Voler en secret Et Ă  bien Ă©couter ... Dans le silence de cette forĂȘt, On peut en son Ăąme Ă©veillĂ©e Aux sons cristallins goĂ»ter Aux parfums de chlorophylle ambrĂ©e Et en cette nature s'Ă©lever ArrivĂ©e en bordure de riviĂšre L'eau s'Ă©coule en dĂ©licats clapotisCette dĂ©licieuse atmosphĂšreVient vous caresser l'esprit Au mille reflets Ă©tincelants De ces ondes apaisantesOn se laisse agrĂ©ablement bercerPar les flots lĂ©gers En concerto avec les oiseaux MĂȘme les fĂ©es jouent Ă  cache Ă  cache Entre les branches et les feuillus Il faut croire pour les voir Moi, je sais... Je les ai vues ! Mon Ăąme d'enfant n'a pas quittĂ© ce lieuEt mon cƓur en est toujours amoureuxLa belle offrande que nous offre cette natureMon Ăąme s'y rĂ©gĂ©nĂšre et la capture Je parle Ă  la faune et la flore Tel un trĂ©sorEt bien sĂ»r que j'entendsLes anges et leurs louanges On dit que c'est le diable qui a dĂ©posĂ© Au milieu de cette forĂȘt enchantĂ©e Un rocher au visage travaillĂ©Les sorciĂšres aussi l'ont hantĂ© ! N'est-ce pas une jolie lĂ©gende ?Depuis plus rien ne dĂ©rangeCar les gardiens sont les archanges Ce bois magique est en Belgique Et on le nomme Caillou qui bique... © LouMiss Photos prises lors de notre balade Lettre ParfumĂ©e Une pure fragrance Dans son Ă©lĂ©gance De vos mots purs En doux murmures ∞ La belle douceur Qui caresse mon cƓur Intense bonheurVenu d'ailleurs ∞ J'aime humer cette lettre Venue me conter fleurette Senteur lilas et violette Elle me fait tourner la tĂȘte ∞ Dans la grĂące de vos Ă©crits Je sens la puissance du non-ditDans l'inconscience de votre esprit Je me prĂ©lasse et je souris ∞ Tout cet amour fusionnel En arabesques essentielles Est pour moi un cadeau du cielEt restera confidentiel ∞ Il me pĂ©nĂštre et me fait fondre MĂȘme si la distance est longue Cette missive est si intense Que mon Ăąme encore en tremble ! © Elea LaureenTous droits rĂ©servĂ©s DPP 6111-36025 Image Nelly Vintage Home La citĂ© de l'Amour Ah! Venise... La citĂ© des amoureux Un endroit merveilleux Pour apprĂ©cier les Ă©motions Au diapason des gondoles Sur les canaux, sous les lampions Si romantique est l'horizon Harmonica et violons Et l'ambiance donne le frisson EnlacĂ©s, les yeux dans les yeux A se regarder, exceptionnel ! Le baiser se fait langoureux Pour un voyage sensuel... Un souvenir qui restera surnaturel Comme dans un monde irrĂ©el ConcrĂ©tisant leur amour fusionnel Par une demande officielle ... © LouMiss Photo de Venise Fusion Comme on façonne l'argile Nos actes entretiennent notre amour Et c'est une oeuvre de tous les jours Qu'il faut colorer de maniĂšre habile Un mĂ©lange finesse Ă  perfection De douceur, tendresse et d'affection Mais il n'y a pas de complicitĂ© Sans la confiance et le respect Ainsi va la vie Les habitudes nous nuisent Il faut qu'on se le dise Rien ne vaut la surprise Songe que dans mes rĂȘves Les plus fous, l'illusion Parfaite est sans trĂȘve Je m'abandonne aux frissons De nos corps en fusion Effusions de l'Ă©phĂ©mĂšre Effet de terre glaise A l'aise qui se façonne S'emprisonne, foisonne Mi corazon, quand nos cƓurs S'effleurent, Ă  la douce chaleur C'est l'effusion en apothĂ©ose Et ose encore plĂ©thore, mi amor ! Alors je dis quoi que tu fasses Il faut que tu saches Pour garder un amour en fleur Rien ne vaut les petits bonheurs Que l'on façonne avec le cƓur Et touche cette infinie chaleur Quand s'Ă©mulsionnent les couleurs De nos corps et Ăąmes enlumineurs © LouMiss Image du net signĂ©e SortilĂšge Ils se sont retrouvĂ©s, Lui, qui l’avait perdue, A tout bravĂ©, mĂȘme l’éternitĂ©, Elle, de cette immensitĂ©, exclue. Il a tout affrontĂ©, Il donnerait sa vie, Combattu, souvent blessĂ©, Mais sa quĂȘte n’est pas finie. DĂ©mons et adversaires, Il a affrontĂ© jusqu’au bout, A traversĂ© maintes fois la terre, Fouiller les moindres trous. Pour enfin la retrouver, EnchaĂźnĂ©e de dĂ©sespoir, Et la supplier de le croire, Plus jamais, ne se quitteraient... Dans les bras enlacĂ©s, Larmes d’amour versĂ©es, Chevalier, princesse purifiĂ©s, Coup du sort terrassĂ© ! Pour enfin pouvoir vivre, D’un amour pur et Ă©ternel, Tous deux dĂ©sormais libres, De ce malĂ©fice cruel ! © LouMiss Des Esp Errance Est-ce la gorgone qui l'a transformĂ©e ? La laissant lĂ  de marbre blanc Pour foudroyer tous ses tourments Et la voilĂ  sublime statue dĂ©sormais ~*~ Écoutant la pluie et le vent Elle pleure et crie en silence Qui peut bien entendre son dĂ©sespoir ? Sans doute un ange venu la voir ~*~ Qui sait, peut-ĂȘtre qu'un soir Son chĂątiment ne sera plus qu'illusoire Mais elle est l'ombre du poĂšte Qui Ă  travers ses pages poursuit sa quĂȘte ~*~ Il cherche en vain les mots qui touchent Mais difficile de trouver l'escarmouche Ecoute sa douleur, l'essence de vie Sens-tu battre son cƓur dans ses Ă©crits ~*~ Chut, dans ce jardin d'hiver, il pleure Ses larmes sont la source de l'auteur Ce besoin de vibrer, quand la plume Doucement glisse sous la lune ~*~ Alors les mots suivent le courant LibĂ©rant les maux du souffrant Ainsi coule la riviĂšre de l'esprit Et avec elle, l'Ăąme se libĂšre et revit ! ~*~ LouMiss © Laurence Delattre Tous droits rĂ©servĂ©s Image ‱THE MAGICK OF SPRING‱ Elizabeth Angela *ShĂ©raz Angel* Ce poĂšme est Ă  dĂ©couvrir dans le recueil"Comme une Ă©vidence"Seuls certains poĂšmes de ce recueil sont encoredisponibles en lecture dans le blog !© Elea Laureen, 2017Tous droits rĂ©servĂ©sImage du Net - Profil ShĂ©raz Angel 2015/2016 Equilibre Le bien et le mal sur cette terre, Doivent trouver un Ă©quilibre, Comme le chaud et le froid de l’air, S'unifier en anticyclone libre, Ainsi dans l'univers merveilleux, S'incline la balance des cieux, Pesant chaque jour, le poids de nos actions, Dame justice n'a pas fini ses rĂ©vĂ©lations .... Entre le noir et blanc, Difficile de rester innocent, Il faut trouver le chemin, Et garder la foi du divin, Trop de guerres, trop de jalousies, Ont perverti ce monde pourri, Et la balance de la vie, Va bientĂŽt sombrer sous nos envies ! © LouMiss Image ; LIBRA BY JOSEPHINE WALL Faire un Voeu FatiguĂ©e, Ă©nervĂ©e LassĂ©e, dĂ©pitĂ©e Amertume et tristesse A titre posthume, retrouver ma jeunesse Ou plutĂŽt La santĂ© Qui me fait dĂ©faut Depuis des annĂ©es PrivĂ©e de cette libertĂ© De vivre et de penser Sans question Ă  me poser De mes enfants Ă  profiter Toutes ces annĂ©es perdues Par obligation, Ă  rester recluse À cause de cette maladie Que personne n’a vue C’est ça le plus difficile Rester docile Et s’adapter Ă  ce syndrome Franchement pas drĂŽle Et devoir faire subir ça A l’entourage qui ne comprend pas Le pourquoi du comment Vous vous enfermez si souvent Mais vous, vous le savez Ce n’est pas un secret Les douleurs omniprĂ©sentes Vous obligent Ă  l’assouvissement Car le repos et le calme Soulagent douleurs et mal Delattre L. © LouMiss Image du Net La CavaliĂšre - Damien Desseine - Hymne de lutte contre la fibromyalgie Élixir sensuel Mes lĂšvres ont gardĂ© Ce goĂ»t de miel ultime De ces parfums sucrĂ©s En doux mĂ©lange intime Comme un dĂ©licat nectar Élixir des dĂ©lices du Qatar Ce baume, source de jeunesse De nos bouches en liesse Intime et sensuel caliceQuand nos lĂšvres s'unissent Pour un divin dĂ©lice Et que tous les soucis s'Ă©vanouissent L'amour n'est-il pas merveilleux Quand dans ton regard Ă©perdument amoureux MĂȘme si parfois, malgrĂ© moi, je doute Pour toi, je suis la plus belle de toute ! © LouMiss Image du Net Partir Partir Ă  l'aventure Sans bagages ni fioritures Partir pour dĂ©couvrir Partir Ă  l'Ă©tranger ApprĂ©cier d'autres beautĂ©s Profiter vivre et rĂȘver Partir en bĂ©atitude S'enfermer en zĂ©nitude Prier et planer en plĂ©nitude Partir pour changer de vie Prendre la dĂ©cision de tout quitter Partir et ne plus revenir ici DisparaĂźtre Ă  tout jamais Partir pour l'Ă©ternitĂ© Se retrouver de l'autre cĂŽtĂ© Dans une autre aire, une entitĂ© Enfin VIVRE sans se soucier Plus de douleurs,Plus de soucis, Le paradis Ă  notre merci Et la lĂ©gĂšretĂ© aussi ... © LouMiss 10/05/17 Image signĂ©e AD Wolf love Il Ă©tait homme merveilleux ConquĂ©rant de la Terre Narguant l'univers Il se disait chanceux Son fol amour Une belle aux atours Charmeurs, incroyable beautĂ© Aux longs cheveux parfumĂ©s Mais de son arrogance Le malin a mis fin Et pour faire pĂ©nitence Il sont dĂ©sormais punis DĂ©sunis par un sort, qui la nuit Change leur vie Lui en homme loup A la pleine lune hurle Elle devient corbeau noir Et pleure son dĂ©sespoir VoilĂ  l'histoire de cet amour infini Qui au-delĂ  des apparences survit © LouMiss Image du Net Reflet Et de l'autre cĂŽtĂ© Comme un autre reflet Se distingue le blanc du noir Comme la joie du dĂ©sespoir Tout les oppose Pas de symbiose Elles se ressemblent Juste en apparence Mais l'effet miroir Est comme le papillon Il a ce don de dĂ©voiler Le fond de nos pensĂ©es ! Dans cette rĂ©flexion, J'ai perdu mes illusions, Pourquoi cette apparence, Contredit ce que je pense ? Elle ne reflĂšte pas la rĂ©alitĂ©, Suis-je le fruit d'une virtualitĂ© ? Etre ou ne pas ĂȘtre, la longĂ©vitĂ© A travers le paraĂźtre, calquer Sont bien-ĂȘtre, utopie... Ou Ă©bauche de l'idĂ©al d'une vie ? © LouMiss Image du Net Tsunami Le soleil inonde la plage Sa chaleur brĂ»le le sable Rien n'aurait pu prĂ©sager Le terrible danger Tous profitaient De vacances mĂ©ritĂ©es Et les indigĂšnes s'occupaient Comme chaque journĂ©e Puis d'un coup, elle s'est retirĂ©e Laissant un grand vide Et ce silence Intense.... Pour revenir frapper, immense ! Les oiseaux affolĂ©s, fuyaient Ce qu'ils avaient discernĂ© La vague tueuse Une muraille dĂ©sastreuse Sur son passage Emportant anarchique Le somptueux paysage Et laissant ce chaos apocalyptique Mais comme si elle n'avait pas Encore terminĂ© sa terrible mission A nouveau, la terre trembla Et elle revint plus fort faire lĂ©sions Frapper violemment et plus loin s'Ă©chouer Pour toutes ses Ăąmes emporter Et faire davantage mĂ©faitsLaissant ruines et cicatrices Ă  perpĂ©tuitĂ© Ce jour-lĂ  Ă  Phukets, le sol a tremblĂ© Et mon cƓur a tellement pleurĂ© ! © LouMiss Cliquez sur le titre et laissez une trace de votre passage... Merci Mon Vol d'Hirondelle - Recueil A dĂ©couvrir mon second recueil de poĂ©sie Merci Ă  vous qui me suivez et apprĂ©ciez mes Ă©crits ... AprĂšs un premier recueil "Comme une ... Juste quelques mots A vous qui passez de temps en temps m'accorder un peu de temps, Ă  vous qui me laissez quelques mots pour m'encourager, Ă  vous qui m'ĂȘtes fidĂšles et venez me lire rĂ©guliĂšrement, je tiens Ă  vous dire "MERCI" Vos encouragements sont la plus belle des rĂ©compenses et des motivations ! Un tout grand merci Ă  ceux qui me suivent et me lisent rĂ©guliĂšrement ... C'est grĂące Ă  vous chers lecteurs que nos plumes vibrent sur la toile et que la poĂ©sie garde ses lettres de noblesse ! Bon voyage au fil de ces pages et belles dĂ©couvertes... N'hĂ©sitez pas Ă  vous abonner Ă  ce blog afin d'ĂȘtre les premiers avertis des nouveautĂ©s ! Rechercher dans ce blog
Lesmaux de l'Ăąme, les maux du corps Certaines situations vĂ©cues vous transforment positivement quand d'autres, au contraire, gĂ©nĂšrent des Ă©tats de mal-ĂȘtre. En quoi les maux de l'Ăąme ont-ils une influence sur la santĂ© ? Il existe une interrelation constante entre l'Ăąme, la psychĂ© et le corps : si vos Ă©motions vous troublent, votre ĂȘtre est touchĂ© et si vous n'en Les maux du corps sont les mots de l'Ăąme Online Gratuit Les maux du corps sont les mots de l'Ăąme, ainsi on... morrigane Les maux du corps sont les mots de l'Ăąme, ainsi on ne doit pas chercher Ă  guĂ©rir le corps sans chercher Ă  guĂ©rir l'Ăąme. Le corps est un miroir. Elles ne s'excluent pas, contrairement Ă  ce que certains voudraient. » Platon. Ceci se retrouve au niveau Ă©nergĂ©tique en ce sens que c'est l'Ă©nergie de la Rate-PancrĂ©as qui a entre autre la charge du cycle menstruel, que l'on nomme plus simplement les rĂšgles ». voir aussi les livres sur la mĂ©decine holistique, Art de Cuisine Je lui conseillais d'aller consulter parallĂšlement un ami mĂ©decin homĂ©opathe afin d'accompagner notre travail par une assistance mĂ©dicale intelligente », c'est-Ă -dire destinĂ©e Ă  stimuler ses fonctions pancrĂ©atiques et non Ă  les remplacer. Bonjour et bienvenue sur Harmonie au Singulier! Deux corps peuvent s'associer pour produire un corps, mais la pensĂ©e peut seule donner la vie a la pensĂ©e. Les maux du corps sont les mots de l'Ăąme Je suis les yeux et le coeur si plein et!!!! mes Ă©motions sont juste!!! ce qui est exactement comment un critique professionnel rĂ©sumerait un livre. DerniĂšre mise Ă  jour il y a 1 heure 21 mins Sabrina Blondeau C'ÉTAIT TOUT CE QUE JE VOULAIS ÊTRE ET PLUS. HonnĂȘtement, j'ai l'impression que mon cƓur va exploser. J'ADORE CETTE SÉRIE!!! C'est pur ✹ MAGIC DerniĂšre mise Ă  jour il y a 1 heure 47 minutes Online Quelques mots Ă  prendre Ă  cƓur, des mots pour vivre, des mots pour se libĂ©rer davantage dans la poursuite d'activitĂ©s artistiques. Certainement une bonne chose Ă  lire. Vous ne le savez pas encore, mais vous avez probablement besoin de ce livre. DerniĂšre mise Ă  jour il y a 30 minutes Sylvie Haillet Je sais que beaucoup d'entre nous s'attendaient Ă  ce que Les maux de l'Ăąme, les maux du corps - soit bon, mais je dois dire que ce livre a dĂ©passĂ© mes attentes. J'ai la gorge serrĂ©e et je n'arrĂȘte pas d'y penser. Je passe habituellement du temps Ă  rĂ©diger des notes dĂ©taillĂ©es en lisant un livre mais, Ă  un moment donnĂ©, j'ai ouvert Notes sur mon ordinateur uniquement pour taper "oh putain de dieu, c'est tellement bon". DerniĂšre mise Ă  jour il y a 59 minutes Isabelle Rouanet Je suis Ă  peu prĂšs sĂ»r que les livres de existent pour capturer et dĂ©vorer toute votre Ăąme et votre imagination. Je viens de vivre une telle aventure sauvage, je me sens totalement dĂ©vastĂ©e. Comme cette duologie a totalement rempli ma crĂ©ativitĂ© bien. Gratuit Les maux du corps sont les mots de lĂąme pdf sang Les maux du corps sont les mots de lĂąme pdf free Les maux du corps sont les mots de lĂąme Les maux du corps sont les mots de l'Ăąme, ainsi on... morrigane Choisir vos prĂ©fĂ©rences en matiĂšre de cookies Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nĂ©cessaires pour vous permettre d'effectuer des achats, pour amĂ©liorer vos expĂ©riences d'achat et fournir nos services, comme dĂ©taillĂ© dans notre Avis sur les cookies. 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Au monde de Sophie ma passion pour la couture, la cuisine, et l'Ă©sotĂ©risme Accueil du blog Recommander ce blog CrĂ©er un blog avec CanalBlog Liens la solution est en vous Derniers messages n'importe qui peut t'aimer lorsque le soleil brille. C'est dans les tempĂȘtes que tu apprends qui tient vraiment Ă  toi dans ma vie, j'ai connu des coups durs, j'ai connu des moments merveilleux, j'ai aimĂ©, j'ai dĂ©testĂ©,... si 2 personnes s'aiment rĂ©ellement, ils trouveront toujours un moyen de tout arranger, peu importe les difficultĂ©s... j'admire toutes les personnes qui sont capables de garder le sourire. MĂȘme aprĂšs toute la "merde"qu'ils ont Ă  faire face... laisse tes rĂȘves ĂȘtre plus grands que tes peurs et tes actions ĂȘtre plus fortes que tes paroles les personnes les plus formidanles sont celles qui ont connu l'Ă©chec, la souffrance, le combat intĂ©rieur, la perte... n'arrĂȘte jamais de faire des petites choses pour les autres, car souvent ces petites choses occupent une trĂšs grande place... je sais, je ne suis pas qui s'en soucie? Superbus tournĂ©e 2016 Pommeau ds3 6 vitesses sans Demain nous appartient 13 decembre 2021 Les maux du corps sont les maux de l’ñme. Ainsi, on ne doit pas chercher Ă  guĂ©rir le corps sans chercher Ă  guĂ©rir l’ñme. » – Platon. Facebook. Twitter. Pinterest. Tweet. Unknown source . Leave a reply . Related posts . Read more → . La sagesse des rĂȘves . 149 «La sagesse, c'est d'avoir des rĂȘves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on Rechercher Interne GoogleRĂ©sultats par Messages Sujets Tags Recherche avancĂ©eDerniers sujets» 10 aoĂ»t Sainte PhilomĂšnepar Tite Aujourd'hui Ă  906» 27 aoĂ»t Saint AmĂ©dĂ©e de Clermont de Lausannepar ami de la MisĂ©ricorde Aujourd'hui Ă  851» MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieupar ami de la MisĂ©ricorde Aujourd'hui Ă  839» La communion dans la mainpar Tite Hier Ă  1643» La priĂšre des psaumes - par Françoise Jeu 25 AoĂ» - 2303» 26 aoĂ»t Sainte Marie de JĂ©sus crucifiĂ© Maryam Baouardypar ami de la MisĂ©ricorde Jeu 25 AoĂ» - 2302» Quand est-ce que l'Avertissement aura lieu?3 Ă©vĂšnements doivent d'abord arriver par Françoise Jeu 25 AoĂ» - 2123» Veillons et prions CHAPELET quotidien Ă  la Grotte de Françoise Jeu 25 AoĂ» - 2015» 25 aoĂ»t Saint Louis Louis IXpar ami de la MisĂ©ricorde Mer 24 AoĂ» - 2301» ChaĂŻne d'amour - Louange vivante et Sylvain Françoise Mer 24 AoĂ» - 2206» 24 aoĂ»t Saint BarthĂ©lĂ©my NatanaĂ«lpar ami de la MisĂ©ricorde Mar 23 AoĂ» - 2224» Les 3 jours de tĂ©nĂšbre au Padre Pio Famille St Joseph - PĂšre JM Verlindepar Françoise Mar 23 AoĂ» - 1023» Les chĂątiments sont proches - Etes-vous prĂȘt ?par Françoise Mar 23 AoĂ» - 728» Les 3 jours de tĂ©nĂšbres du Padre PIO - un enseignement de Fabienne Françoise Mar 23 AoĂ» - 723» 23 aoĂ»t Saint Julien de Lescarpar ami de la MisĂ©ricorde Lun 22 AoĂ» - 2312» Le code Ratzingerpar ami de la MisĂ©ricorde Dim 21 AoĂ» - 2325» 22 aoĂ»t Marie Reinepar ami de la MisĂ©ricorde Dim 21 AoĂ» - 2256» Deux histoires inspirantes de NOEL/Huillam Daverec YouTube 18/12/2021par Françoise Dim 21 AoĂ» - 2032» 21 aoĂ»t Saint Pie Xpar ami de la MisĂ©ricorde Sam 20 AoĂ» - 2329» 20 aoĂ»t Saint Bernard de Clairvaux par ami de la MisĂ©ricorde Sam 20 AoĂ» - 2309» Le SERMON de l'EPIPHANIE - 10 janvier 2021 - Les Capucins de Morgon/ Françoise Sam 20 AoĂ» - 034» 19 aoĂ»t Saint Jean Eudes par ami de la MisĂ©ricorde Ven 19 AoĂ» - 037» 18 aoĂ»t Sainte HĂ©lĂšnepar ami de la MisĂ©ricorde Mer 17 AoĂ» - 2305» 17 aoĂ»t Bienheureuse Leopoldina Naudetpar ami de la MisĂ©ricorde Mer 17 AoĂ» - 2235» L'avenir de Paris et de la France selon la visionnaire Catherine Tite Mar 16 AoĂ» - 1441» 16 aoĂ»t Saint Etienne de Hongriepar ami de la MisĂ©ricorde Lun 15 AoĂ» - 2250» 15 aoĂ»t Assomption de la Vierge Mariepar ami de la MisĂ©ricorde Dim 14 AoĂ» - 2259» 14 aout Saint Maximilien Kolbepar ami de la MisĂ©ricorde Sam 13 AoĂ» - 2326» 13 aoĂ»t Saint DorothĂ©e de Gazapar ami de la MisĂ©ricorde Ven 12 AoĂ» - 2325» 12 aoĂ»t Sainte Jeanne-Françoise FrĂ©miot de Chantal par ami de la MisĂ©ricorde Jeu 11 AoĂ» - 2333» 11 aoĂ»t Sainte Claire d'Assise par ami de la MisĂ©ricorde Mer 10 AoĂ» - 2324» 10 aoĂ»t Saint Laurent de Romepar ami de la MisĂ©ricorde Mer 10 AoĂ» - 006» CRASHDEBUG Nostradamus - La fin des Temps - Saison 1 -par Françoise Mar 9 AoĂ» - 2112» 9 aoĂ»t Sainte ThĂ©rĂšse-BĂ©nĂ©dicte de la Croix Edith Steinpar ami de la MisĂ©ricorde Lun 8 AoĂ» - 2336» Du site de Ben Françoise Lun 8 AoĂ» - 1839 -33% Le deal Ă  ne pas rater Jumbee Roundnet – Jeu de plein air Ă  29,99€ € € Voir le deal Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. LES FORUMS CHRÉTIENS PROPHÉTIES ET APPARITIONS AuteurMessageHerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1450 AgnĂšs-Marie "Joie de Dieu" - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. EVENEMENTS ANNONCES POUR LA BRETAGNE Extraits d’extases de Marie-Julie Jahenny Mise-Ă -jour du 16-05-2022 + + + + + 1874-07-29 Sainte-Anne, patronne de la Bretagne, annonce C’est Moi qui vous protĂ©gerai des dangers dans la Bretagne et qui Ă©tendrai ma main pour renverser tous les ingrats. Non, la Bretagne ne pĂ©rira pas. Je l’ai toujours protĂ©gĂ©e, je la protĂ©gerai encore, mais priez et venez Ă  mon bĂ©ni sanctuaire ! » + + + + + 1875-08-14 Madame GrĂ©goire rapporte O toi, Ă  qui mon Fils a donnĂ© la Croix, comme tu dois ĂȘtre heureuse ! La Croix, c'est tout pour toi sur la terre ! Un jour, cette Croix, pour toi, sera d'un grand prix elle restera ici aprĂšs ta loin, il viendra de saintes Ăąmes pour visiter ce lieu La Fraudais oĂč, tant de fois, je suis descendue pour parler Ă  ton cƓur. Il sera Ă©levĂ©, ici, un sanctuaire Ă  la Croix La Fraudais et Ă  Marie ImmaculĂ©e. Ce lieu sera vĂ©nĂ©rĂ© par tous. J'y guĂ©rirai, et le corps et l'Ăąme par une eau vive. Dis tout cela dans la plus grande humilitĂ© ». + + + + +DerniĂšre Ă©dition par Hercule le Sam 21 Mai - 006, Ă©ditĂ© 1 fois HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1450 + + + + + 1875-10-02 Un dernier appel de tendresse Courage, mes enfants, dit JĂ©sus, l'ennemi cruel a rassemblĂ© les siens. O France, que ce temps te coĂ»tera cher ! Le nuage rouge arrive sur la terre. Il en sort des hommes munis de leurs crimes d'ardeur de vengeance contre le ciel, du dĂ©sir de donner la mort aux chrĂ©tiens fidĂšles et de dĂ©truire le temple du Seigneur. Ce sont lĂ , dit JĂ©sus, mes plus perfides ennemis et aussi les vĂŽtres, mes enfants... Faut-il donc, o divin CƓur, s'Ă©crie-t-elle, que la France entiĂšre pĂ©risse, exceptĂ© la Bretagne et la VendĂ©e dont la terre a Ă©tĂ© baignĂ©e du sang des martyrs ! - France coupable, DIT LE DIVIN JESUS COURROUCE, tu as portĂ© le beau nom de France. AprĂšs ta mort, il te restera. Tu as livrĂ© toi-mĂȘme mon temple et mes autels Ă  des mains sacrilĂšges. Tu t'en es fait gloire Tu t'es proposĂ©e de tremper tes bras, jusqu'au coude, dans le sang des victimes de mes autels. Tu crois que tes amis te sauveront ? Tu abrĂšges ainsi le terme de ma justice. Penses-tu te sauver d'un sort si terrible. Mes enfants, REPREND LE SAUVEUR, je m'adresse Ă  vous. Nul homme ne peut sauver cette pauvre France noyĂ©e dans le crime. Sans moi, il n'y aurait pour elle aucun espoir. Je ferai un miracle pour les justes, mais il n'y aura qu'une partie du royaume de sauvĂ©e. L'autre restera gĂ©missante de longs jours. J'ai peuplĂ© la terre par ma mort ; je la repeuplerai par ma justice. AprĂšs ma justice, je repeuplerai la terre d'un peuple nouveau ». Au Nord, ils iront jusqu’aux limites de la VendĂ©e et en Normandie. La Bretagne ne sera pas envahie, mais ne sera pas exempte de tout chĂątiment, surtout au Nord dĂ©christianisĂ©, ils se livreront au pillage et Ă  la vengeance. Ils viendront de l’Est et de la MĂ©diterranĂ©e, car il est annoncĂ© en mĂȘme temps beaucoup de troubles en Italie et en Espagne causĂ©s par des forces venues des rĂ©gions orientales. Dans le Midi, "Marseille, Valence ! quelle boucherie". Les rĂ©gions du Nord, du Levant, du Midi, Paris seront trĂšs atteintes. Le territoire national sera partagĂ© en deux. Il y aura des prĂ©tendants pour la restauration d’un pouvoir dans une des parties. C’est Ă  la moitiĂ© de ces mois terribles qu’apparaĂźtra le Roi Sauveur. Mais il y aura un long combat de reconquĂȘte de plusieurs mois pour chasser les envahisseurs. Il n’établira pas son trĂŽne Ă  Paris qui aura Ă©tĂ© dĂ©truit. Quand l’étranger viendra fondre sur la France, ce sera par une priĂšre rĂ©vĂ©lĂ©e qu’il sera dispersĂ© et refoulĂ©... Ma Main invisible le foudroiera et le renversera ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1451 + + + + + 1875-10-02 Un dernier appel de tendresse Courage, mes enfants, dit JĂ©sus, l'ennemi cruel a rassemblĂ© les siens. O France, que ce temps te coĂ»tera cher ! Le nuage rouge arrive sur la terre. Il en sort des hommes munis de leurs crimes d'ardeur de vengeance contre le ciel, du dĂ©sir de donner la mort aux chrĂ©tiens fidĂšles et de dĂ©truire le temple du Seigneur. Ce sont lĂ , dit JĂ©sus, mes plus perfides ennemis et aussi les vĂŽtres, mes enfants... Faut-il donc, o divin CƓur, s'Ă©crie-t-elle, que la France entiĂšre pĂ©risse, exceptĂ© la Bretagne et la VendĂ©e dont la terre a Ă©tĂ© baignĂ©e du sang des martyrs ! - France coupable, DIT LE DIVIN JESUS COURROUCE, tu as portĂ© le beau nom de France. AprĂšs ta mort, il te restera. Tu as livrĂ© toi-mĂȘme mon temple et mes autels Ă  des mains sacrilĂšges. Tu t'en es fait gloire Tu t'es proposĂ©e de tremper tes bras, jusqu'au coude, dans le sang des victimes de mes autels. Tu crois que tes amis te sauveront ? Tu abrĂšges ainsi le terme de ma justice. Penses-tu te sauver d'un sort si terrible. Mes enfants, REPREND LE SAUVEUR, je m'adresse Ă  vous. Nul homme ne peut sauver cette pauvre France noyĂ©e dans le crime. Sans moi, il n'y aurait pour elle aucun espoir. Je ferai un miracle pour les justes, mais il n'y aura qu'une partie du royaume de sauvĂ©e. L'autre restera gĂ©missante de longs jours. J'ai peuplĂ© la terre par ma mort ; je la repeuplerai par ma justice. AprĂšs ma justice, je repeuplerai la terre d'un peuple nouveau ». Au Nord, ils iront jusqu’aux limites de la VendĂ©e et en Normandie. La Bretagne ne sera pas envahie, mais ne sera pas exempte de tout chĂątiment, surtout au Nord dĂ©christianisĂ©, ils se livreront au pillage et Ă  la vengeance. Ils viendront de l’Est et de la MĂ©diterranĂ©e, car il est annoncĂ© en mĂȘme temps beaucoup de troubles en Italie et en Espagne causĂ©s par des forces venues des rĂ©gions orientales. Dans le Midi, "Marseille, Valence ! quelle boucherie". Les rĂ©gions du Nord, du Levant, du Midi, Paris seront trĂšs atteintes. Le territoire national sera partagĂ© en deux. Il y aura des prĂ©tendants pour la restauration d’un pouvoir dans une des parties. C’est Ă  la moitiĂ© de ces mois terribles qu’apparaĂźtra le Roi Sauveur. Mais il y aura un long combat de reconquĂȘte de plusieurs mois pour chasser les envahisseurs. Il n’établira pas son trĂŽne Ă  Paris qui aura Ă©tĂ© dĂ©truit. Quand l’étranger viendra fondre sur la France, ce sera par une priĂšre rĂ©vĂ©lĂ©e qu’il sera dispersĂ© et refoulĂ© trĂšs certainement la priĂšre "Auguste Reine des Cieux" du pĂšre Cestas... Ma Main invisible le foudroiera et le renversera ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1452 + + + + + 1877-10-26 Marie-Julie voit quatre Croix - Sur la premiĂšre France, tes pleurs et tes gĂ©missements n’ont point Ă©tĂ©Ì entendus ». Sur la deuxiĂšme Bretagne, ton cƓur gĂ©missant a poussĂ©Ì ses soupirs vers mon Fils. Il a entendu ta voix ». Sur la troisiĂšme ChĂšre VendĂ©e, que de fois tu as donné ton sang pour ta foi, mes bĂ©nĂ©dictions tomberont sur toi ». Sur la quatriĂšme L’Alsace et la Lorraine seront rĂ©unies à la France ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1452 + + + + + 1878-01-09 Je rencontre Notre-Seigneur. Son CƓur est dĂ©couvert il en sort des ruisseaux de sang... Sa tunique en est imbibĂ©e. Ses plaies semblent fraĂźches... Il est pĂąle. Je vous adore, mon Sauveur Approche, ma Que vos souffrances sont Mes enfants, ce sont les derniers opprobres que je souffre. Vous qui avez combattu pour moi, et qui avez Ă©tĂ© fidĂšles Ă  mes commandements, rĂ©jouissez-vous. Le divin Sauveur dĂ©couvre davantage son CƓur blessĂ©, et j’y vois inscrite la sentence de malheur C’est toi, France coupable, Ă  qui je veux faire entendre un dernier appel de tendresse, Ă  toi qui es lĂ , dans ce navire. N’entends-tu donc pas l’orage qui gronde et qui s’approche de toi ? Viens sur le bord de la riviĂšre, donne-moi seulement le plus petit battement de ton cƓur. Viens, reprend le Seigneur, approche-toi de celui qui veut te sauver. La France reste muette elle n’a ni voix, ni soupir, ni souffle. Rien. Le divin JĂ©sus lĂšve les yeux vers son PĂšre. Je ne sais ce qu’il lui dit, mais ses paroles doivent ĂȘtre terribles car je ressens, dans mon Ăąme, une douleur plus que mortelle. Mon Fils bien-aimĂ©, voilĂ  ma volontĂ© que tout pĂ©cheur soit exterminĂ© !- Courage, mes enfants, dit JĂ©sus, l’ennemi cruel a rassemblĂ© les siens. O France, que ce temps te coĂ»tera cher ! Le nuage rouge arrive sur la terre. Il en sort des hommes munis de leurs crimes d’ardeur de vengeance contre le ciel, du dĂ©sir de donner la mort aux chrĂ©tiens fidĂšles et de dĂ©truire le temple du Seigneur. Ce sont lĂ , dit JĂ©sus, mes plus perfides ennemis et aussi les vĂŽtres, mes enfants. Pour la cinquiĂšme fois, le Sauveur appelle la France et lui commande de sortir du vaisseau. Elle obĂ©it. Le Seigneur lui tend une boule dans laquelle elle lit et il lit en mĂȘme temps. Voici ce qui est Ă©crit J’ai portĂ© le coup de mort Ă  mes enfants. J’ai tout donnĂ© Ă  mes ennemis. Il ne me reste rien que la douleur, l’aveuglement et les larmes. La France lit encore et voit, au fond de la boule, sa sentence pour ainsi dire de mort. Elle verse des torrents de larmes. Faut-il donc, o divin CƓur, s’écrie-t-elle, que la France entiĂšre pĂ©risse, exceptĂ© la Bretagne et la VendĂ©e en partie dont la terre a Ă©tĂ© baignĂ©e du sang des martyrs !- Ce n’est pas tout, dit le Seigneur. - Faut-il donc que je n’aie plus que ce court dĂ©lai ! A peine mon nom mĂȘme existera-t-il ! Il sera prononcĂ© encore Ă  l’étranger mais, dans la patrie mĂȘme, ce nom sera mort. - Regarde plus haut, reprend le Seigneur. - Je serai seule Ă  combattre, dit la France. Tous me refuseront du secours. Eh bien ! je me jette dans le dĂ©sespoir. Frappez ; ĂŽtez-moi mon nom ; faites-moi coupable, dit le divin JĂ©sus courroucĂ©, tu as portĂ© le beau nom de France. AprĂšs ta mort, il te restera. Tu as livrĂ© toi-mĂȘme mon temple et mes autels Ă  des mains sacrilĂšges. Tu t’en es fait gloire ! Tu t’es proposĂ©e de tremper tes bras, jusqu’au coude, dans le sang des victimes de mes autels. Tu crois que tes amis te sauveront ? Tu abrĂšges ainsi le terme de ma Justice. Penses-tu te sauver d’un sort si terrible ? Mes enfants, reprend le Sauveur, je m’adresse Ă  vous. Nul homme ne peut sauver cette pauvre France noyĂ©e dans le crime. Sans moi, il n’y aurait pour elle aucun espoir. Je ferai un miracle pour les justes, mais il n’y aura qu’une partie du royaume de sauvĂ©e. L’autre restera gĂ©missante de longs jours. J’ai peuplĂ© la terre par ma mort ; je la dĂ©peuplerai par ma Justice. AprĂšs ma Justice, je repeuplerai la terre d’un peuple nouveau ». O France, tu espĂšres toujours en ces nouveaux gouverneurs ?Eh bien, tu abrĂšges ainsi le terme de ma Justice... France, depuis que je suis venu sur la terre, il ne s'est jamais passĂ©, et il ne se passera jamais un coup si fatal que celui qui t'est rĂ©servĂ© ! Malheur Ă  vous qui tenez vos conseils dans cette chambre de l'enfer ! Et toi, ville ingrate, murs souillĂ©s de crimes, pourquoi ne dites-vous pas aux bons fuyez, fuyez, il est temps encore ? Et vous, pavĂ©s des rues, grains de sable qui formez les pavĂ©s, pourquoi ne vous levez-vous pas et ne prĂ©venez-vous pas qu'il faudra prendre la fuite quand le tonnerre grondera sur un peuple en pĂ©ril ? Mes enfants, tout est au comble, c'est le moment oĂč ma vengeance va Ă©clater. Mettez votre main droite sur la plaie de mon CƓur et vous serez sauvĂ©s ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1453 + + + + + 1878-01-15 QUE LA BRETAGNE NE S'Y FIE PAS ! Je contemple le nuage qui couvre la France. Je remarque, plus en avant de nos demeures, plus vers le midi, vers le soleil, je remarque quelques parties du nuage sur la Bretagne oĂč il y a des sillons rouges, comme des signes allumĂ©s pour exciter la colĂšre du Seigneur ». JĂ©sus dit Toute la Bretagne, mes enfants, n'est pas aussi fidĂšle que la partie qui nous entoure. - Seigneur, je ne la connais pas. - Mes enfants, en avant de vous, il y a des parties qui ne sont pas fidĂšles. - Seigneur, je ne sais pas. - Je le sais, moi qui vois et connais tout. Je sais oĂč je suis outragĂ© et oĂč je suis consolĂ©. Je vous l'ai toujours dit le coucher du soleil sera protĂ©gĂ©, le lever terriblement chĂątiĂ© ». + + + + + 1878-01-22 La Sainte Vierge dit Mes enfants, le Roi viendra dans la Croix, c'est-Ă -dire dans les peines, parce que le royaume ne sera pas encore entiĂšrement calme. Ce n'est qu'aprĂšs avoir Ă©prouvĂ© des peines pour traverser le royaume qu'il recevra la couronne. Quand il y sera arrivĂ©, le calme se rĂ©tablira, mais il y aura encore de la peine. Sa foi le fera maĂźtre et vainqueur de toutes les difficultĂ©s. Le Roi aura, en lui, un don qu'aucun autre roi n'a eu. Saint Louis, roi de France, a fait son devoir, mais ce dernier sera encore plus merveilleux par son rĂšgne. Vous verrez dans cet homme ce que personne n'a vu dans les autres. Si vous ne voyez pas le chemin de la venue de mon Roi, ne vous inquiĂ©tez pas. Ce chemin sera miraculeux comme le reste de sa vie. Rien n'est impossible Ă  Dieu. Ah ! pauvre espĂ©rance vaine d'hommes aveugles ! Ils croient que jamais le Roi ne sera le leur. Ils se trompent. Vous serez bien Ă©tonnĂ©s, un jour, de voir mon Roi. Sachez que ce n'est pas la France qui l'appellera. Sachez qu'il viendra pour ses amis. Le petit nombre de ceux qui le dĂ©sirent sera bien rĂ©compensĂ©. Les autres, le grand nombre seront justement punis. Depuis son berceau, le cƓur du Roi n'aura vĂ©cu que dans la Croix. Il l'aura bien portĂ©e depuis les longues annĂ©es qu'il aura vĂ©cues en exil. Son cƓur n'aura pas failli. Il sera rĂ©compensĂ© ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1453 + + + + + 1878-01-22 Mes enfants, dit la Vierge Marie, je ne crains point pour la Bretagne, car ma main bĂ©nie est Ă©tendue sur elle. En bien peu de temps, vous en entendrez vous-mĂȘmes le rĂ©cit - je ne m'adresse pas Ă  toi - vous pourrez le lire. - Mais, bonne MĂšre, ce sera donc un livre ? - Vous verrez, mes enfants. Il vous sera facile de reconnaĂźtre ces monstres les impies-coureurs. O Croix adorable, faut-il que tu sois portĂ©e par des mains profanes ! Faut-il que tu sois foulĂ©e aux pieds par des chrĂ©tiens ! - Mais, ma bonne MĂšre, il n'y en aura guĂšre Ă  la profaner ? - Mes enfants, ici vous ne connaissez pas toute la profondeur du mal. Allez, parcourez toutes ces grandes villes, et vous verrez combien le mal est horrible. - Oh ! TrĂšs sainte MĂšre, nous le croyons bien ! En continuant Ă  marcher, la Sainte Vierge dit Tout est calme et silencieux sur cette terre-ci. - OĂč sommes-nous, ma sainte MĂšre ? - Sur la terre de Bretagne... Mes enfants, je serai votre protectrice, votre soutien et votre espĂ©rance... Mes enfants, je viens vous dire que mon Fils adorable ne peut plus supporter les crimes et les iniquitĂ©s. - Oh ! Sainte MĂšre, je tremble Ă  ces mots ! - Mon divin Fils est dans sa troisiĂšme Passion et cette troisiĂšme Passion qui va faire Ă©clater sa MisĂ©ricorde et sa Justice. France, tu es divisĂ©e... Si mes enfants me demandent oĂč il faudra qu'ils s'abritent, je rĂ©pondrai faites votre asile dans la Bretagne. - Mais elle ne sera pas assez grande pour nous abriter tous ! - Je ferai une tente et mon manteau en sera la couverture. - Ah ! Faites que tous les amis de Dieu y viennent et que nous soyons tous ensemble ! Nous aussi disent les impies, nous viendrons nous abriter en Bretagne ». Il n'y aura, rĂ©plique le Seigneur, que mon peuple qui aura cette protection, et la Bretagne sera choisie comme un royaume spĂ©cialement nom sera cher Ă  la France et au dehors ». Oui mes enfants, dit la Sainte Vierge, je suis venue faire un refuge sur cette terre de Bretagne, parce que j'y trouve des cƓurs sera un abri trĂšs fort pour les oiseaux qui fuiront la tempĂȘte et s'y rĂ©fugieront ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1453 + + + + + 1878-01-29 Je transformerai les pierres du Sanctuaire de la Croix la Fraudais. Je les transformerai en demeures ; et mes serviteurs habiteront autour des murs bĂ©nis que mes anges m’élĂšveront. Ils veilleront sur les murs de mon sanctuaire, et le conserveront. Ils en seront proches ils uniront leurs voix au concert des anges, aux priĂšres des Ăąmes pieuses, et aussi des pĂ©cheurs, pour attirer ma grĂące et mes bĂ©nĂ©dictions ». + + + + + 1878-02-09 Le Sanctuaire est Ă©normĂ©ment long, Ă©normĂ©ment large, aux grands murs couverts de peintures magnifiques. Largeur du Sanctuaire 28 mĂštres ; longueur inconnue ; hauteur trĂšs grande. Trois nefs, quatorze piliers, sept de chaque cĂŽtĂ©. DerriĂšre les piliers, un chemin de Croix. On passe par derriĂšre. Style ogival, mais les fenĂȘtres sont plus larges en bas qu'en haut, comme ceci On descend Ă  la fontaine par sept rangs de marches. Le tuyau qui apporte l'eau vient de la voĂ»te. Cette fontaine se trouve Ă  droite, non loin de l'autel. Elle est creusĂ©e dans de la pierre blanche bien polie. Dans la niche, une belle Croix. Autour, des places pour se mettre Ă  genoux. C'est la fontaine du pardon, avec, Ă  la sortie, un confessionnal pour y recevoir la sainte absolution. Au-delĂ  de la fontaine, Notre-Seigneur au sĂ©pulcre, les saintes femmes... Les quatorze Croix des stations sont sous les fenĂȘtres qui sont trĂšs hautes, les Croix inclinĂ©es vers nous. La grande Croix de l'autel est la quinziĂšme station. Cette grande Croix d'or monte du bas jusqu'au plafond deux anges sont aux pied. Cette Croix est plantĂ©e dans un massif carrĂ© de pierre blanche. "Il y aura, dit Notre-Seigneur, trois Croix dans le chƓur pour reprĂ©senter la Sainte TrinitĂ© la premiĂšre Ă  l'autel, les deux autres, aussi grandes que la premiĂšre, plantĂ©es de chaque cĂŽtĂ©, dans des pierres qui tiennent au mur. Dessus, il est Ă©crit don de la Sainte TrinitĂ©". L'autel principal est fort large. Le chƓur comporte cinq autels, y compris celui du milieu. Le premier, Ă  droite, est dĂ©diĂ© Ă  JĂ©sus crucifiĂ©. Marie recueille le sang qui coule des plaies du Sauveur. Ce sera l'autel des PĂšres de la Croix. Un ange, de chaque cĂŽtĂ© l'un offrant la couronne d'Ă©pines, l'autre les mains jointes, comme Notre-Dame de Lourdes. Le second autel, Ă  gauche, est dĂ©diĂ© Ă  Notre-Seigneur agonisant sur la Croix. Saint Jean est au pied de la Croix, les yeux levĂ©s vers JĂ©sus qui expire, la main droite tendue vers son MaĂźtre. Il est Ă  droite. A gauche, la Sainte Vierge, le visage cachĂ© sous un long voile dĂ©pliĂ© de la tĂȘte Ă  la ceinture, les deux mains tendues pour recevoir le dernier soupir du Sauveur. Son CƓur est dĂ©couvert. Le troisiĂšme autel, Ă  droite, est dĂ©diĂ© Ă  Notre-Seigneur instituant l'Eucharistie. JĂ©sus est debout au milieu des apĂŽtres. Les sept rayons de l'Esprit-Saint descendent et le couvrent. Le quatriĂšme autel, Ă  gauche, est dĂ©diĂ© Ă  JĂ©sus agonisant au jardin des Oliviers. DerriĂšre l'autel, un gros arbre touffu ; Notre-Seigneur, Ă  droite, est appuyĂ© sur une forme que je ne connais pas, comme une pierre. Un ange descend avec un manteau blanc qu'il Ă©tend sur le Seigneur. Il y a quatorze tableaux, sept de chaque cĂŽtĂ©... Notre-Seigneur dit, montrant la fontaine "VoilĂ , chĂšres victimes, des travaux oĂč couleront vos sueurs. La France entiĂšre viendra d'abord s'abriter sous l'arbre de la Croix ; puis l'Univers entier comprendra et viendra. Voici la fontaine je vais bientĂŽt la remplir ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1454 + + + + + 1878-02-22 ECRITS PROPHETIQUES POUR LA BRETAGNE L'Archange RaphaĂ«l ouvre la Croix. Je tremble il va falloir lire ce qu'il y a dedans. Je m'approche. Les lettres sont comme tracĂ©es avec du sang. "C'est le sang de JĂ©sus, dit l'Archange, qui a Ă©crit sa bĂ©nĂ©diction pour ses enfants ». PREMIER ECRIT Bretagne, tu m'as gardĂ© ta fidĂ©litĂ©. Tu t'es vouĂ©e Ă  la dĂ©fense des persĂ©cutĂ©s. Tu n'as pas craint de dire je suis chrĂ©tienne ; je conserverai ma foi, s'il le faut, jusqu'Ă  la derniĂšre goutte de mon sang ». SECOND ECRIT Bretagne, tu es marquĂ©e de trois secrets que j'ai communiquĂ©s Ă  ma MĂšre-ImmaculĂ©e prĂ©pare-toi Ă  les recevoir. Tu t'Ă©lĂšveras seule, comme une armĂ©e puissante, dĂšs que les pieds souillĂ©s des impies viendront pour profaner ta foi. Tu seras assez forte pour ne pas laisser fouler tes premiers bords ». TROISIEME ECRIT Bretagne, c'est toi que j'ai choisie. Tu es comme prĂ©destinĂ©e. Toi seule soutiendras ta foi ; tu te soutiendras seule. Tu seras bordĂ©e comme d'un grillage de fer rien ne pourra franchir tes bords ». QUATRIEME ECRIT Bretagne, tu n'as jamais connu le secret de l'alliance que j'ai contractĂ©e avec toi, depuis que tu portes ce nom de Bretagne. C'est toi qui montreras ton courage, quand l'appel du Roi se fera entendre. Tu marcheras, comme une armĂ©e victorieuse, Ă  la rencontre de celui que j'ai donnĂ© miraculeusement pour sauver celle qui pĂ©rit de honte ». CINQUIEME ECRIT Bretagne, l'alliance que j'ai faite avec toi est inconnue jusqu'Ă  prĂ©sent. BientĂŽt, je la rĂ©vĂ©lerai. Je suis la voix de la vĂ©ritĂ© et de la vie. Quand ce beau nom fut donnĂ© Ă  la Bretagne, je l'ai inscrit dans mes cinq plaies. Ce nom m'a Ă©tĂ© plus cher que celui de toutes les autres parties de l'Univers. Dans les temps de guerre, de discussions et d'angoisse, la Bretagne eut toujours une marque de ma protection ». SIXIEME ECRIT Bretagne, dĂšs que tu fus baptisĂ©e de ce nom, je te fis porter par Sainte Anne une perle, et je dis "Bretagne, tu seras toujours Ă©clairĂ©e et rĂ©chauffĂ©e par les rayons d'un soleil de protection et de grĂące. - Mais, Saint Archange, dit Marie-Julie, c'est pourtant le mĂȘme soleil qui Ă©claire et rĂ©chauffe toute le terre ? - La Bretagne a un rayon inconnu qui la rĂ©chauffe et le protĂšge. Dieu et le ciel le connaissent ». SEPTIEME ECRIT parole de Marie Ma chĂšre Bretagne, j'ai pour toi, dans mon CƓur, trois beaux secrets qui sont au bord de mes lĂšvres. Je n'attends qu'une parole de la Sainte TrinitĂ© pour te les confier dans leur puissance et leur douceur. Ils seront pour vous, enfants bretons, un vĂ©ritable baume. Quand vous les aurez reçus, vos cƓurs s'Ă©panouiront de joie et vous ne craindrez plus rien. Ni les bruits, ni les assauts, ni les voix impies ne retentiront dans les contrĂ©es de la Bretagne bĂ©nie ». L'ARCHANGE RAPHAEL DIT Bretagne, Ă  toi la verdure, Ă  toi la vie ! France, Ă  toi la mort et les malĂ©dictions du ciel ! Si tu ne lui donnes pas ton souffle, tu es maudite de Dieu, tu peux dire je suis morte avec mes enfants et engloutie dans l'abĂźme pour ne plus en sortir. - Saint Archange, pourquoi reste-t-il une derniĂšre feuille verte sur la branche morte qu'est la France ? - Parce que le Seigneur laisse encore un espoir Ă  la France. C'est qu'elle a encore un reste de vie... Tout le ciel s'occupe d'elle; tous prient pour elle. Mais, plus on prie, plus elle semble maudire Dieu ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1454 + + + + + 1878-03-09 Nous aussi, disent les impies, nous viendrons nous abriter en Bretagne. - Il n'y aura, rĂ©plique le Seigneur, que mon peuple qui aura cette protection, et la Bretagne sera choisie comme un royaume spĂ©cialement cher. Son nom sera cher Ă  la France et au-dehors ». Oui, mes enfants, dit la sainte Vierge, je suis venue faire un refuge sur cette terre de Bretagne, parce que j'y trouve des cƓurs gĂ©nĂ©reux. Ce sera un abri trĂšs fort pour les oiseaux qui fuiront la tempĂȘte et s'y refugieront. VoilĂ , dit Saint Michel, la chaĂźne, le grillage qui sĂ©pare la Bretagne de la France. - Mais, Saint Archange, est-ce que la Bretagne ne restera pas toujours française. - Si, elle sera toujours française, mais elle aura un don de plus et portera un nom que le Seigneur lui a choisi et qui sera rĂ©vĂ©lĂ© ». + + + + + 1878-03-19 Mes enfants, dit Saint Joseph, vous devez fouler aux pieds les apprĂ©hensions. Vous ne devez plus trembler Ă  l’approche de la colĂšre du Seigneur. Vous devez rester dans votre calme et n’en plus sortir. C’est un privilĂšge accordĂ© aux enfants de la Bretagne. PrĂšs de mon divin Fils, j’ai plaidĂ© le triomphe de l’Église qui m’est chĂšre. J’en suis aussi le protecteur. J’ai vu l’arbre de la foi soutenir trois luttes terribles, mais je n’en ai vu aucune feuille se flĂ©trir. J’ai plaidĂ© la cause de l’Église et j’ai dit - Mon Fils, je dĂ©sirerais que vous lui donniez le triomphe, mais sans victimes, ni effusion de sang. J’ai compris qu’il faudrait beaucoup de souffrances, beaucoup de tortures et de sang pour sauver l’Église profanĂ©e et souillĂ©e. Ensuite j’ai plaidĂ© la paix et la tranquillitĂ© pour le Saint PĂšre. Mon Fils m’a rĂ©pondu - Le Saint PĂšre souffrira des tourments qui seront au-dessus de ses forces. Il sera jetĂ© et dĂ©jetĂ©, poussĂ© et repoussĂ©, comme la mer quand il contrevente. - Saint Joseph, je ne sais pas ce que vous voulez dire par ce mot contrevente. - Mon enfant, c’est quand, dans les orages, les nuĂ©es s’entrechoquent, poussĂ©es par des vents contraires. J’ai demandĂ© le triomphe du Saint PĂšre et mon Fils a rĂ©pondu - Mon PĂšre, quand il y aura eu assez de victimes et de sang rĂ©pandu, c’est lĂ  qu’est Ă©crite l’heure de son triomphe. " Vois, mon enfant, combien les maux seront grands. Personne ne les peut comprendre avant qu’ils ne soient venus. Avec tendresse et gĂ©nĂ©rositĂ©, j’ai plaidĂ© pour les pauvres prĂȘtres de l’Église. Mon Fils a rĂ©pondu - Mon PĂšre, mes apĂŽtres zĂ©lĂ©s, mes prĂȘtres, auront une part de consolation ils souffriront cependant puisqu’ils sont les colonnes de l’Église. Mais malheur Ă  celui qui sera montĂ© Ă  l’autel avec une conscience voilĂ©e, malheur Ă  celui dont une fibre du cƓur sera Ă  droite et l’autre Ă  gauche ! - J’ai plaidĂ© Ă  propos de leur apostasie et mon Fils a rĂ©pondu - VoilĂ  ce qui me fait le plus souffrir ! Voir apostasier ceux qui, dans le sacerdoce, se sont vouĂ©s Ă  mon service ! Mon pĂšre, quand tous ces forfaits se seront rĂ©pandus d’un bout Ă  l’autre du monde, la terre sera dans le plus grand scandale. - J’ai plaidĂ© pour cette malheureuse France et mon Fils a rĂ©pondu - Mon pĂšre, je vois la France dans une laideur Ă©pouvantable. Elle est si souillĂ©e qu’aucune source ne pourrait la laver. - Mes enfants, mon Fils appelle la France le dĂ©luge de l’iniquitĂ©. MalgrĂ© ses malĂ©dictions, mon Fils accordera le don de protection Ă  plusieurs familles qui se seront comportĂ©es charitablement dans la foi et la reconnaissance pour la grĂące divine. Elles seront protĂ©gĂ©es, mais elles devront fuir, comme moi lorsque j’ai fui en Égypte. - Mais, Saint Joseph, nous n’avons point d’Égypte, nous. - La Bretagne sera l’Égypte. J’ai encore parlĂ© fortement en faveur des communautĂ©s religieuses et voici, mes enfants, la parole de mon Fils - Tous ces cloĂźtres, ces lieux de paix, auront Ă  souffrir beaucoup et il en sortira un grand nombre de martyrs. Ceux qui tendent des piĂšges Ă  mon Église poursuivront les Ăąmes cloĂźtrĂ©es. - Mes enfants, ajoute Saint Joseph, des flĂ©aux de toutes sortes sont rĂ©servĂ©s Ă  la terre. Des pestes et des calamitĂ©s arriveront avec ce temps. Pour indiquer la mortalitĂ©, par endroits, on devra placer le drap mortuaire sur l’Église ! Ce sera de la corruption et de l’iniquitĂ© que sortiront ces flĂ©aux. Je prĂ©viens, puisque mon Fils l’ordonne. Mes enfants, dans ces annĂ©es prochaines, il se passera des phĂ©nomĂšnes extraordinaires. Il faut que vous soyez prĂ©venus pour que vous soyez sans frayeur. Mon Fils m’a dit - Mon pĂšre, je vous confie ces rĂ©vĂ©lations, faites-les connaĂźtre Ă  mon peuple. - Il y aura dans le tonnerre quelque chose d’étrange. Il y aura aussi des Ă©clairs sans tonnerre pendant des demi-jours, la terre en sera couverte. Ces signes extraordinaires ne pourront venir que de mon Fils. Mes enfants, ne craignez rien ces Ă©clairs ne vous feront aucun mal, mais ils en atteindront d’autres. Il faut que la puissance de mon Fils se manifeste d’une maniĂšre bruyante, puisque l’incrĂ©dulitĂ© est si grande ! » + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1455 + + + + + 1878-03-25 "Oui, mes enfants, dit Marie, ma protection la plus spĂ©ciale vous est rĂ©servĂ©e. Voyez sans crainte tout venir et approcher. Je suis venue sur cette terre de Bretagne parce que j'y trouve des cƓurs gĂ©nĂ©reux. - C'est vrai, ma MĂšre. - Mon refuge sera aussi celui de mes enfants que j'aime et qui, tous, n'habitent pas cette terre. Ce sera un refuge de paix au milieu des flĂ©aux, un abri trĂšs fort et trĂšs puissant que rien ne pourra dĂ©truire. Les oiseaux qui fuiront la tempĂȘte se rĂ©fugierons en Bretagne. La terre de Bretagne est en mon pouvoir. Mon Fils m'a dit "Ma MĂšre, je vous donne tout pouvoir sur cette Bretagne". Il m'a donnĂ© le pouvoir de sĂ©parer des orages cette Bretagne chĂšre Ă  mon cƓur. Il m'a donnĂ© le pouvoir d'y descendre, le pouvoir de prĂ©server les pĂ©cheurs, de les bĂ©nir et aussi de les frapper... Mais, mon enfant, tu connais ma bontĂ©. - Oh ! oui, ma Bonne MĂšre, vous ne frapperez pas. - Ce refuge m'appartient et, aussi, Ă  ma bonne mĂšre Sainte Anne. Quel privilĂšge pour mes enfants bretons ! - Pourquoi ce si grand privilĂšge, bonne MĂšre ? - La Bretagne, mes enfants, deviendra un jour puissante. Le moyen, je vous le ferai connaĂźtre plus tard. Ce sera une terre de grĂące et de privilĂšges. Mon pouvoir, ici, est plus grand que sur toutes les autres parties de la France et de l'Univers ». + + + + + 1878-09-08 J'aimerais mieux aller en prison que de dire tout ce que je sais sur le prĂȘtre ; j'aimerais mieux ĂȘtre traĂźnĂ©e par le cou que de le rĂ©vĂ©ler il y a de quoi faire trembler le ciel, non pas la terre, mais le ciel, avec ses puissances et ses prodiges. Notre-Seigneur dit que la faiblesse du prĂȘtre est grande et, qu'Ă  peine l'heure fatale aurait-elle sonnĂ©, qu'un grand nombre serait Ă  la tĂȘte des impies pour dĂ©former son nom et le profaner. Mes enfants, dit la Sainte Vierge, je veux vous dire que vous marchez dans la lumiĂšre... Quand, dans ce lieu oĂč je me plais, vous commencez votre travail pour mon divin fils, la lumiĂšre descend sur vous, vous Ă©claire, vous guide et vous dirige. La lumiĂšre luit sur ce papier oĂč vous recueillez si bien les paroles de mon Fils. Mes enfants, que j'aime ce lieu oĂč vous habitez ! Que j'aime ce petit coin de France oĂč Dieu vous a fait naĂźtre ! VoilĂ  un moment bien redoutable qui se prĂ©pare. Ne vous effrayez pas si je vous parle aussi ouvertement. Ce sera une heure bien amĂšre pour les hommes de cette terre sans foi, sans amour et sans religion. Ils vont subir le coup terrible qui leur est depuis longtemps rĂ©servĂ©. Ce coup est suspendu encore. Si vous entendez courir des bruits, des bruits de scandales affreux par leur laideur, si vous voyez venir jusqu'Ă  vous des espĂšces de doctrines empoissonnĂ©es, ne soyez ni surpris ni troublĂ©s. Ce sera une grande perdition pour les Ăąmes peu solides. Laissons-les travailler Ă  leur grĂ© une autre loi saura bien les arrĂȘter. Mes enfants, si vous saviez combien est petit le nombre de ceux qui soutiennent la foi ! Si vous saviez combien ce petit nombre sera contredit, raillĂ©, insultĂ©, tournĂ© en dĂ©rision ! J'ai, depuis longtemps, le dessein de m'adresser Ă  une Ăąme. Le moment approche oĂč je serai forcĂ©e de parler Ă  nouveau. Ce sera la derniĂšre fois que je ferai passer mes grands avertissements. Je n'ai pas encore choisi cette Ăąme. Cela se fera sans bruit, sans agitation, avec simplicitĂ©, comme toutes les Ɠuvres de mon Fils et les miennes ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1455 + + + + + 1878-09-29 Notre Dame annonce Mes enfants, c'est moi qui viens finir avec vous cette journĂ©e... Je crains que vous ne soyez effrayĂ©s. Ne soyez pas tristes, ni chancelants dans votre foi, durant ces jours si proches qui me font verser des torrents de larmes sur la perte de tant d'Ăąmes. Je vous garderai dans ce coin de Bretagne oĂč mon nom est si bien redit. - C'est vrai, MĂšre chĂ©rie, souvent nous redisons votre nom. - C'est surtout quand ce sont des bouches innocentes de petits enfants qui le redisent que mon cƓur est tendre. - Nous avons perdu, nous, cette parole d'innocence, car nous avons pĂ©chĂ©. - Non... Vous m'aimez et je vous aime. Soyez prudents parce que les efforts de l'ennemi vont ĂȘtre terribles. Soyez bien fermes et rĂ©solus Ă  vivre votre foi. - Oui, MĂšre chĂ©rie, nous le promettons, comme si nous faisions un testament... - C'est en dehors de toi... Vous aurez des piĂšges tendus et combats Ă  soutenir. Soyez rĂ©servĂ©s. Les souffrances se changeront en joie, parce que vous aurez tout attendu avec une patience admirable. Je ne viens pas, mes enfants, autant que je le voudrais, mais je reviendrai ». L’heure de Dieu n’est pas loin, dit Saint Michel, cette terreur profonde fera ressortir le triomphe de la nouvelle France. Mais ce triomphe ne peut venir avant que la Justice ne se soit appesantie sur cette terre gĂątĂ©e. N’attendez rien de celui qui rĂšgne comme roi et qui, aujourd’hui, est assis dans le mĂȘme fauteuil que les autres - fauteuil qui ne porte aucune marque d’un pouvoir spĂ©cial et plus grand - 1. Sa pensĂ©e est accordĂ©e Ă  la pensĂ©e des autres, sa parole Ă  leur parole, sa volontĂ© Ă  leur volontĂ©. Sa puissance et ses pouvoirs ne sont pas plus que ceux de celui qui est le dernier. N’attendez rien de ce cĂŽtĂ© il ne mĂ©rite pas plus de respect que tout le reste. Dans la tempĂȘte, sa voix criera aussi fort que les autres, contre tout ce que Dieu a Ă©tabli... Il n’y a pas de fermetĂ© en lui ils l’ont menĂ© ; ils l’ont dirigĂ©. VoilĂ  le portrait de cet homme c’est un poteau de boue. Plaignons-le, mais n’y pensons guĂšre. - Je n’y pense point, bon Saint Michel. - Pour ramener le Roi choisi et destinĂ© par Dieu, il faut que tous ceux qui sont Ă  prĂ©sent soient balayĂ©s ». La Flamme du Saint-Esprit dit Le Seigneur a prĂ©venu son peuple, depuis des annĂ©es et des annĂ©es. Il lui a prĂ©dit le terrible et douloureux Ă©vĂ©nement. Mon vrai peuple attend, sans effroi, la grande menace de Dieu et des hommes. Tous ceux qui ne sont plus Ă  JĂ©sus-Christ n’attendent que l’heure du grand dĂ©chirement pour tremper leurs mains dans le sang des dit encore Sur la terre du royaume de la MĂšre de Dieu s’élĂšveront des luttes entre les hommes. En ces combats, il n’y aura ni cƓur ni pitiĂ©. Une terrible Ă©preuve de captivitĂ© et de dĂ©pouillement pour les apĂŽtres de Dieu passera prochainement dans l’esprit des le soleil, la Flamme dit encore " Tout ce qui, jusqu’ici, Ă©tait considĂ©rĂ© comme justice sur la terre sera violĂ©. Que le peuple du Centre Paris se hĂąte d’aller se consacrer au SacrĂ©-CƓur Ă©levĂ© sur cette terre ! Ce temple, qui a entendu tant de priĂšres sera transformĂ© en salle de conseil. C’est lĂ  que les ennemis, en partie, dĂ©cideront, en dernier, de lancer l’annonce de la terreur et de la mort, sur toute l’étendue de ce Sainte Flamme dit encore " Toutes les Ăąmes qui se seront consacrĂ©es au Seigneur pour l’éducation chrĂ©tienne vont se voir tout retirer, n’ayant pour pain et soutien que la Providence du Seigneur qui n’a jamais abandonnĂ© personne. Il ne faut pas s’arrĂȘter sur les Ă©coles d’aujourd’hui oĂč rĂšgne Satan. Sa parole et sa puissance vont augmenter encore les iniquitĂ©s dĂ©jĂ  commencĂ©es. En ce temps, qui marche vers le terme d’une grande victoire, les Ăąmes qui se sont vouĂ©es Ă  l’instruction catholique n’habiteront plus les lieux qu’elles occupent encore aujourd’hui. Le vide va se faire complĂštement, pour toutes celles qui dĂ©pendent de la grande autoritĂ© perfide."Dans le soleil, la Flamme dit " Jusque dans les lieux les plus retirĂ©s, tous les suppĂŽts de l’enfer travaillent, maintenant, Ă  des Ă©critures abominables. Mon peuple les trouvera partout sur son chemin. Beaucoup de coureurs appellent les ouvriers Ă  la rĂ©volte, Ă  cause du manque de travail qui est leur pain de chaque jour... Les petites villes, comme les grandes, seront bientĂŽt perdues par des groupes d’ouvriers qui n’ont ni asile ni refuge. Ils s’étendront partout, surtout que l’heure oĂč ils pourront se rassasier ne tardera pas Ă  Flamme dit Partout, la France presque entiĂšre sera soulevĂ©e contre L’Église. On rĂ©pandra sans repos, sur la foi et l’Église, des articles abominables que le monde, sans l’enfer, n’aurait jamais su indignes ennemis du Dieu-Sauveur, qui s’assemblent dans les loges et les remplissent, sentent le moment approcher. Ils vont se lever, pleins d’espoir, pour jeter boue et scandale sur les apĂŽtres de Dieu et sur son Église. C’est par eux que la jeunesse finira d’oublier son CrĂ©ateur et RĂ©dempteur. Ce temps fait frĂ©mir, au sujet de ceux des chrĂ©tiens dont la foi se trouvera flamme a tout un cĂŽtĂ© qui s’éteint et le soleil devient triste, comme noyĂ© dans un voile sombre. Il s’élĂšve une autre flamme qui dit "Je contiens la voix de celle qui a Ă©tĂ© choisie comme Reine de ce royaume. " J’écoute sa parole. Elle dit " La MĂšre de Dieu, poussĂ©e par l’amour de son cƓur, va redescendre sur la terre, apparaissant Ă  son peuple d’une façon qui sera sans mesure. Elle va renouveler sa descente du ciel sur terre, dans les environs des montagnes de La Salette. Elle apparaĂźtra, suspendue sur une nuĂ©e blanche, environnĂ©e d’une guirlande de roses, pour dire " La terre ne sera qu’un tombeau, depuis l’Alsace-Lorraine, qui n’est pas comptĂ©e, jusqu’au bord de la Bretagne ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1456 + + + + + 1880-01-12 Mes enfants, dit la sainte Vierge, je ne retirai point mon amour de la terre. Je l'y laisserai avec vous ; j'y serai continuellement... Je viendrai vous apporter des marques Ă©clatantes de mon extrĂȘme amour, surtout aux PETITS ENFANTS dont l'innocence et la beautĂ© me charment. Ces bouches, dont il sortira un parfum de candeur, vous les entendrez, ces innocentes, REDIRE LA BEAUTE DE MON VISAGE... Oui, mes enfants, en ces derniers temps -encore qu'ils soient Ă©loignĂ©s de la fin qu'on nomme FIN DES FINS de la terre, c'est-Ă -dire FIN DE TOUTE EXISTENCE MORTELLE- comprenez-moi bien, en ces derniers temps, la terre sera tĂ©moin de grands et Ă©clatants prodiges, surtout dans le ciel ». + + + + + 1880-03-16 LES FOULES A LA FRAUDAIS Mes enfants, une foule d’ñmes descendront, de tous cĂŽtĂ©s, les chemins Ă©troits qui mĂšnent Ă  ce lieu solitaire. Mais ce nom de lieu solitaire ne sera pas portĂ© longtemps. Ce lieu deviendra grand, d’une immense grandeur. - Pourquoi, bonne MĂšre, plus qu’autrefois, ces visites ? - Les Ăąmes viendront, poussĂ©es par une grĂące extraordinaire. La voix d’En-Haut les poussera Ă  y venir ramasser les grĂąces du ciel, visibles et Ă©clatantes. - Bonne MĂšre, nous n’admettrons pas tant de monde. - Ma fille, le Ciel a tout Bonne MĂšre, si vous faites cela, je ne resterai pas ici. - OĂč iras-tu, ma chĂšre enfant ?- Je prendrai votre manteau et je me cacherai dessous pour me rendre invisible. - Mes enfants, l’instrument de tant de souffrances, de tant de sanctification, ne restera pas toujours sur la terre... Il y reste par une grĂące de prodiges divins. Il y reste pour accomplir les derniĂšres grandeurs d’une grĂące LĂ , je ne vous ai point comprise, bonne MĂšre. - Mes enfants, tant de peines, tant de croix, tant de larmes seront hautement rĂ©compensĂ©es. Depuis le Calvaire, jusqu’à ce jour, je n’ai jamais remarquĂ© tant de grĂąces, autant qu’il en est rĂ©servĂ© pour ce lieu oĂč je vous parle. - Bonne MĂšre, nous n’avons rien fait qui mĂ©rite la plus petite faveur. - Mes enfants, une montagne a Ă©tĂ© Ă©levĂ©e ici, chaque jour, par le travail du Dieu Tout-Puissant. Vous ĂȘtes sur cette montagne. Chaque jour, vous vous Ă©levez davantage par la grĂące ; et bientĂŽt la terre aura fui de vos pensĂ©es et de vos regards. La terre, alors, deviendra si basse que tous les pĂšlerins qui viendront vers votre montagne y rĂ©pandront une sueur abondante, tant elle sera difficile Ă  gravir. Je veux dire qu’ils comprendront combien le Saint des saints est admirable dans ses desseins, combien il mĂ©rite d’ĂȘtre exaltĂ© dans ses prodiges. Cette sueur, ce sont les larmes qu’ils verseront pour n’avoir point voulu goĂ»ter plus tĂŽt les grĂąces si prĂ©cieuses que goĂ»tait le petit nombre. A force de regrets, Ă  force de peines et de repentir, ils y parviendront dans la suite des annĂ©es. Mais les premiers seront Ă©levĂ©s bien haut et ravis mystĂ©rieusement. Mes enfants, au-dehors, on va ignorer le pourquoi de cette marche si serrĂ©e d’amis triomphants qui descendront au Sanctuaire de la Croix La Fraudais. C’est un secret qui sera rĂ©vĂ©lĂ© dans l’avenir. Mon divin Fils prĂ©pare au ciel, en union avec tous ses Ă©lus, une fĂȘte qui sera cĂ©lĂ©brĂ©e dans ce lieu oĂč nous sommes maintenant, dans ce lieu oĂč je suis descendue. Comment cela pourra-t-il se faire ? Mon Fils n’a-t-il pas semblĂ© se soumettre aux hommes et laissĂ© faire, comme autrefois il s’était soumis au chaste Joseph ? AprĂšs cette soumission charitable aux hommes, il va rĂ©gner comme un Roi qui a tout conquis. C’est mon Fils qui, Ă  son tour, va commander. VoilĂ  comment les Ɠuvres secrĂštes arriveront doucement Ă  leur terme, aprĂšs avoir Ă©tĂ© longtemps voilĂ©es en apparence. Vous ĂȘtes appelĂ©s Ă  une rĂ©gĂ©nĂ©ration extraordinaire. Vous serez appelĂ©s les enfants du monde nouveau». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1456 + + + + + 1880-04-12 LA BRETAGNE PARCOURUE Je lis dans le soleil En Bretagne, la foi a dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© en beaucoup d'Ăąmes mais, en beaucoup, elle reste florissante. Tous ceux qui auront laissĂ© affaiblir leur foi en Dieu pour suivre d'autres mouvements qui seront loin d'ĂȘtre foi et d'ĂȘtre agrĂ©ables Ă  Dieu - mouvement du temps prĂ©sent - tous ceux-lĂ  recevront, de la part de la juste et parfaite libertĂ© divine, de grandes et terribles tribulations. A l'Ă©poque oĂč les derniers maux fondaient sur notre France, en cette derniĂšre crise sanglante oĂč tout fut renversĂ©, il y a de cela bien des annĂ©es, Ă  cette Ă©poque, la MĂšre de Dieu se portait avec une affliction profonde vers notre Bretagne. Cette affliction fut connue et comprise de plusieurs Ăąmes trĂšs Ă©clairĂ©es des lumiĂšres de Dieu. Cela plut et fit plus que plaire Ă  la MĂšre de Dieu. Notre-Seigneur la fit gardienne de notre Bretagne et elle obtint de son Fils une large protection en tout temps. VoilĂ  la cause de l'Ă©pargne de bien des maux. Mais le courroux du ciel poursuit ceux qui ont mis de cĂŽtĂ© la foi pour suivre les mouvements du temps prĂ©sent. La foi de la Bretagne ne ternira pas sa fleur, malgrĂ© le parcours de l'insolence et de tant de terribles menaces sur des lĂšvres oĂč l'impiĂ©tĂ© ne connaĂźtra plus de bornes. Par cinq fois la Bretagne sera mortellement menacĂ©e et sur le point d'un fatal Ă©croulement. Sous les menaces tous chercheront Ă  fuir. Ce coup ne fera que porter au cƓur ; mais l'Ăąme et l'esprit n'en seront point atteints. Cinq fois la Bretagne sera traversĂ©e et retraversĂ©e par ceux qui portent partout le dĂ©sordre. La cinquiĂšme fois, la derniĂšre, l'ennemi en feu s'arrĂȘtera, avec sa troupe qu'on ne peut compter ce sera l'ennemi de la terre, l'ennemi de la religion, l'ennemi de l'Eglise. Dans cette marche, il n'y aura guĂšre de gens - chrĂ©tiens ou autres - Ă  Ă©chapper Ă  leurs griffes ou Ă  leur duretĂ©. Dans cette marche oĂč sera comprise, je dirais, toute la France, d'autres alliĂ©s, peut-ĂȘtre par millions, viendront se joindre Ă  nos meurtriers et Ă  nos pillards. AprĂšs avoir jetĂ© partout le dĂ©sordre et le dĂ©sastre, la plus grande partie arrivera vers le midi de la Bretagne. Droit devant, Ă  leur face et Ă  leur rencontre, se trouvera une croix de granit, artistiquement dĂ©corĂ©e. Cette croix est plantĂ©e entre la terre de Bretagne et l'autre qui n'en fait pas partie c'est la borne. Le pied mĂȘme de la croix va dans la terre qui n'est pas de Bretagne. C'est lĂ  que le dĂ©sordre et les efforts vengeurs exerceront leur fureur. Il leur sera dit - non par la voix des hommes, car il n'y aura plus d'autoritĂ© ni moyen de rien dire - il leur sera dit J'ai le droit de gouverner ici. La voix de l'homme ne sera pour rien dans cet arrĂȘt la voix de Dieu et sa puissance s'en chargeront seules. Dieu est roi et maĂźtre. La Bretagne, auparavant, cinq fois aura Ă©tĂ© traversĂ©e. La rĂ©volte partout aura semĂ© son Ă©cume. De l'arrĂȘt Ă  cette croix, les ennemis de Dieu remonteront au couchant qui, malgrĂ© le grand remuement, aura conservĂ© l'espĂ©rance et une paix assez grande pour le temps. Lors de cette remontĂ©e, ces lions et ces tigres feront de grands dĂ©sordres. Ceux-ci, pourtant, seront moins grands car le couchant aussi a une part dans les desseins de Dieu et sera moins malheureux. Dans le nord de la Bretagne, il y aura un peu plus Ă  souffrir. LĂ , le mal sera proportionnĂ© il y restera une lisiĂšre oĂč chacun aura permission de marcher sur ses terres. L'armĂ©e de mĂ©chants viendra aussi de ce cĂŽtĂ©-ci, oĂč rĂšgne la MĂšre de Dieu. LĂ , cette armĂ©e renoncera Ă  nous, mais elle cherchera le moyen de se venger du cĂŽtĂ© oĂč rĂšgne Sainte Anne, notre grand-mĂšre. Cette armĂ©e n'endommagera pas plus cette contrĂ©e que le jardin oĂč nous sommes La Fraudais. Pourtant il y aura des punitions pour les rebelles, mais les justes ont la destination d'ĂȘtre protĂ©gĂ©s ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1457 + + + + + 1880-06-08 Concernant l’Isle-Bouchard Je vois une Ă©glise de France, un sanctuaire de la protection de Marie, en tirant sur la Bretagne. Il est petit, mais riche intĂ©rieurement. Il porte dans son intĂ©rieur la MĂšre des Douleurs et un Ange qui prĂ©sente un lys. Sur l’emplacement de la vision d’amour fleurira un lys, dans une saison oĂč son temps de floraison est Ă  peu prĂšs passĂ© ». + + + + + 1880-08-05 Ces paroles cĂ©lestes attestent de la crĂ©dibilitĂ©Ì des prĂ©dictions de Justice et de MisĂ©ricorde. On ne peut donc se permettre les moqueries ou les sourires sceptiques. C’est Dieu qui parle, et Il ne parle pas en vain. La misĂ©ricorde peut adoucir la peine, donner des sursis de la longueur, de la mesure qu’elle juge bonne. Mais la Justice ne laissera aucune faute impunie, aucune, sur cette terre et dans l’autre monde. Les avertissements sont dĂ©jĂ Ì€ des chĂątiments, d’une certaine façon. Il y aura des morts, de peur, et des victimes des calamitĂ©s. II y aura, hĂ©las ! des suicides et des troubles dus aux Ă©motions violentes. Mais les chĂątiments auront un caractĂšre purificateur d’une telle ampleur que les hommes seront obligĂ©s de reconnaĂźtre leur origine divine, soit pour s’y soumettre, soit pour la blasphĂ©mer. Ces cataclysmes laisseront de grands vides dans les populations, certainement des morts par millions. " La terre sera dĂ©peuplĂ©e, purifiĂ©e ", elle sera dĂ©peuplĂ©e par de grandes Ă©pidĂ©mies de maladies inconnues qui frapperont soudainement, surtout dans les grandes villes. Elles surviendront en dehors des Ă©pidĂ©mies habituelles dans les tremblements de terre, ou les guerres. Les moyens mĂ©dicaux habituels seront totalement dĂ©passĂ©s. Si bien que ceux qui s’en sortiront vivants pourront y voir une protection toute particuliĂšre ; car tous les pays et toutes les rĂ©gions seront en danger de ces flĂ©aux. Nul ne pourra penser qu’il est totalement Ă Ì€ l’abri de tout. Ce sera l’heure de la confiance totale en Dieu, l’heure d’utiliser les moyens simples, humbles qu’il a fait donner à La Fraudais. Il n’y aura plus de rieurs ce jour-lĂ Ì€ ! Car ce ne sont pas seulement des forces naturelles qu’il faudra affronter, mais des puissances infernales. Il n’y aura qu’un remĂšde contre ces malĂ©fices la priĂšre et la croix, le renoncement à la volontĂ©Ì propre à l’Imitation de Jésus. VoilĂ Ì€ pourquoi le Ciel nous annonce ce dĂ©luge avec tant d’insistance, depuis si longtemps ! " Il y aura de graves maladies que l’art humain ne pourra soulager. Ce mal attaquera d’abord le cƓur, puis l’esprit et, en même temps, la langue. Ce sera horrible. La chaleur qui l’accompagnera sera un feu dĂ©vorant, si fort que les parties atteintes du corps en seront d’une rougeur insupportable. Au bout de sept jours, ce mal, semĂ©Ì comme le grain dans un champ, lĂšvera partout rapidement et fera d’immenses progrĂšs. Mes enfants, voici le seul remĂšde qui pourra vous sauver Vous connaissez les feuilles des Ă©pines qui poussent dans presque toutes les haies l’aubĂ©pine Les feuilles de cette Ă©pine pourront arrĂȘter les progrĂšs de cette maladie. Vous ramasserez les feuilles, non pas le bois. Même sĂšches, elles garderont leur efficacitĂ©Ì. Vous les mettrez dans l’eau bouillante et les y laisserez pendant 14 minutes, couvrant le rĂ©cipient afin que la vapeur y reste. DĂšs l’attaque du mal, il faudra se servir de ce remĂšde trois fois par jour. Mes enfants, cette maladie sera trĂšs grave en Bretagne. La pensĂ©e de Dieu y sera moins grande... Le mal produira un soulĂšvement continuel du cƓur, des vomissements. Si le remĂšde est pris trop tard, les parties atteintes deviendront noires, et dans le noir, il y aura des sillons tirant sur le jaune pĂąle ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1457 + + + + + 1880-09-20 LES CHATIMENTS Le Seigneur "donnera Ses avertissements au moyen de la nature, au dĂ©but de chaque annĂ©e." Les grandes perturbations atmosphĂ©riques avec pluies trop abondantes entraveront les semailles et la nourriture des bestiaux. II est prĂ©dit " Deux jours de tĂ©nĂšbres en dehors des trois jours du chĂątiment. Seuls les cierges de cire bĂ©nits donneront de la lumiĂšre. " La flamme dit que dans les desseins du Seigneur, il y aura deux jours d’affreuses tĂ©nĂšbres, sĂ©parĂ©es des trois jours que beaucoup d’ñmes ont annoncĂ©s. Le firmament sera violet et rouge ; il sera si bas que la touffe des arbres Ă©levĂ©s sera comme perdue dedans, jusqu’au quart des arbres les plus hauts. Ces deux jours vous prĂ©viendront comme un cachet authentique de la Bonté, mais aussi de la descente de Dieu par Sa ColĂšre sur la terre. Vous ne serez pas exempt de ces tĂ©nĂšbres... Pendant ces deux jours les arbres seront brĂ»lĂ©s et ne produiront aucun fruit l’annĂ©e suivante, car la sĂšve sera comme brulĂ©e et arrĂȘtĂ©e. La pluie qui tombera de ce ciel bas aura une odeur infecte et, partout où elle tombera, ce sera comme de gros grĂȘlons de feu qui perceront ce qu’il y a de plus solide et laisseront la tĂąche d’une brĂ»lure visible. Vos demeures seront prĂ©servĂ©es. Il n’y a que ce qui est lĂ©ger en couverture qui souffrira. " L’eau qui aura coulé sur la terre sera noire, d’un noir effrayant et presque toute la terre portera cette tĂąche Ă©galement partout ; mais elle ne nuira pas Ă Ì€ ce qui sert d’aliments aux chrĂ©tiens. " La flamme dit qu’en Bretagne, dans ces deux jours de tĂ©nĂšbres, sous ce ciel bas, il paraĂźtra une lumiĂšre, mais que personne ne pourra voir, car il ne faudra pas mettre la figure au jour par l’ouverture d’une porte ; il y aura un envoi de Dieu, sous la forme d’un Ă©clair brĂ»lant, qui obscurcirait l’Ɠil humain. " Le Seigneur me presse de vous faire passer Ses paroles et Ses volontĂ©s. Le jour de ces tĂ©nĂšbres sera encore supportable, malgrĂ©Ì l’obscuritĂ©Ì... Mais si le jour est calme, la nuit sera violente, et pendant les deux nuits, des cris sortiront on ne saura d’oĂč̀ ; on n’entendra point de pas, ni de marche sur la terre, couverte de Justice. La nuit, la bougie bĂ©nite, comme le cierge ne devront pas ĂȘtre Ă©teints. Le jour, on pourra s’en passer, par une grĂące qui vient du plus loin du CƓur de Dieu ». + + + + + 1880-11-04 Marie-Julie nous dĂ©crit le martyre du Pape La voix de l'Eglise, dans un soupir voilĂ©, vient faire retentir aux portes de mon Ăąme brisĂ©e l'Ă©cho de sa voix mourante. Le Pontife suprĂȘme lance une parole agonisante vers son peuple, vers les enfants dont il est le PĂšre. C'est un glaive pour mon Ăąme... - Je vois de blancs oiseaux emporter dans leur bec son sang et des lambeaux de sa chair. - Je vois la main de Pierre percĂ©e par le clou comme celle de Dieu. - Je vois ses vĂȘtements de cĂ©rĂ©monie arrachĂ©s en lambeaux. - Je vois tout cela dans mon Soleil mystique. Oh ! Que je souffre ! » Au moment oĂč la rage des impies s’arrĂȘtera pour un court rĂ©pit, il arrivera une grande maladie, presque subitement. Ce chĂątiment laissera les victimes comme Ă©tant sans vie ; ils respireront encore sans pouvoir parler, la chair Ă  vif comme aprĂšs une profonde brĂ»lure. Ce mal sera trĂšs contagieux et on ne pourra l’arrĂȘter. C’est une punition du Seigneur afin d’en ramener plusieurs. » Le Seigneur donnera Ses avertissements au moyen de la nature, au dĂ©but de chaque annĂ©e Les grandes perturbations atmosphĂ©riques avec pluies trop abondantes entraveront les semailles et la nourriture des bestiaux ?. II est prĂ©dit Deux jours de tĂ©nĂšbres en dehors des trois jours du chĂątiment. Seuls les cierges de cire bĂ©nits donneront de la lumiĂšre. La flamme dit que dans les desseins du Seigneur, il y aura deux jours d’affreuses tĂ©nĂšbres, sĂ©parĂ©es des trois jours que beaucoup d’ñmes ont annoncĂ©s. Le firmament sera violet et rouge ; il sera si bas que la touffe des arbres Ă©levĂ©s sera comme perdue dedans, jusqu’au quart des arbres les plus hauts. Ces deux jours vous prĂ©viendront comme un cachet authentique de la BontĂ©, mais aussi de la descente de Dieu par Sa ColĂšre sur la terre. Vous ne serez pas exempt de ces tĂ©nĂšbres... Pendant ces deux jours les arbres seront brĂ»lĂ©s et ne produiront aucun fruit l’annĂ©e suivante, car la sĂšve sera comme brĂ»lĂ©e et arrĂȘtĂ©e. La pluie qui tombera de ce ciel bas aura une odeur infecte et, partout oĂč elle tombera, ce sera comme de gros grĂȘlons de feu qui perceront ce qu’il y a de plus solide et laisseront la tĂąche d’une brĂ»lure visible. Vos demeures seront prĂ©servĂ©es. Il n’y a que ce qui est lĂ©ger en couverture qui souffrira. L’eau qui aura coulĂ© sur la terre sera noire, d’un noir effrayant et presque toute la terre portera cette tache Ă©galement partout ; mais elle ne nuira pas Ă  ce qui sert d’aliments aux flamme dit qu’en Bretagne, dans ces deux jours de tĂ©nĂšbres, sous ce ciel bas, il paraĂźtra une lumiĂšre, mais que personne ne pourra voir, car il ne faudra pas mettre la figure au jour par l’ouverture d’une porte ; il y aura un envoi de Dieu, sous la forme d’un Ă©clair brĂ»lant, qui obscurcirait l’Ɠil humain. Le Seigneur me presse de vous faire passer Ses paroles et Ses volontĂ©s. Le jour de ces tĂ©nĂšbres sera encore supportable, malgrĂ© l’obscuritĂ©... Mais si le jour est calme, la nuit sera violente, et pendant les deux nuits, des cris sortiront on ne saura d’oĂč ; on n’entendra point de pas, ni de marche sur la terre, couverte de Justice. La nuit, la bougie bĂ©nite, comme le cierge ne devront pas ĂȘtre Ă©teints. Le jour, on pourra s’en passer, par une grĂące qui vient du plus loin du CƓur de Dieu. » + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1458 + + + + + 1880-11-30 LES CHATIMENTS Les foudres du ciel se succĂ©deront avec une violence rapide. Le feu du ciel parcourra la terre sur une largeur effroyable cette foudre vengeresse brĂ»lera toute pointe qui produit du fruit. Les terres cultivĂ©es seront ravagĂ©es par la puissance de ce feu ; les prairies seront brĂ»lĂ©es et rĂ©duites Ă  une terre complĂštement dĂ©pouillĂ©e. Les fruits ne paraĂźtront point ; toutes les branches d'arbres seront sĂšches jusqu'au tronc. Enfants de la Bretagne, vous userez, pour conserver vos rĂ©coltes, de ce que la bontĂ© de mon Fils vous a rĂ©vĂ©lĂ© c'est le seul moyen de sauver votre nourriture. Mes enfants, pendant trois jours le ciel sera en feu, sillonnĂ© de frayeur par la colĂšre divine. Ce qui m'attriste, c'est que cette colĂšre n'arrĂȘtera pas la force de l'enfer. On ne craint ni mon Fils ni l'enfer. Il faut que ce temps passe. Le pĂ©ril de la France est inscrit au ciel par la puissance Ă©ternelle. Je ne peux plus intercĂ©der ; je ne suis plus qu'une mĂšre sans puissance. Pendant plusieurs annĂ©es, la terre ne produira rien. La France sera malheureuse, mĂȘme aprĂšs son triomphe. Pendant deux ou trois ans, elle se ressentira de ces ruines et de ces misĂšres profondes. La misĂšre sera grande, bien que mon peuple soit Ă©clairci. La priĂšre ramĂšnera la bĂ©nĂ©diction. Mon Fils et moi, nous aurons pitiĂ© de cette longue pĂ©nitence. Mes enfants, priez pour l'Eglise ; priez pour tous ces ministres ; priez pour le Pape, car on attentera Ă  ses jours. Ce lieu aussi sera criblĂ© de vengeance, et le mal y fera des progrĂšs sans mesure, malgrĂ© la fois d'une grande partie de mon peuple. Le mal, que j'entrevois si proche, laisse Ă  mon CƓur une blessure qui durera toujours une perte d'Ăąmes considĂ©rable, la foi ruinĂ©e, le baptĂȘme souillĂ©. Toutes ces lĂąchetĂ©s, que je vois, changeront en mauvais chrĂ©tiens beaucoup de mes enfants. La France pĂ©rira -pas toute, mais beaucoup pĂ©riront-. Elle sera sauvĂ©e avec un nombre bien petit... O France, on apportera, jusque dans tes lieux, la poussiĂšre de l'Ă©tranger. Tu ne pourras renvoyer ces Ă©trangers... Tu fus si noble, ta noblesse sera perdue. J'ai vu tout passer sur terre, Jamais -je vous le dis avec mon cƓur de mĂšre- jamais je n'ai eu sous les yeux l'attente de pareils crimes, de pareils malheurs violations, sacrilĂšges, attentats. C'est dĂšs aujourd'hui que je vois toutes ces peines. Oh ! Priez, mes enfants ! Je m'arrĂȘte sur ces douleurs. Reposez-vous, mes enfants ». + + + + + 1881-03-08 La Bretagne, dit-elle, est un nom cher au Seigneur et Ă  sa MĂšre. En Bretagne, le tremblement de terre ne se fera au temps oĂč toutes les autres contrĂ©es seront tremblantes d'Ă©pouvante. Il se fera sentir vers la fin du siĂšcle, mais sa force sera lĂ©gĂšre et mĂ©nagĂ©e par un grand dessein de Dieu ... Le tremblement de la Bretagne se fera sentir mais pas au loin ; les Ă©clairs seront faibles et les grondements de tonnerre lĂ©gers. Mais les tĂ©nĂšbres y passeront, ainsi que dans tout l'univers. Chers amis du Seigneur, sa promesse vous est donnĂ©e pour vous la frayeur sera lĂ©gĂšre ; mais au grand commencement de la fin des siĂšcles, la Bretagne comme les autres aura aussi ses frayeurs. Tout l'univers sera pris. LĂ , il n'y aura plus une bien longue attente sur la terre Dieu attirera ses enfants au ciel. Maintenant reposez-vous dans sa paix et son espĂ©rance. C'est le Seigneur qui veut tout et sa puissance exige qu'on lui obĂ©isse. - Merci divine flamme ! Repos. » Pendant le court repos + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1458 + + + + + 1881-03-24 Certains lieux seront plus sĂ»rs. La Bretagne sera protĂ©gĂ©e par la Sainte Vierge, mais selon la mesure de la Foi. Notre-Seigneur la fit gardienne de notre Bretagne et elle obtint de Son Fils une large protection en tout temps ; mais le Seigneur poursuit ceux qui ont mis de cĂŽtĂ© la Foi, pour suivre les mouvements du temps prĂ©sent... Cinq fois, la Bretagne sera traversĂ©e et retraversĂ©e par ceux qui portent partout le dĂ©sordre... Dans le Nord de la Bretagne, il y aura un peu plus Ă  souffrir. LĂ  le mal sera proportionnĂ© il y restera une lisiĂšre oĂč chacun aura permission de marcher sur ses terres... Sainte Anne protĂ©gera la rĂ©gion d’Auray, il y aura des punitions pour les rebelles, mais les justes ont la destination d’ĂȘtre protĂ©gĂ©s... La rĂ©gion du Mont Saint Michel sera relativement protĂ©gĂ©e. La VendĂ©e sera protĂ©gĂ©e, sauf sur les frontiĂšres, au midi... Mais nombre de VendĂ©ens verseront leur sang, car ils ont conservĂ© leur Foi. Nantes aura moins Ă  souffrir. Le diocĂšse sera comparativement protĂ©gĂ©, mais nulle grĂące pour les impies et les mauvaises familles !... D’autres malheurs Ă  partir de Nantes vers le Sud. PontchĂąteau sera Ă©pargnĂ© Ă  cause du PĂšre de Montfort... La Fraudais, le jardin de Marie sera protĂ©gĂ©. Le couchant, l’Ouest, depuis la chapelle de Lourdes jusqu’au Nord sera Ă©pargnĂ©Ì, sauf Bordeaux dĂ©truit lors d'un conflit. Toulouse sera Ă©pargnĂ©e à cause de Sainte Germaine de Pibrac, mais elle n’est pas au bout de ses peines. Mende et Rodez seront Ă©pargnĂ©es. Saint Martin de Tours protĂšgera surtout ceux qui le prieront. À Lourdes, il y aura une protection pour les justes, mais je punirai le peuple ingrat qui donnera à boire aux animaux l’eau de la source que j’ai fait jaillir. Là, le peuple sera bien malheureux. On le fera souffrir, parce que je suis apparue en ce lieu. Les animaux des profanateurs perdront la vie. Nulle contrĂ©e ne sera totalement exempte de tribulations. Il y a du mauvais monde partout, et Dieu connaĂźt le fond de tous les cƓurs. Chaque endroit est dĂ©signĂ©Ì par le Doigt de Mon Fils, sur la page d’un livre caché sous Sa tunique divine. Sa MisĂ©ricorde serait prĂȘte à se laisser toucher, mais si peu d’ñmes prient, un si grand nombre l’outrage... ». + + + + + 1881-06-09 La Vierge Marie, apparue Ă  Pontmain le 17 janvier 1871, manifestation reconnue par l’Eglise, rĂ©vĂ©la dix ans plus tard Ă  Marie-Julie Jahenny, qu’elle s’y manifesterait de nouveau pour annoncer les guerres de la France Je reviendrai Ă  Pontmain comme la premiĂšre fois pour annoncer les guerres de la France. L’invasion Ă©trangĂšre viendra jusqu’aux abords de Pontmain pour fondre sur la Bretagne. Je les arrĂȘterai par un signe qui se manifestera dans les airs. Ce signe jettera Ă  terre miraculeusement ces armĂ©es internationales Ă  la Croix des 3 provinces, face Ă  une petite armĂ©e d’une soixantaine d’hommes. Je reviendrai Ă  La Salette au moment oĂč un roi mauvais placĂ©, mais pour peu de temps, sur le trĂŽne de France. Ce roi est un descendant de la branche d’OrlĂ©ans. A Lourdes je punirai le peuple ingrat qui donnera Ă  boire aux animaux l’eau de la source que j’ai fait jaillir. Les animaux mourront et tous ceux qui seront au service des impies profanateurs. LĂ  le peuple sera bien malheureux. On le fera souffrir parce que je suis apparue dans ce lieu ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1459 + + + + + 1881-08-04 Les Ă©preuves de la ville de Nantes. La Flamme du Saint-Esprit L’amour du Seigneur ne se lassera jamais de rĂ©pandre au-dedans de nous-mĂȘme ses plus douces faveurs. Ce qui met obstacle Ă  Son Amour, ce sont les nombreux pĂ©chĂ©s de tant et tant de malheureux qui rejettent l’Amour de leur CrĂ©ateur pour se livrer Ă  toutes sortes d’abominations. Notre Seigneur s’approche de son peuple et lui fais passer ses douleurs et la vue d’un avenir malheureux. Il demande Ă  Son peuple "Veux-tu faire passer mes avertissements ? " L’ñme accepte et JĂ©sus fait de cette Ăąme le facteur des bonnes et tristes nouvelles. Le Seigneur se choisit des Ăąmes apĂŽtres pour la France et au-delĂ . Plusieurs de ces Ăąmes seront des flambeaux lumineux pour le temps de la terreur. Il y aura un mal sans remĂšde que rien ne pourra arrĂȘter sans un ordre divin. Il va falloir ces Ăąmes apĂŽtres et leurs dons visibles de Dieu pour modĂ©rer toute l’ardeur du mal de ces hommes qui ne respirent que la rage rĂ©volutionnaire. Les bons et les justes seront repoussĂ©s comme des brebis galeuses, du milieu de ces hommes qui ont dĂ©jĂ  la puissance et la libertĂ© de tout livrer Ă  feu et Ă  sang. Les desseins du Seigneur sont impĂ©nĂ©trables mais le Seigneur en laisse sortir une pointe rayonnante sur laquelle ses proches desseins se laissent sonder facilement. Le Seigneur ne cache rien Ă  Son peuple. Il est prĂȘt de susciter des flambeaux au cƓur de ce royaume et dans la Bretagne catholique oĂč la foi cependant diminue en beaucoup de cƓurs. Dans le CƓur du diocĂšse oĂč demeure le Pasteur des brebis, les desseins du Seigneur sont d’élever lĂ  une Ăąme et de lui faire rapporter toute la gravitĂ© des malheurs et toute la grandeur des peines qu’il aura Ă  souffrir, toutes les luttes surtout lorsqu’il verra sous ses yeux l’affreux dĂ©sordre de ses temples en lambeaux devenus la caverne et le refuge des scĂ©lĂ©rats. Tout le cƓur du diocĂšse Nantes ? ne sera pas en cet Ă©tat, mais un cĂŽtĂ© oĂč se trouve le soleil quand on chante l’angĂ©lus. Le Seigneur chargera cette Ăąme pour peu de temps de cette grande mission. Les choses lui feront voir tous les jours les spectacles bien terribles de ses prĂȘtres auxquels la vie sera enlevĂ©e et un grand nombre de son troupeau, sur ce cĂŽtĂ©, gisant dans la poussiĂšre et le sang. Le cƓur du Pasteur ne renferme guĂšre de sensibilitĂ© pour les plantes chrĂ©tiennes rachetĂ©es par le sang Ă©ternel. Il fuira, ou bien des ordres sĂ©vĂšres de Dieu l’arrĂȘteront auparavant. Il y en aura bien d’autres Ă  abandonner pour aller se rĂ©fugier sous la tente qui sauve. Cette tente, c’est l’abomination du reniement de l’Eglise ! Un peu plus tard, le Seigneur lui-mĂȘme saura arranger toutes choses car le Pasteur du troupeau d’aujourd’hui ne voudra plus reconnaĂźtre la voix foudroyante du Dieu Éternel. Malheureux les hommes qui persĂ©vĂšreront dans le refus de ces derniers avertissements, car, aprĂšs ces paroles nouvelles, il n’y aura plus qu’une heure avant que la France entiĂšre ne soit livrĂ©e au dĂ©sordre, avant que ne soient levĂ©s tous les crimes de l’horrible terreur. DĂ©jĂ , tout sera commencĂ©. Le commencement sera modĂ©rĂ© par endroits, en d’autres, il sera dans toute sa fureur. La protection ne sera pas Ă©gale pour tous, ce sera dans ces villes, oĂč la source s’accroit tous les jours en mal et en horreur ». La flamme du Saint-Esprit dit encore Le Seigneur a dĂ©voilĂ© celle qui protĂ©gerait la terre des vrais bretons ; et la bontĂ© du Seigneur l’appellera, au temps nĂ©cessaire, pour dĂ©couvrit tous les piĂšges infernaux et le renversement du temple de la MĂšre de la MĂšre de Dieu sur la terre de Sainte Anne. C’est elle qui, par Dieu, recevra la connaissance des desseins des hommes qui amĂšneront enchaĂźnĂ©s et liĂ©es, les Ă©poux, les Ă©pouses, les enfants de la terre oĂč il fut fait tant de martyrs sur ce sol arrosĂ© de sang. C’est cette Ăąme qui en sera chargĂ©e, si elle a encore Ă  qui faire passer ces choses-lĂ , car les hommes du pouvoir auront prononcĂ© le mot de vivre ou mourir. Pour Ă©chapper, il faudra tout quitter, abjurer la foi catholique. Le Pasteur de lĂ  restera-t-il jusqu’à cette heure, entre la lutte et le combat ? Combattra-t-il pour garder son honneur encore, ou bien aura t-il cĂ©dĂ© sous l’empire frĂ©missant qui attire la colĂšre de Dieu ? La foi est faible ; pour se sauver, on vend son Ăąme et l’on va s’asseoir parmi ceux qui ont en mains la victoire pour aujourd’hui encore et demain jusqu’à l’heure de l’éclat ». Dans la suite de cette extase, Marie-Julie annonce des Ăąmes privilĂ©giĂ©es qui annonceront Ă  plusieurs provinces de France des lieux de refuge. Marie-Julie termine Merci, Flamme vive, merci PĂšres et FrĂšres, si vous entendez mes plaintes, ne m’en voulez pas. On crie de toutes parts, le clergĂ© de Blain Ă  mon dĂ©faut d’humilitĂ©, Ă  l’orgueil, au manque de charitĂ©, Ă  l’invention. On crie de tous cĂŽtĂ©s, mais je ne m’en inquiĂšte pas ; car le ciel ne me fait aucun reproche. On dit encore que j’ai pu interprĂ©ter telle ou telle parole, quand cela ne me plait pas. Mais devant Dieu, mon Ăąme sera bien innocente car, si Lui ne me menait pas, je n’aurais jamais eu la connaissance de tout cela. Je ne m’en serai jamais fait une idĂ©e avec ma pauvre ignorance et dans mon pauvre village. La Flamme du Saint-Esprit Courage, persĂ©vĂ©rance ! Tu seras le Vainqueur ». Marie-Julie Je ne dĂ©sire que la volontĂ© de Dieu, qui est lĂ  et qui parle Ă  mon Ăąme. J’ai des amis, je n’en dĂ©sire pas d’autres ». + + + + + 1881-08-26 Sainte Anne, mĂšre de la Bretagne, nous dit Le Sauveur Henri de la Croix viendra jusqu’à nous. Elle ne nous dit pas " jusqu’à toi ", puisque j’aurai quittĂ© cette terre, mais jusqu’à ceux qui y vivront pour se rĂ©jouir, sous la Croix et sous le firmament Ă©toilĂ© de la France ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1459 + + + + + 1881-11-28 Ces pluies surviendront pendant la pĂ©riode du ChĂątiment gĂ©nĂ©ral, en relation avec les 3 jours de tĂ©nĂšbres. Ce nuage rouge de sang est la punition des crimes, des homicides, des avortements, des guerres injustes. Les tĂ©nĂšbres sont l’image des tĂ©nĂšbres du pĂ©chĂ©Ì de l’âme qui refuse la lumiĂšre divine, qui mĂ©prise l’amour ; cette lumiĂšre refusĂ©e et outragĂ©e revient sous forme d’éclairs foudroyants. Jésus est venu pour Ă©clairer les tĂ©nĂšbres et les tĂ©nĂšbres ne L’ont pas reçu. Les tĂ©nĂšbres mortelles punissent les tĂ©nĂšbres volontaires des incrĂ©dules, des orgueilleux et des infidĂšles. " Il fera noir pendant ces frais jours de pluie, de deuil, d’agonie et de mort. Il y aura une tempĂȘte affreuse ; les arbres les plus profondĂ©ment enracinĂ©s seront Ă©branlĂ©s. Mes enfants, Je suis la Voie, la VĂ©ritĂ©Ì et la Vie. Au sortir de ces trois jours, vous ne trouverez que cadavres. C’est là une prophĂ©tie que Je vous fais Moi-mĂȘme, Moi qui suis la Voie de la VĂ©ritĂ©Ì et de la Vie. Écoutez Mes paroles. La Bretagne devrait moins souffrir de cette pluie et de cette tempĂȘte. " Je laisserai la moitié de la moisson. Mais sachez que Je saurais bien trouver, dans cette Bretagne, ceux qui M’outragent et blasphĂšment mon Nom... Heureux ceux qui ne seront pas Ă©loignĂ©s de la Croix ! Mes enfants, dans ce dĂ©luge de frayeur, vous porterez Ma Croix, fût-elle toute petite ou grande ! Vous direz la priĂšre suivante. Voir la priĂšre révélée pour les grandes calamitĂ©s "Je Te salue, je T’adore, je T’embrasse, O Croix adorable de Mon Sauveur ! Protège-nous, garde-nous, sauve-nous ! Jésus t’a tant aimĂ©e ! A Son exemple, je T’aime ! Que ta Sainte image calme mes frayeurs,Que je ne ressens que paix et confiance." Pendant les grands orages "Ô Crux, ave, Spes unica ! Et Verbum caro factum est. Ô Jésus, Vainqueur de la mort, sauvez-nous !" LE CHÂTIMENT DES TENEBRES Cette purification universelle aura lieu et clĂŽturera la " troisiĂšme Ă©poque " Elle sera l’extermination des ennemis du Christ, qui sont aussi ceux de l’Église, du Pape et du Roi de France. Celui-ci aura commencĂ©Ì sa reconquĂȘte dĂšs la moitié de la seconde Ă©poque. Ces tĂ©nĂšbres sont une figure des tĂ©nĂšbres de l’intelligence dans lesquelles l’homme s’est prĂ©cipitĂ©Ì. Mais elles seront bien concrĂštes, palpables pour ainsi dire ! " Le soleil sera obscurci auparavant, avant garde des vraies tĂ©nĂšbres qui arriveront 37 jours aprĂšs les signes de l’obscuritĂ©Ì du soleil et des signes de la terre et de la tempĂȘte annoncĂ©e. ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1500 + + + + + 1882-01-24 L'INVASION La France, dit la Flamme, a criĂ© d'une voix perçante "Je ne veux pas de Sauveur, je ne veux pas de remĂšde". Quel remĂšde reste-t-il pour celle qui s'accorde Ă  LIVRER SON PEUPLE, et Ă  fouler sous ses pieds la couronne et le sceptre rĂ©servĂ©s depuis la mort du martyr Louis XVI ? Depuis cette trahison, son honneur n'a fait que se dĂ©grader en faiblesse. J'assure que dĂ©sormais il n'y a plus de remĂšde. Une seconde Flamme ajoute Le SacrĂ©-CƓur de JĂ©sus laissera la victoire AUX TYRANS DU ROYAUME, jusqu'Ă  ce que mon peuple reconnaisse l'erreur oĂč il s'est enfoncĂ©, en se livrant lui-mĂȘme et en livrant sa patrie. Son peuple a Ă©tĂ© d'erreurs en erreurs. Je peux dire hautement que le dernier acte est accompli. Il lui sera difficile d'Ă©chapper au pĂ©ril imminent, puisque tous ses projets Ă©closent sous la chaleur de l'iniquitĂ©. Cette premiĂšre Ă©closion n'est qu'un appel Ă  une seconde. Si le peuple ne prie pas, il est perdu Ă  jamais et sans espoir. Le Seigneur avait promis de sauver son peuple par son divin CƓur. Il lui a fait des appels violents et multipliĂ©s. Ceux que j'appelle sauvĂ©s par son CƓur, c'est la BRETAGNE et une PARTIE DE LA VENDEE, mais la part de celle-ci est fort petite en vĂ©ritĂ©. Elle va devenir le fort de nombreuses iniquitĂ©s et l'Ă©chafaud d'un grand nombre de victimes. Les coups qui annoncent qu'il n'y aura plus de repos vont retentir sans tarder dans les murs du Centre PARIS. Il suffira d'un DESACCORD. Cette seule chose suffit dĂ©sormais. La conquĂȘte de ces faux rois a Ă©tĂ© placĂ©e sur des chars de triomphe. Combien l'heure de la dĂ©cision sera proche, aprĂšs un DEBAT MOINS FORT que ceux d'autrefois la dĂ©cision n'aura pas besoin d'ĂȘtre forte. Ils se seront trompĂ©s dans leur espĂ©rance ; ils seront surpris Ă  l'heure inattendue. Tout va tomber ENVAHI ET SOUS L'AUTORITE D'HOMMES CRUELS ET FEROCES. Les lieux oĂč l'on prie en silence n'ont pas de repos pour longtemps, et ne seront plus un asile contre le courroux de la puissance des humains ». La Flamme dit de nouveau Le Seigneur attend qu'une voix s'Ă©lĂšve pour lui CONSACRER le peuple de ce diocĂšse et le recommander Ă  son immense protection. D'horribles attentats sont sur le point de se commettre, non loin du cƓur de ce diocĂšse, au moment du grand dĂ©luge de la partie française, quand la justice de ce siĂšcle va tout laisser en libertĂ©. Ceux qui, dans quelque temps d'ici, devraient lever la voix seront dans la ligne tracĂ©e d'une autre maniĂšre. Heureux ceux qui refuseront ces traces, quand des appels Ă  s'engager seront discutĂ©s Ă  l'assemblĂ©e. Le parti fort sera celui de la victoire du mal. Le petit nombre tombera sous les foudres de ces voix qui font appel au sang et Ă  la chair des corps, pour dĂ©rouiller leurs instruments, comme ils disent ». + + + + + 1882-02-07 Mes enfants, dit Monseigneur Fournier, je ne vois que le ciel pour vous dĂ©fendre de ces ennemis Ă©trangers, ambitieux et avares des trĂ©sors de cette terre qui est votre patrie. Mes enfants, je ne vois pas le cƓur d'un pĂšre pour repousser ces cƓurs cruels qui fonceront, de diffĂ©rents cĂŽtĂ©s, pour puiser, si c'est possible, jusque dans mon diocĂšse qui est de Bretagne. Je supplierai le ciel d'Ă©pargner bien des maux, bien des victimes ; mais le cƓur de ces hommes sera insensible, dur et inflexible en leurs idĂ©es ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1500 + + + + + 1882-02-14 Les "Ă©lĂ©ments" vont d’une part dĂ©truire – telle la foudre – les ennemis de Dieu, et d’autres "Ă©lĂ©ments" - tel l’éclat du soleil – vont accompagner la marche triomphale du cortĂšge royal. Il semble mĂȘme que le dernier tremblement de terre engloutira ce qu’il restera d’ennemis du rĂšgne de Dieu, pendant que dans le mĂȘme temps, la terre restera ferme sous l’avancĂ©e des amis de la Croix ». Marie-Julie lit dans la flamme du Saint-Esprit La banniĂšre du Sauveur de la France ne verra pas couler le sang rĂ©pandu et la terre imbibĂ©e du sang des chrĂ©tiens. Ma voix adorable rĂ©unit mes illustres et gĂ©nĂ©reux combattants. Comme autrefois, en diverses circonstances, elle a choisi de vrais et gĂ©nĂ©reux guerriers. L’homme de foi qui a souffert et espĂ©rĂ© au fond de l’exil, va, avant des annĂ©es, se lever comme un Ă©clair lumineux. Il attendra sur le sol français l’Alsace la venue de l’armĂ©e des Bretons, victorieux d’ennemis atterrĂ©s, sous le firmament tĂ©nĂ©breux. En mes desseins, le Sauveur sommeille dans l’exil, penchĂ© sur le lys dont son esprit Ă  tant rĂȘvĂ© voilĂ  peut-ĂȘtre la rĂ©ponse Ă  ceux qui se demandent s’il sait qu’Il est de race royale et appelĂ© Ă  rĂ©gner, sous un ciel Ă©parĂ© et Ă©toilĂ©, il apportera le triomphe Ă  mon temple et se reposera sur mon CƓur. Les larmes couleront sur la terre, mais le ciel rĂ©compensera tant de souffrances par la sollicitude joyeuse des vrais soldats de la Croix. Mon peuple se dĂ©vouera pour ma gloire, muni des armes de l’Archange qui a promis de marcher Ă  sa tĂȘte. L'ennemi s'opposera au triomphe de l'illustre vainqueur. Ses armĂ©es auront soif du sang de ceux que ma gloire appelle ; mais le ciel les aveuglera, la foudre les frappera sans mĂ©nagementC'est Ă  une fort longue distance du siĂšge souillĂ© par l'homme coupable, et ressouillĂ© par de plus coupables encore, que je conduirai, sous une nuĂ©e de triomphes, mes Ă©lus sur cette terre française oĂč les ennemis ont jurĂ© de donner la mort au Sauveur du royaume, Henri de la Croix. Son nom est Ă©crit au livre d'or Il viendra consoler l’indigence, renouveler le sacerdoce dĂ©vastĂ©, affaibli et tombĂ© comme une branche sous la scie de l’ouvrier. Sa charitĂ© renouvellera le sacerdoce, relĂšvera les statues de ma MĂšre, fera remonter les calvaires insultĂ©s et rĂ©duits en lambeaux. L’ñme innocente de la Bretagne du fond de la Bretagne sera pour le serviteur de la Croix, la messagĂšre des ordres d’En-Haut ». De toutes les communications donnĂ©es Ă  Marie-Julie, il ressort que par lui-mĂȘme et par les membres de sa famille, l’Élu du Seigneur sera le conseiller des nations. Le SacrĂ©-CƓur indique La banniĂšre du Sauveur ne verra pas couler le sang, mais elle verra le sang rĂ©pandu et la terre imbibĂ©e du sang des chrĂ©tiens. Ma voix adorable rĂ©unit mes illustres et gĂ©nĂ©reux combattants. Comme autrefois, en diverses circonstances, elle a choisi de vrais et gĂ©nĂ©reux guerriers. L'homme de foi qui a souffert et espĂ©rĂ© au fond de l'exil va, avant des annĂ©es, se lever comme un Ă©clair lumineux. Il attendra, sur le sol français, la venue de l'armĂ©e victorieuse d'ennemis atterrĂ©s, sous le firmament tĂ©nĂ©breux. En mes desseins, le Sauveur sommeille dans l'exil, penchĂ© sur le lys dont son esprit a tant rĂȘvĂ©. Sous un ciel Ă©parĂ© et Ă©toilĂ©, il apportera le triomphe Ă  mon temple et se reposera sur mon CƓur. Les larmes couleront sur la terre, mais le ciel rĂ©compensera tant de souffrances par la sollicitude joyeuse des vrais soldats de la Croix. Mon peuple se dĂ©vouera pour ma gloire, muni des armes de l'Archange qui a promis de marcher Ă  sa tĂȘte ». Notre Seigneur JĂ©sus annonce Du Ciel, tu verras le triomphe de l’Église planer sur le front de Mon vrai serviteur Henri de la Croix ; son nom est Ă©crit au Livre d’or ; Il viendra consoler l’indigence, renouveler le sacerdoce dĂ©vastĂ©, affaibli et tombĂ© comme une branche sous la scie de l’ouvrier. Sa charitĂ© renouvellera le sacerdoce, relĂšvera les statues de Ma MĂšre, fera remonter les calvaires insultĂ©s et rĂ©duits en morceaux ». Il mĂ©ritera ce nom car, Ă  l’imitation de Notre-Seigneur, Il aura rĂ©ellement vĂ©cu dans la Croix, depuis sa naissance jusqu’aux Ă©preuves que lui infligera la France... » + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1501 + + + + + 1882-03-15 Dans le soleil, la flamme dit Jusque dans les lieux les plus retirĂ©s, les suppĂŽts de l'enfer travaillent, maintenant, Ă  des Ă©critures abominables. Mon peuple les trouvera partout sur son chemin. Beaucoup de coureurs appellent les ouvriers Ă  la rĂ©volte, Ă  cause du manque de travail qui est leur pain de chaque jour... Les petites villes, comme les grandes, seront bientĂŽt perdues par des groupes d'OUVRIERS QUI N'ONT NI ASILE NI REFUGE. Ils s'Ă©tendront partout, surtout que l'heure oĂč ils pourront se rassasier ne tardera pas Ă  sonner. La flamme dit Partout, la France presqu'entiĂšre sera soulevĂ©e contre l'Ă©glise. On rĂ©pandra sans repos, sur la Foi et l'Eglise, des articles abominables que le monde, sans l'enfer, n'aurait jamais su inventer. Les indignes ennemis du Dieu-Sauveur, qui s'assemblent dans les LOGES et les remplissent, sentent le moment approcher. Ils vont se lever, pleins d'espoir, pour jeter boue et scandale sur les apĂŽtres de Dieu et sur son Ă©glise. C'est par eux que la jeunesse finira d'oublier son CrĂ©ateur et RĂ©dempteur. Ce temps fait frĂ©mir, au sujet de ceux des chrĂ©tiens dont la foi se trouvera inĂ©branlable. La MĂšre de Dieu, poussĂ©e par l'amour de son cƓur, va redescendre sur la terre, APPARAISSANT Ă  son peuple d'une façon qui sera sans mesure. Elle va renouveler sa descente du ciel sur terre, dans les environs des montagnes de la Salette. Elle apparaĂźtra, suspendue sur une nuĂ©e blanche, environnĂ©e d'une guirlande de roses, pour dire "La terre ne sera qu'un tombeau, depuis l'ALSACE-LORRAINE, qui n'est pas comptĂ©e, jusqu'au bord de la BRETAGNE." La mĂšre de Dieu manifestera une autre gloire Ă  son peuple, comme dernier trait de son amour, au sujet de la douleur des chrĂ©tiens. Dans le nord de le France... Elle viendra, avec des signes de deuil, et n'adressera que trois paroles qui seront entendues par une dizaine d'Ăąmes. 1° toute la terre, exceptĂ© la Bretagne, ne sera qu'un tombeau sans vie. 2° L'Eglise va souffrir des persĂ©cutions telles que l'enfer n'en aura jamais inventĂ© de plus cruelles. 3° le Centre deviendra une terre imbibĂ©e de sang. Le dernier qui y coulera sera celui de l'homme que le ciel maudit Ă  cause de ses crimes. La flamme dit encore Mon peuple, ne crains rien. Nos victimes seront alors revenues Ă  l'abri de l'orage de feu et de flammes. Leur grande Ɠuvre ne s'arrĂȘtera pas pour cela l'espace d'une minute. Le ciel baissera sur terre les signes de sa justice. La terre Ă©trangĂšre ne rĂ©coltera aucune nourriture. Une pluie de feu rĂ©duira en poussiĂšre la nourriture de ces peuples oĂč sont mĂȘlĂ©s chrĂ©tiens, non-catholiques et mahomĂ©tans. La flamme dit encore La Terre de France va subir aussi la Justice de Dieu. Pendant trois annĂ©es, les pommes de terre pourriront Ă  l'heure de la semence ; le blĂ© ne poussera pas ou s'arrĂȘtera Ă  mi-hauteur. Les fruits noirciront un ver en rongera l'intĂ©rieur, avant qu'ils aient atteint la grosseur du doigt ». La flamme dit Le Centre et ses demeures seront broyĂ©s par la violence du tonnerre de Dieu. Les frĂ©missements et tremblements de terre se multiplieront, jours et nuits, sans cesser, pendant quarante-trois jours. La mer s'agitera et jamais de tous les siĂšcles, ses vagues et ses flots n'auront pris une forme semblable. Tout le monde de cette Ă©poque pĂ©rira Ă  jamais. Mon peuple, si Dieu te parle ainsi, c'est qu'il ne peut plus soutenir sa justice inexorable. Il te dit n'aie pas peur, j'ai tous les pouvoirs. Maintenant, mon peuple, que rien ne t'Ă©pouvante. Si, demain, tes oreilles entendent des bruits nouveaux ; si tes yeux parcourent des lignes qui font frĂ©mir, que rien ne t'Ă©tonne ! C'est l'enfer qui se met Ă  l'Ɠuvre. Il faut que la terre pĂ©risse pas toute, mais plus de la moitiĂ© de la moitiĂ©. La terre deviendra le dĂ©sert, mais Dieu la repeuplera dans la paix et la tranquillitĂ© ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1501 + + + + + 1882-04-20 REGIME DE DEMOCRATIE POPULAIRE LA LOI DE L'ENFER Il n'y a plus que trĂšs peu de temps, dit la Flamme du Saint-Esprit, avant que la mauvaise libertĂ© ne rĂšgne pleinement sur cette terre, dont tout peuple frĂ©mira de frissons de mort. Je m'adresse aux trois Ăąmes ici prĂ©sentes, sous l'Ɠil de Dieu, et je les avertis, d'une voix sonore et retentissante, que la pauvre paroisse qui est la vĂŽtre, mes enfants, n'a plus qu'un temps trĂšs court Ă  rester, comme aujourd'hui, sous l'empire de la foi. Ici, une loi va emporter la victoire, Ă©tendue Ă  toute la terre de ce royaume. Pas une contrĂ©e de la Bretagne n'Ă©chappera Ă  cette loi infĂąme. Il y aura, en beaucoup de lieux oĂč l'on enseigne encore la religion, des rĂ©voltes considĂ©rables de la part des populations, contre le passage de cette loi de l'enfer. Du cĂŽtĂ© des bons, il y aura difficultĂ© Ă  se soumettre Ă  ceux qui seront les employĂ©s et alliĂ©s des hommes de la loi, Ă  ceux qui occuperont des places de puissance. Ce sera entre ces deux cĂŽtĂ©s, une lutte terrible ; et les hommes de la loi en profiteront pour appesantir d'autres fardeaux sur le peuple qui s'opposera Ă  leurs desseins. L'heure n'est pas loin. Tout l'indique assez bien ; mais point n'est besoin de se plaindre dĂšs aujourd'hui de ces lois diaboliques. Encore un peu de temps, trĂšs peu, et c'est lĂ  qu'ils pourront se plaindre. Mais il n'y aura pas d'oreilles pour entendre leurs cris, ni de cƓur pour compatir Ă  leur dĂ©chirement. La loi entrera dans toutes les libertĂ©s, et marchera sur tout ce qui est le plus sacrĂ© ». LIBERTE PERDUE Chers amis de Dieu, ceci se fera vite et partout, sans exception. Quand cette loi sera partout dans son libre accomplissement, le gouvernement impie cherchera et trouvera des surveillants, selon sa maniĂšre, et tous du mĂȘme avis et de son cĂŽtĂ©. Non seulement les enfants seront surveillĂ©s, mais aucune famille n'aura droit Ă  la moindre rĂ©clamation en cas de nĂ©cessitĂ© ou d'impossibilitĂ©. Plus rien ne sera compris de ces hommes de loi, plus rien ne les touchera, aucun sort malheureux. Tout passera par leur volontĂ©. Le petit monde sera bien exposĂ© Ă  perdre, sur terre, tout ce qui lui sera nĂ©cessaire. Ce sera la ruine pour beaucoup de familles. Si, par permission divine, un pĂšre ou une mĂšre tombent malades, on sera entendu Ă  ne pas les garder, Ă  moins de comparaĂźtre devant les tribunaux. Les tribunaux de justice seront changĂ©s en tribunaux d'injustice. Les juges chrĂ©tiens, qui jugent selon les bonnes lois, n'ont plus que peu de temps Ă  occuper leur poste qui est selon la vĂ©ritĂ© ». LE DEBUT DU SOULEVEMENT Chers amis de Dieu, dĂšs que la France entiĂšre sera sous cette loi, il ne faudra qu'une semaine avant la guerre Ă  l'Eglise et au peuple. Je comprends le tout en trois mois avant que n'arrive le grand Ă©clat ; ce que j'appellerai la guerre du sang. Ces trois mois seront le prĂ©lude, avant la grande entrĂ©e en ce qui sera le plus grand malheur que le monde ait connu ». LES COMMISSAIRES DU PEUPLE Il y aura, sur les Ă©paules du peuple qui sera bien malheureux, d'incontestables fardeaux d'abominations dont il ne pourra se dĂ©fendre. Il faudra qu'il obĂ©isse. En chaque lieu et ville de France, les gens de la loi placeront des armĂ©es de surveillants de dix Ă  quinze hommes. De six Ă  huit dans les petites contrĂ©es, ou encore moins dans les lieux tout Ă  fait Ă©troits. Tout le peuple devra se soumettre Ă  cette garde ou subir l'emprisonnement et finir sa vie sous les armes tranchantes. Tels seront les grands jours de la grande libertĂ© ! Cette loi infĂąme sortira avec un grand nombre d'autres. Personne ne pourra s'y soustraire... Ou bien la mort au fond des prisons ! » VISITES DOMICILIAIRES Dans toutes les maisons religieuses qui n'auront pas encore Ă©tĂ© livrĂ©es Ă  la cruautĂ© des hommes de la loi, avant qu'elles ne soient entiĂšrement dĂ©vastĂ©es et vidĂ©es, on viendra les visiter et se rendre compte de tout, jusque dans les coins les plus reculĂ©s. Il n'y aura plus, dans toutes ces pauvres maisons, aucune sĂ©curitĂ© chez soi. AprĂšs six ou neuf semaines, Ă  peine, de ce rĂ©gime de fouilles apparentes, le crime s'accomplira sur les petites maisons comme sur les grandes. Il n'y aura plus de maisons religieuses en France chacune sera sous le toit du firmament... » + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1503 + + + + + 1882-05-09 PREMIERE CRISE Dans le soleil la voix dit Il y a quelque temps, le seigneur a marquĂ© trois mois de fatals et terribles chĂątiments. Il abrĂ©gera beaucoup... Le prochain commencement de la MORTELLE CRISE REVOLUTIONNAIRE -elle parle comme cela, la voix- ce commencement durera quatre semaines, ni un jour de plus, ni un jour de moins ; mais l'Ă©tendue en sera immense. Le nombre de ceux appelĂ©s MEURTRIERS DU PEUPLE, sera d'une immensitĂ© inconcevable... Lors de cette heure terrible, les Ă©trangers, dont le dĂ©sir est rempli d'une violence qui ne se possĂšde pas, les Ă©trangers seront maĂźtres en France. DĂšs la nouvelle du fatal Ă©vĂšnement, leurs oreilles ne seront pas sourdes. Pendant cette LUTTE PREMIERE, en toute l'Ă©tendue de la France, il y aura libertĂ© pour tout. Il n'y aura plus de captifs retenus pour crimes la libertĂ© sera en toute son Ă©tendue. Un repos fort court suivra cette grande entrĂ©e dans le mal qui sera complet, surtout au Centre et dans les environs ». DEUXIEME CRISE La voix dit La seconde et violente crise commencera et ira jusqu’à 45 jours. La France sera envahie jusqu’au diocĂšse qui commence la Bretagne. La voix ajoute Le vĂŽtre ! A cette Ă©poque seconde, les hommes du pouvoir, aprĂšs avoir livrĂ© le royaume au sang, s'assembleront dans un lieu de paix et formeront des projets dĂ©finitifs et dĂ©cisifs. Ils chercheront un sauveur pour le placer sur le trĂŽne de France. Beaucoup de ces grands commandants du royaume se retireront dans un coin de la terre de France volĂ©e.... La voix dit L'ALSACE ET LA LORRAINE. RetirĂ©s lĂ , dans le secret, ils disposeront leur roi, celui qui est CONTRE les desseins de la Providence. Ils dĂ©cideront rĂ©ellement, et rien ne pourra les en dĂ©tourner de faire monter le coupable sur un trĂŽne qui ne lui appartiendra jamais ». Dans le soleil la voix dit La seconde Ă©poque dĂ©passera un mois. Elle ira, sans repos ni arrĂȘt de respiration, jusqu'au 37e ou 45e jour. Cette Ă©poque deuxiĂšme achĂšvera tout. Il n'y aura de sauvĂ© que ce que Dieu a promis de protĂ©ger les endroits dĂ©crits par sa parole et gardĂ©s par sa gratuite bontĂ©. A mesure qu'elle s'Ă©tendra en France, la persĂ©cution recevra beaucoup d'aide de la part des puissances qui l'environnent, de tous ceux qui ressemblent Ă  ceux qui, en France, livrent tout, sans pitiĂ©, au feu et au sang ». TROISIEME CRISE Pour la longueur de la TroisiĂšme Ă©poque, la voix dit qu'elle n'est pas dans ce passage-ci du soleil... » Note du PĂšre Roberdel Il s'agit de la reconquĂȘte de la France par le vrai Roi, reconquĂȘte qui durerait sept mois. Les dĂ©tails seront donnĂ©s plus loin. Il semble que la durĂ©e des trois crises ne devrait guĂšre dĂ©passer deux ans. + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1504 + + + + + 1882-05-09 La MĂšre de Dieu, apparaĂźtra suspendue sur une nuĂ©e blanche environnĂ©e d’une guirlande de roses pour dire la terre ne sera qu’un tombeau depuis l’Alsace-Lorraine prĂ©servĂ©e jusqu’au bord de la Bretagne Ă©pargnĂ©e ». Un repos fort court suivra cette grande entrĂ©e dans le mal qui sera complet, surtout au Centre Paris et dans les environs... Le 24 mai, il se passera entre les hommes qui se disent vainqueurs et Ă©levĂ©s en science, un Ă©clat qui Ă©branlera cette Grande Ville oĂč le sang a tant de fois rougi le pavĂ© et ce branle ne s’apaisera pas... Tu sais que le nombre 14 a Ă©tĂ© choisi par Moi... » La seconde et violente crise commencera et ira jusqu’à 45 jours. La France sera envahie jusqu’au diocĂšse qui commence la Bretagne. La plus forte armĂ©e va tomber sur OrlĂ©ans et envahir des espaces de terre que je ne peux limiter, dit Saint Michel. D’un seul Ă©lan, ils parviendront jusqu’aux alentours de la Grande Ville. Paris Ils n’y pĂ©nĂ©treront qu’à la moitiĂ© de la crise ». + + + + + 1882-06-15 Le Sacré-CƓur l’avait rĂ©vĂ©lĂ©Ì à Marguerite-Marie Le CƓur Sacré de Jésus laisse Ă©chapper des rayons si multipliĂ©s que leur nombre dĂ©passe celui des Ă©toiles du firmament. Le Seigneur dit - Mes enfants, il y a autant de rayons que d’ñmes inscrites dans mon CƓur divin et appelĂ©es à y trouver un refuge, à l’heure où vont retentir sur terre les coups des grands maux. L’heure n’est pas Ă©loignĂ©e où mon peuple va pousser un nouveau cri de dĂ©tresse. Ce sera l’ouverture premiĂšre de profonds engloutissements du bien, et qui doit ensuite marcher vers une ruine Ă©pouvantable que le ciel et la terre n’auront jamais vue passer. L’orage va Ă©clater sur la France où j’ai voulu manifester les prodiges de mon divin CƓur et dĂ©voiler ses secrets. Mes enfants, c’est la France qui, la premiĂšre, sera meurtrie, dĂ©chirĂ©e, persĂ©cutĂ©e. Quand je manifestais ce divin soleil à la bienheureuse Marguerite-Marie, je laissais tomber de mes lĂšvres cette parole La terre qui t’a vue naitre, et qui te verra expirer, sera terriblement menacĂ©e, depuis l’époque de 80 à 83 surtout. Je laissais entendre à mon humble servante, que la troisiĂšme serait bien douloureuse. Il n’y aurait que des glaives, que des apostasies et des violations dans cidres des personnes qui me sont consacrĂ©es, les unes par le sacerdoce, les autres par la vie religieuse. Les mauvais chrĂ©tiens ne se contenteront pas de se perdre. Ils chercheront Ă Ì€ surprendre les Ăąmes ; ils tendront, par tous les moyens, à les faire pĂ©cher contre tout ce qui est du devoir du chrĂ©tien... Mes enfants, l’Église n’a pas bien des annĂ©es à rester sans la douleur d’aujourd’hui augmente, mais bien des fois plus terrible. En cette douleur, il n’y aura ni borne, ni arrĂȘt. Je garde l’Église à l’abri, jusqu’au jour oĂč la terre devenue un dĂ©sert et le monde une poussiĂšre, sur la terre dĂ©solĂ©e. Le Seigneur la fait entrer la France parmi le sang et l’eau de sa blessure. " Mes enfants, dit-Il, elle est sortie avec joie de mon divin CƓur, elle n’y rentrera que parmi le sang et les pleurs. " Le Divin CƓur dit encore. Sous peu, à l’époque marquĂ©e, il ne restera debout, en Fiance, aucune maison religieuse ; pas un cloĂźtre n’échappera aux tyrans de l’époque. Il y aura une attitude de massacres, depuis le Centre Paris à Lyon, de Lyon sur le midi et jusquaux bords de la Bretagne qui est encore catholique, mais plus comme autrefois. La gĂ©nĂ©ration de la foi se fait partout. En ces massacres, aux mois froids, la terre deviendra un dĂ©luge de sang, comme au temps de NoĂ©Ì elle devint un dĂ©luge d’eau. Tous ceux qui ne seront pas dans l’arche de mon CƓur pĂ©riront, comme au temps du dĂ©luge. Je lui disais encore " Moi-mĂȘme, je choisirai ; je ferai nommer le vĂ©ritable consolateur de mon peuple et de l’Église celui qui reconstruira mes temples incendiĂ©s sous la violence d’une grande guerre civile, bien qu’elle ne sera pas longue. Je ne peux, dit-il, nommer autrement que guerre civile cette guerre à laquelle la France sera livrĂ©e. Mes enfants, combien l’âme de ma servante fut attristĂ©e de mes paroles si dĂ©solĂ©es ! Elle ne me rĂ©pondit que par un soupir " Seigneur, je prierai pour cette France, en la demeure où vous m’aurez introduite avec vous. " Mes enfants, aujourd’hui si peu d’ñmes me demandent mon amour, si peu de cƓurs me servent fidĂšlement. Jusque dans les cloĂźtres, je trouve indiffĂ©rence, oubli et faiblesse. Je me plains amĂšrement. Si les bons chrĂ©tiens sont si lĂąches, que seront donc les coupables qui veulent tout dĂ©truire et renverser jusquâ€™Ă Ì€ mon RĂšgne Éternel ". Le Sacré-CƓur de Jésus dit encore. Il se lĂšvera soudain sur la France de grands flĂ©aux et des calamitĂ©s que rien ne pourra ni arrĂȘter ni amoindrir. Passeront, sur la France, une mortalitĂ©Ì innombrable que jamais le monde n’aura vue et des maladies qui seront inconnues. C’est surtout au Centre que cette mortalitĂ©Ì lancera son flĂ©au. Elle viendra frapper jusque sur la paroisse qui est la vĂŽtre, mes enfants ; mais ne craignez rien, mon CƓur sera une demeure pour vous protĂ©ger. - Je me rappelle cela, divin CƓur de Jésus. - Mes enfants, ceux qui me font la guerre depuis plus de 60 ans, guerre qui a redoublé depuis 11 ans, ne seront pas attaquĂ©s par le flĂ©au de la mortalitĂ©Ì. Je les attends d’une autre maniĂšre aussi courroucĂ©e. Je prĂ©viens mon peuple qu’à la suite de ces nombreux flĂ©aux en France, dont les premiers ne sont pas loin, et qui seront suivis de beaucoup d’autres, je vous prĂ©viens qu’un jour se trouvera - et il est marqué - où il y aura peu de soleil, peu d’étoiles ni de lumiĂšre pour faire un pas hors des demeures, refuges de mon peuple. Le jour commencera Ă Ì€ croĂźtre ; ce ne sera pas au fort de l’étĂ©Ì, ni dans les jours les plus longs, courts encore. Ce ne sera pas à la fin d’une annĂ©e, mais dans les premiers mois que je donnerai clairement mes avertissements... Ce jour de tĂ©nĂšbres et d’éclairs, ce sera le premier que j’enverrai pour convertir les impies, et voir si un grand nombre reviendra Ă Ì€ moi, avant le grand orage qui suivra de prĂšs. Ce jour, mes enfants, n’atteindra pas toute la France, mais une partie de la Bretagne en sera Ă©prouvĂ©e. Le cĂŽtĂ©Ì où trouve la terre de la MĂšre de ma MĂšre ImmaculĂ©e ne sera obscurci par les tĂ©nĂšbres à venir, jusquâ€™Ă Ì€ vous et, au-delĂ Ì€, sur le lever du soleil. Tout le reste sera dans l’effroi le plus terrible. Depuis la nuit jusquâ€™Ă Ì€ la nuit, un jour entier, le tonnerre ne cessera de gronder ; le feu des Ă©clairs fera beaucoup de mal, même dans les demeures fermĂ©es où l’on sera dans le pĂ©chĂ©Ì... Mes enfants, ce premier jour n’îtera rien de ce jour particulier qui fut rĂ©vĂ©lĂ©Ì à ma servante Catherine dans les apparitions de ma sainte MĂšre, sous le nom de Marie conçue sans pĂ©chĂ©. Ce jour se trouve noté dans cinq petits rouleaux bien fermĂ©s de la soeur Saint Pierre de Tours. Ce rouleau restera dans le secret, jusqu’au jour oĂč̀ une personne de Dieu portera sa main prĂ©destinĂ©e sur ce que le monde aura ignorĂ©Ì, jusqu’aux habitants de ce cloĂźtre." JĂ©sus Il y aura un jour avec peu de soleil, peu d’étoiles et de lumiĂšre, dans les premiers mois de l’annĂ©e. Le blĂ© n’en sera pas encore Ă  son troisiĂšme nƓud. Ce jour de tĂ©nĂšbres et d’éclairs de midi Ă  4h00 sera le commencement des chĂątiments de ma justice, ce sera l’entrĂ©e dans l’épouvantable malheur. Ce jour sera le premier que j’enverrai pour convertir les impies et voir si un grand nombre reviendra Ă  moi, avant le grand orage qui suivra de prĂšs. Un jour entier le tonnerre ne cessera de gronder. Le feu des Ă©clairs fera beaucoup de mal. La Bretagne en sera en partie seulement prĂ©servĂ©e. L’Ɠil sera voilĂ© sans qu’il puisse apercevoir le moindre objet ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1504 + + + + + 1882-06-27 Tout Ă  l'entour du Centre, en particulier, la lutte sera violente... Cette lutte bouillonnera terriblement, en descendant vers la Bretagne. La dĂ©claration de cette victoire sanglante sera partout affichĂ©e. Ces instruments, qui mitraillent sans pitiĂ© la chair du soldat, seront tendus partout, et dĂ©jĂ  la marche des ennemis du royaume aura plusieurs lieues de faites en la terre de France. Tous les soldats Français seront dispersĂ©s, en moins de neuf jours, et renvoyĂ©s de la France dans les contrĂ©es Ă©trangĂšres et la libertĂ© sera entiĂšre ». + + + + + 1882-07-25 Saint Joseph ne nous en voudra pas d’accorder une place Ă Ì€ Sainte Anne dans le court chapitre qui lui est consacrĂ©Ì. J’honore la glorieuse mĂšre Sainte Anne, accompagnĂ©e de la Sainte Vierge ». Sainte Anne dit Chaque annĂ©e, mes enfants, je viens du ciel vous apporter ma parole, en cette veille de ma fĂȘte, à l’heure où l’on se rend Ă Ì€ mes pieds pour solliciter des grĂąces. Quand je vois, chaque annĂ©e, les pĂšlerins venir s’agenouiller à mes pieds, du fond de mon cƓur de mĂšre, je leur dis en silence cette parole Moi aussi, je prépare pour la Bretagne mes derniĂšres bĂ©nĂ©dictions. Le calvaire de douleurs qui, hors de la Bretagne, attend la France, il ne se passera pas des annĂ©es avant qu’il ne soit dressé ... DĂ©jĂ Ì€, il y a peu de temps, les religieux qui habitent cette terre, les fils de Saint Ignace ... Ma douleur est immense à la vue de ces commencements de douleurs qui ne vont plus s’arrĂȘter. Mes enfants, ces hommes, qui mĂšnent la Fille ainĂ©e de l’Église à l’abĂźme, se disposent à tremper leur plume dans l’encre de l’enfer pour faire une sommation. - Je ne sais pas ce que c’est. - Mes serviteurs connaissent ce mot... sommation à tous, contre ceux qui se sont rĂ©fugiĂ©s dans des maisons non religieuses, offertes par la charitĂ©Ì de bonnes Ăąmes. Mes enfants, chacun des pasteurs des diocĂšses de France va bien ĂȘtre obligé d’y rĂ©pondre, comme il le pourra et selon sa pensĂ©e, bonne ou mauvaise. Malheur à ceux qui ne seront pas du cĂŽtĂ©Ì d’oĂč̀ vient la gloire et d’oĂč̀ sortira le salut ! Ce sont eux qui vont ĂȘtre obligĂ©s de faire passer ces adresses à tous les religieux de France. TrĂšs peu de temps aprĂšs ces envois, les maĂźtres du temps prĂ©sent vont lever leur voix puissante, et prononcer que tout religieux soit embarqué sur des vaisseaux, hors de France. Rien ne va pouvoir les ramener au sentiment de pitié pour les pasteurs et les religieux. Mes enfants, je crois pouvoir vous dire que les ÉvĂȘques de France vont ĂȘtre appelĂ©s à comparaĂźtre, et à passer par les lois d’aujourd’hui. Jamais, jamais ils ne pourront se dĂ©faire de toutes les demandes et des lois que les gouverneurs de France vont leur imposer. La religion va crouler en France. Mes enfants, ils ne savent plus que faire en leur rĂšgne hypocrite et souillé ils vont s’en prendre Ă Ì€ la tĂȘte de l’Église, et la suite s’en suivra sans peine. Le petit peuple sera obligé de se soumettre Ă Ì€ des lois qui seront plus que profanes et plus qu’odieuses, mais pas tous. Le bon et brave peuple, qui ne se soumettra pas aux ordres du gouvernement, aura bien Ă Ì€ souffrir mais, grĂące au ciel qui leur aura dĂ©signĂ©Ì leur marche et leur voie, ils sortiront vainqueurs. Mes enfants, la Bretagne perd sa foi, et le mal du royaume est parvenu jusquâ€™Ă Ì€ elle. J’en compte un nombre considĂ©rable qui ne refuseront pas de se soumettre volontiers. Si, partout, le Seigneur, avant la marche à l’abĂźme, fera germer des Ăąmes pour le dernier salut de son peuple, cette contrĂ©e que j’habite, cette terre ne sera pas la derniĂšre à donner la belle tige qui enfermera les grains de la parole de salut et d’espĂ©rance ; celle qui est du cĂŽtĂ©Ì dĂ©sirĂ©Ì par les enfants de la religion. Mes enfants, jusqu’ici j’ai Ă©tĂ©Ì consolĂ©e par le nombre des fils de France que j’ai vus à mes pieds. J’attends le Roi devant l’autel où je me tiens debout. J’écouterai ses priĂšres et je rĂ©pandrai les grĂąces de mon cƓur. Je le bĂ©nirai pour le temps où des forces surhumaines le feront marcher à la tĂȘte des fidĂšles dĂ©fenseurs. Tous auront besoin d’un secours surhumain. Des milliers de coupables auront dĂ©vastĂ©Ì le centre et ses habitants. Ils ne seront pas encore arrĂȘtĂ©s par la Justice du ciel, au coup de la venue de ce fidĂšle serviteur. C’est là que le Seigneur rĂ©jouira les siens, et confondra à jamais ceux qui avaient l’ambition de conquĂ©rir le siĂšge du royaume, et d’y faire trĂŽner leurs amis. Du ciel, je garderai la Bretagne. Je l’ai promis ; mais elle est destinĂ©e à souffrir bien des maux. Je rĂ©pĂšte qu’elle s’ouvrira pour le passage des barbares qui la traverseront, entre cinq et neuf lieues d’ici, pour aller fondre du cĂŽtĂ©Ì du nord. Là, on aura préparé ces instruments qui tranchent la tĂȘte des chrĂ©tiens, ces instruments d’autrefois dont on garde le souvenir quand, sur cette place, ils accomplissaient cette douloureuse exĂ©cution, en cette crise qui marche sur son centenaire. Mes enfants, c’est sur Rennes. De ce cĂŽtĂ©Ì, il y a du bon peuple, mais aussi du bien mauvais, et la main du Seigneur ne se manifestera pas sur ces lieux à la derniĂšre heure. Si le monde savait l’approche de l’heure de Dieu, ils se prĂ©pareraient ; ils se nourriraient de la foi qui est l’arme du combat. Mes enfants, il n’y a plus quâ€™Ă Ì€ prier. Mes enfants, que de faiblesse chez les hommes apostoliques ! Le temps, qui touche à une dĂ©termination bien malheureuse pour eux, va faire voir le peu de foi de ces apĂŽtres. Ils vont ĂȘtre la cause de la damnation d’une multitude d’ñmes qui seront perdues par les exemples de leur faiblesse coupable. Mes enfants, le temps qui vient ne sera pas plus heureux que celui d’aujourd’hui où toutes les Ɠuvres sont sous une Ă©crasante persĂ©cution. Malheur au temps qui vient, quand le Seigneur ne va plus rester enfermé dans les cieux, mais paraitre visiblement sur les lieux de la terre, avec gloire, pour rĂ©compenser ceux qui ont souffert. Courage, un peu encore, et le ciel rĂ©compensera de tous les maux. Les serviteurs du Seigneur ne seront pas Ă©pargnĂ©s. Il faut des souffrances pour allĂ©ger les maux Ă©ternels et mĂ©riter le salut de la France. Je m’arrĂȘte et je promets mon assistance à tous les fils du Seigneur dont je suis aussi la mĂšre ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1505 + + + + + 1882-08-25 La Sainte Vierge dit Je m'arrĂȘte, mais je reviendrai avant peu". Elle s'assied sur son trĂŽne, et Saint Louis, vĂȘtu en roi de gloire, un flambeau en main, dit Amis du Seigneur, demain je prierai beaucoup pour celui qui doit rendre cette terre heureuse, et lui redonner cette mĂȘme fleur que je portais lorsque je la gouvernais. Ce flambeau, que je porte en ma main, c'est le symbole du Sauveur qui, plein de vie et de jeunesse, fendra les troupes. La pauvre France, trĂšs prochainement sera mise au tombeau. Le coup fatal, qu'elle a mĂ©ritĂ©, va l'Ă©craser, sans qu'elle puisse se dĂ©fendre. Mais un dĂ©fenseur lui est choisi par le vrai Roi Éternel... Ces pauvres malheureux ! En une nuit la plus obscure, le Centre se trouvera bombardĂ© et les victimes n'en survivront pas. Mes amis ne seront plus lĂ , eux ; tous, ils l'auront quittĂ©. Je vais prier, dit Saint Louis, pour ce royaume si misĂ©rable, oĂč le Roi de Gloire subira tant d'outrages..." ». + + + + + 1882-09-12 Le Seigneur se dispose Ă  lever la nuĂ©e lumineuse au moment oĂč se fera l'arrĂȘt des barbares, Ă©puisĂ©s de force. La Flamme dit Mes enfants, jusqu'ici le Seigneur ne vous a pas fait connaĂźtre cette parole que je vous apporte au nom de sa puissance. Mes enfants, les troupes Ă©trangĂšres qui ont Ă©tĂ© tant de fois mentionnĂ©es, ces troupes nombreuses, aprĂšs avoir pris une partie de la VendĂ©e et y avoir emmenĂ© beaucoup de Français sous leur garde, pour les faire mourir, elles passeront vers le milieu de la terre du diocĂšse de Nantes, depuis le bord de la VendĂ©e jusqu'au milieu de l'autre bord qui touche le cƓur de la ville. Mes enfants, les ennemis ne pĂ©nĂ©treront pas au cƓur du diocĂšse, ils seront arrĂȘtĂ©s par l'armĂ©e des soldats de la Croix et de la foi... Ils viendront par la croix qui se trouve sur le bord de la terre de Bretagne ils ne passeront pas. C'est lĂ  que le Seigneur les attend... C'est un peu au-dessous de cette croix qu'ils passeront, mais peu nombreux, pour essayer, s'il leur est possible, des tentatives. Ils n'iront qu'Ă  la moitiĂ© de la moitiĂ© de la terre qui se rend au cƓur du diocĂšse. Ils seront repoussĂ©s par les Bretons qui ne laisseront, en leurs membres, que quelques os non brisĂ©s. Jamais la terre Ă©trangĂšre ne reverra ses soldats. Ils ne feront pas de mal. L'armĂ©e bretonne sera rangĂ©e en garde, car les ordres de Dieu auront Ă©tĂ© signalĂ©s. La petite voyette par oĂč elle passera sera Ă©troite, pas par les grandes routes, et sans rien qui indique une marche nombreuse. Les Bretons seront au nombre d'une SOIXANTAINE, un groupe dans toute sa force. Ils passeront au-dessous du cƓur du diocĂšse, les autres passeront par la grande route oĂč marchent les vapeurs sans doute les futures automobiles, inconnues Ă  cette Ă©poque formĂ©es par l'esprit du monde. Ils seront arrĂȘtĂ©s par la croix qui se trouve sur le bord des contrĂ©es. Cette parole de Dieu n'avait pas Ă©tĂ© transmise mais, sous peu, toutes les paroles seront dĂ©voilĂ©es, et les voies, par oĂč ils viendront en Bretagne, seront dĂ©signĂ©es par leur nom propre. Il n'en passera pas, en Bretagne, d'autres que ce petit groupe d'Ă©claireurs, afin de voir s'il est possible d'y entrer en plus grand nombre. Les amis de la Croix ne seront plus au cƓur du diocĂšse. Il leur sera donnĂ© une place de sĂ»retĂ© et de paix ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1505 + + + + + 1882-09-21 JĂ©sus dit Par toi, ma fille, il y a encore 3 Croix diffĂ©rentes sur lesquelles il va falloir t’étendre et souffrir douloureusement. - La premiĂšre c’est celle de la Sainte Eglise catholique. - La seconde Croix est celle de la fermeture du Royaume de la Sainte Vierge. - La troisiĂšme Croix c’est celle que porte en Lui le Sauveur du Royaume de fille, voilĂ  la place oĂč du haut des frontiĂšres cĂ©lestes, tu verras les dĂ©parts des nobles soldats de la Croix ; d’oĂč tu verras, sur le sol de France, celui qui vient apporter paix et joie Ă  mon peuple ; d’oĂč tu verras le sanctuaire du Seigneur et ses fidĂšles ouvriers, en place, pour noter et contempler les ƒuvres du Seigneur et celles de sa Sainte MĂšre et de ses Anges ». La part de la Bretagne est dĂ©jĂ  bien grande par la part personnelle de Marie-Julie dĂšs le principe et le dĂ©part des Ɠuvres du Seigneur. La TrĂšs Sainte Vierge Marie dit L’armĂ©e des Justes, des soldats de la Croix, mĂȘlĂ©e Ă  d’autres braves, traversera presque toute la France, sous le feu des signes de Dieu. Elle sortira de Bretagne pour se rendre jusqu’au fleuve Le Rhin oĂč le Sauveur de la terre doit arriver avec sa propre armĂ©e. Ils se rejoindront tous ensemble, sous l’étoile de la victoire
 ce sera un vendredi
Mes enfants, continue la Sainte Vierge, pour que vous ne doutiez pas, je vous dĂ©cris ce signe que mon Fils vous manifestera Ă  la chute du jour, une preuve vĂ©ritable
 Un signe blanc, Ă  l’ouest de la France, environnĂ© d’un rideau de franges diamantĂ©es, Ă©norme, l’espace de Ÿ d’heure. Vos demeures en seront Ă©clairĂ©es comme par le soleil. Les rues seront aussi claires que dans le jour bout d’une demi-heure, une barre rouge se formera, vers l’ouest, en forme de branches ; et des gouttes de sang s’en Ă©chapperont. Cette barre rouge cernera la blancheur du signe et en envahira l’éclat de sa enfants de l’ouest ce signe remontera un peu ; puis la barre rouge se dissipera, comme par la victoire de la blancheur. Un samedi entre 5 et 6 h
 Ce signe sera comme un ornement au firmament, sous la forme d’une Ă©toile carrĂ©e, portant en son milieu un sceptre et une couronne que pourront bien distinguer tous les yeux des peuples de la terre ». + + + + + 1882-09-28 Un repos fort court suivra cette grande entrĂ©e dans le mal qui sera complet, surtout au Centre Paris et dans les environs. Le 24 mai, il se passera entre les hommes qui se disent vainqueurs et Ă©levĂ©s en science, un Ă©clat qui Ă©branlera cette Grande Ville où le sang a tant de fois rougi le pavé et ce branle ne s’apaisera pas. Tu sais que le nombre 14 a Ă©tĂ©Ì choisi par Moi. La seconde et violente crise commencera et ira jusquâ€™Ă Ì€ 45 jours. La France sera envahie jusqu’au diocĂšse qui commence la Bretagne. La plus forte armĂ©e va tomber sur OrlĂ©ans et envahir des espaces de terre que je ne peux limiter, dit Saint Michel. D’un seul Ă©lan, ils parviendront jusqu’aux alentours de la Grande Ville. Paris Ils n’y pĂ©nĂštreront qu’à la moitié de la crise ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1506 + + + + + 1882-10-05 Avertissement Mon peuple, Mon peuple, Mon peuple, tes yeux vont voir le commencement de l’heure Ă©pouvantable, quand le froment en herbe ne sera pas au troisiĂšme nƓud de sa croissance. Au moment oĂč̀ Mon peuple n’aura plus qu’à s’armer de Foi et d’EspĂ©rance, encore en la saison dure, pendant quatre heures - de midi à quatre heures en France - en des jours durs encore, le soleil aura comme un voilement de deuil ; Il sera obscurci, sans lumiĂšre. Jamais personne sur la terre ne pourrait croire aux noirceurs de ces tĂ©nĂšbres. La terre n’aura plus rien. L’Ɠil sera voilé, sans qu’il puisse voir le moindre objet. Mon peuple, ce sera le commencement des chĂątiments de Ma Justice. C’est le soleil qui annoncera ces douleurs le ciel qui pleurera, sans pouvoir se consoler, parce que ce sera l’entrĂ©e du temps où les Ăąmes se perdront, l’entrĂ©e, en un mot de l’épouvantable malheur. Mon peuple, cette obscuritĂ©Ì couvrira la Bretagne l’espace de quatre heures, mais il n’y aura pas de mal... une petite frayeur simplement ». ENTRE NANTES ET LA ROCHELLE Je lis Pendant que mon royaume sera en libertĂ©, j'entendrai des cris entre Nantes et la Rochelle. Les pauvres troupes françaises, soldats du temps prĂ©sent, y seront amenĂ©es pour achever l'Ă©puisement de cette garde pour la France... Environ au milieu de ces deux terres, l'autoritĂ© si coupable, gouvernante d'aujourd'hui, fera massacrer les troupes, et la France sera sans soutien. Pieds et mains liĂ©s pendant vingt-quatre heures, puis une torture leur est rĂ©servĂ©e qui aura vite terminĂ© leur vie. Mon peuple, ils jetteront ces chrĂ©tiens au fond des torrents ; leur sang inondera les pavĂ©s. Le crime horrible descendra jusque sur le milieu de la Bretagne. A deux reprises, le chĂątiment est rĂ©servĂ© Ă  cette terre nantaise ». Je lis encore Je laisse Satan couronner son rĂšgne. Sa banniĂšre viendra jusque sur le bord de la paroisse, du cĂŽtĂ© du midi. Elle entrera dans la paroisse qui sera peu de temps exposĂ©e, mais dans un deuil d'apprĂ©hension douloureuse. Mon peuple ne sera pas atteint de la mortalitĂ©. Un autre flĂ©au tombera sur le cƓur de la Bretagne. Mes amis n'en souffriront aucune douleur ». + + + + + 1882-10-24 Mes enfants, dit le Seigneur, je vous rĂ©vĂšle, avec toute la tendresse de mon CƓur, que je veux que mes fidĂšles amis puissent, sans tarder, faire broder, pour recevoir l'ExilĂ© de la terre Ă©trangĂšre, une blanche banniĂšre avec, d'un cĂŽtĂ© mon divin CƓur et, de l'autre ma trĂšs Sainte MĂšre ImmaculĂ©e, protectrice de ses enfants et Reine de France. Mes enfants, le Roi ne rĂ©sidera pas au Centre Paris Ă  son arrivĂ©e. Il fera, peu de temps, un sĂ©jour rapprochĂ© de la Bretagne, car le Centre Paris sera inhabitable jusqu'au jour oĂč la main des ouvriers se mettra Ă  l'Ɠuvre pour enlever les dĂ©combres, et mettre dignement en ordre les rues toutes remplies de cadavres qui auront errĂ©, sans que personne ne les ramasse. Mes enfants, oui, ce sera avec cette riche banniĂšre, bĂ©nite par un illustre personnage, qu'il viendra au Sanctuaire de la Croix La Fraudais, revĂȘtu d'une trĂšs haute dignitĂ© de respect de la foi. Toutes mes victimes et serviteurs prendront le chemin de la Bretagne, portant leur blanche banniĂšre de salut, en avant d'un beau cortĂšge, mais peu nombreux l'escorte du Sauveur de la France ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Ven 20 Mai - 1506 + + + + + 1882-11-16 A NANTES En entrant dans la vision, je contemple et j'adore le divin Crucifix, entourĂ© de ses flammes ». La premiĂšre Flamme dit L'Ăąme du chrĂ©tien est une graine que je sĂšme dans le champ de l'Eglise, pour qu'elle fructifie en grĂąces et en vertus... Si le Seigneur augmente les tribulations sur les Ăąmes, c'est que son heure divine est proche d'Ă©clater sur la terre ; c'est la preuve de sa bontĂ© divine... ». La mĂȘme Flamme dit encore Je dĂ©clare qu'une cruelle dĂ©solation fera gĂ©mir tout le peuple du centre du diocĂšse. - Pas fort, Flamme. - Amis de Dieu, il s'agit d'une multitude de coupables, capables de toutes sortes de mal, pervertis et dans de si mauvais sentiments que Dieu ne pourra jamais les ramener ». Voici A Nantes, prĂšs de la place de la Maison de la Justice, se lĂšvera une assemblĂ©e de cinq cents hommes, tout ce qu'on peut compter d'affamĂ©s de sang et de victimes. Il y aura des scĂšnes terribles contre le clergĂ© d'abord, contre les lois de la religion catholique, contre le Sauveur mortel de cette terre. Ils seront appuyĂ©s par l'autoritĂ© humaine, si mauvaise, de ce temps. Dans leur rage inassouvie et indomptable, ils marcheront, d'une façon remarquable, dans la voie des douleurs grandissantes. Dans cette rue, prĂšs du Palais de Justice, aux heures profondes de la nuit, il y aura beaucoup de victimes dans ce cƓur du diocĂšse. Le plus frĂ©missant, c'est qu'il sortira des feuilles du milieu de ce groupe elles n'auront pour but que de couvrir de honte et d'iniquitĂ©s ceux qui attendent, avec persĂ©vĂ©rance, la rĂ©alisation des promesses de Dieu. Aux environs de cette Ă©poque, on aura, de jour en jour plus pĂ©nible, le sentiment d'avoir Ă  ressentir cette coupable injustice. La Flamme dit que ce sera vers le temps oĂč une loi pĂ©rilleuse donnera la libertĂ© de laisser sortir les scĂ©lĂ©rats maintenus jusque lĂ  en captivitĂ©. Rien ne s'y opposera au Parlement, car l'homme seul sera dĂ©jĂ  dans l'Ă©tendue de son triomphe immense qui couronnera son dĂ©sert, en renversant la terre et le monde ». + + + + + 1882-11-21 Il y aura aussi des signes de consolation pour les justes qui attendront la venue du Roi, dans la priĂšre au milieu des assauts rĂ©volutionnaires L’armĂ©e des justes, des soldats de la Croix, mĂȘlĂ©e à d’autres braves, traversera presque toute la France, sous le feu des signes de Dieu. Elle sortira de Bretagne pour se rendre jusqu’au fleuve où le Sauveur de la terre doit arriver avec sa propre armĂ©e le Rhin. Ils se rejoindront tous ensemble, sous l’étoile de la victoire. " Ma fille, remarque bien cette parole ce sera sous les signes du ciel semblables au sang des chrĂ©tiens. Au milieu de ces signes sanglants et effrayants, il y aura une blanche lumiĂšre qui surpassera la beautĂ©Ì de l’aurore. Cette blancheur fendra les sillons de sang et ira au-devant de vous, sur le bord du fleuve. Cette blancheur aura traversé ce sang le jour des souvenirs de la Passion de mon Fils. - Oui, bonne MĂšre, un Vendredi. - Mes enfants, dit la Sainte Vierge, pour que vous ne doutiez pas, je vous dĂ©cris ce signe que Mon Fils vous manifestera à la chute du jour, une preuve vĂ©ritable.., un signe blanc à l’Ouest de la France, environné d’un rideau de franges diamantĂ©es, Ă©norme, l’espace de trois quarts d’heure. Vos demeures en seront Ă©clairĂ©es comme par le soleil. Les rues seront aussi claires que dans le jour ordinaire. " Au bout d’une demi-heure, une barre rouge se formera, vers l’ouest, en forme de branches ; et des gouttes de sang s’en Ă©chapperont. " Cette barre rouge cernera la blancheur du signe et en envahira l’éclat de sa lumiĂšre assaut du mal. " Mes enfants, de l’ouest, ce signe remontera un peu ; puis, la barre rouge se dissipera, comme par la victoire de la blancheur triomphe du Roi. Ce sera un samedi, entre 5 et 6 heures... AprĂšs ces paroles, la Sainte Vierge tombe à genoux aux pieds du PĂšre Éternel et voici les paroles du PĂšre CĂ©leste " TrĂšs digne MĂšre de Dieu, Mon Fils Éternel veut manifester le signe du Sauveur mortel Le Roi et tourner Sa Puissance du cĂŽté de l’étranger. Tous les yeux, en France pourront contempler cette faveur à son Ă©gard. " Il sera, reprend la Sainte Vierge, comme un ornement au firmament, sous la forme d’une Ă©toile carrĂ©e, portant en son milieu un sceptre et une couronne, que pourront bien distinguer tous les peuples de la terre. Et elle ajoute Puisque mon Fils ne peut convaincre Son peuple du jour fortuné qui le surprendra au milieu de ses idĂ©es mauvaises et coupables, Il commencera par placer sous le firmament l’annonce des prĂ©dictions faites aux siècles passé et au siĂšcle prĂ©sent. Elle cite les secrets confiĂ©s à Sainte Marguerite-Marie, à SƓur Marie de Jésus-Crucifié, à SƓur Saint Pierre, à Marie Estelle et qui n’ont jamais Ă©tĂ©Ì publiĂ©s » + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Sam 21 Mai - 006 + + + + + 1882-11-23 Cette boule qui sert de trĂŽne Ă  mes pieds, dit l'ange, est celle oĂč va s'asseoir, au milieu des paroles de gloire du Seigneur, celui que les hommes vont combattre, qui sera mĂ©prisĂ© et qui, en sa foi, sera venu aux pieds de la MĂšre de la MĂšre de Dieu renouveler sa foi et sa priĂšre. Voici les quelques mots que le Sauveur mortel adressa, en terre de Bretagne, aux pieds de Sainte Anne "Vous savez, Sainte Anne, l'ambition qu'Ă  mon cƓur de rĂ©gner au milieu de mes frĂšres. Cette ambition n'est nullement dans mon intĂ©rĂȘt. Elle est pour celui de mes frĂšres et de mon peuple que je voudrais rendre heureux, aprĂšs tant d'annĂ©es de malheur". Le CƓur sacrĂ© est le flambeau promis aux fils d'IsraĂ«l. Ces fils ne sont autres que les hĂ©ros destinĂ©s et choisi par la puissance du CrĂ©ateur... Ils iront, par une Voie que la Providence a dĂ©crite, avec des jubilations d'allĂ©gresse ; ils marcheront, comme une escorte glorieuse, Ă  cĂŽtĂ© du CƓur qui contient, cachĂ©s, les trĂ©sors de la paix et le rĂšgne du bonheur. Ce CƓur sera placĂ© dans la main du sauveur mortel ; c'est par lui que sera sauvĂ© le peuple rĂ©servĂ© Ă  ne pas pĂ©rir. C'est en tenant le SacrĂ©-CƓur sur sa poitrine mortelle qu'il deviendra digne de porter la couronne de gloire et le sceptre d'honneur. » + + + + + 1915-07-29 Notre Dame dit La Bretagne aura son chĂątiment. Elle a pĂ©chĂ©, elle a offensĂ© la divine majestĂ©. La Bretagne a cependant moins pĂ©chĂ© que la France. Comptez sur un Grand Miracle, sortant de la misĂ©ricorde divine. VoilĂ  ce que ma Bonne MĂšre Sainte Anne vous apporte au nom de son Petit-Fils JĂ©sus et de sa MĂšre ImmaculĂ©e. Il n'y aura qu'un miracle qui arrĂȘtera tout. S'il y a beaucoup de priĂšres, le chĂątiment sera diminuĂ©, mais si le nombre de priĂšres est comme aujourd'hui, le chĂątiment s'Ă©tendra pa toute la Terre. » + + + + + 1922-01-17 Documents Cluzeau PRIERE A FAIRE PENDANT LE CHATIMENT Le Seigneur dit Je me lĂšverai bientĂŽt, dans tout l'Ă©clat de ma Justice. Je bouleverserai la terre. Je foudroierai l'Ăąme coupable. Mes petites Ăąmes, dans ce dĂ©luge de frayeur, vous porterez ma Croix, fĂ»t-elle toute petite ou grande ! Quand il sortira de la terre des cris Ă©pouvantables, effroyables, des hurlements d'Ăąmes en disgrĂące qui ne doivent plus revenir Ă  ma misĂ©ricorde, vous direz la priĂšre suivante Je te salue, je t'adore, je t'embrasse, ĂŽ Croix adorable de mon Sauveur. ProtĂšge-nous, garde-nous, sauve-nous. JĂ©sus t'a tant aimĂ©. A son exemple, je t'aime. Que ta sainte image calme mes frayeurs ! Que je ne ressente que paix et confiance ! Vous sentirez tant de grĂąces et tant de forces que ce grand dĂ©luge passera sur vous comme inaperçu. Mes enfants, ce grand coup sera un terrible mĂ©lange. Ce seront des jours bien affreux, bien horribles. Je ne voudrais pourtant pas vous effrayer. Vous aurez votre sauvegarde et un abri sĂ»r ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Sam 21 Mai - 028 + + + + + 1925-07-23 A travers les Ă©vĂ©nements Ă  venir, ne laissez passer dans votre Ăąme aucun doute au sujet de votre salut. Plus vous serez confiants dans les CƓurs unis de JĂ©sus et de Marie et dans le CƓur de Saint Joseph, plus sera inviolable le rempart dont je veux vous entourer. Vous bĂ©nirez la Croix, vous brĂ»lerez des cierges bĂ©nits, surtout vous rĂ©citerez le Rosaire. Et ainsi protĂ©gĂ©s, vous verrez soudain, aprĂšs les tĂ©nĂšbres, le soleil dans toute sa lumiĂšre et sa chaleur. Les survivants remercieront la Sainte TrinitĂ© de cette protection. Magnifique sera mon royaume de paix. Mon nom sera invoquĂ© et louĂ©, du lever au coucher du soleil – ce qui veut dire dans toutes les parties du monde. Notre-Dame dit Mes petits enfants, vous ĂȘtes des victimes qui expient et souffrent pour rĂ©parer bien des bouleversements
 Ce ne sera qu’un moment de frayeur, restez encore en paix
 Ce temps sera terrible pour les coupables mais pas trĂšs long. Vos priĂšres et vos souffrances vont l’abrĂ©ger. AprĂšs ce sera un royaume purifiĂ©. En des contrĂ©es, il restera trĂšs peu de monde. La justice fauchera une multitude, mais les Justes seront prĂ©servĂ©s
 Ma France plongĂ©e dans le crime ressuscitera glorieuse. Le rĂšgne de la paix sera prolongĂ© de 25 Ă  30 annĂ©es, sous la direction d’une Ăąme que le Divin CƓur rĂ©serve Ă  son peuple. A la montĂ©e de ce Prince qui deviendra Roi, ma France nouvelle sera purifiĂ©e, ennoblie et ravissante Ă  mes yeux. Il y aura une lutte mais pas longtemps. Mes petits enfants, la pauvre terre de France, arrosĂ©e de grĂąces, mon royaume, vous le repeuplerez. Il y aura beaucoup de prodiges, tout arrivera Ă  la fois. Vous aurez votre large part de bĂ©nĂ©dictions rĂ©servĂ©es Ă  cette Ă©poque pas Ă©loignĂ©e. Je vous assure que ce temps n’est pas loin. Ne vous effrayez pas vous avez votre abri dans le Divin CƓur, sous sa Croix adorable, et mon blanc manteau vous servira de tente. Vous n’aurez point frayeur quand la terre sera fendue et qu’un tremblement terrible la secouera et la fera monter Ă  de terribles hauteurs. Les pĂ©cheurs tomberont dans ce gouffre et seront ensevelis dans ce tombeau qui se refermera. En d’autres lieux, la peste pourra dĂ©truire en une seule minute des milliers de corps Vous avez vos plantes et vos fleurs d’aubĂ©pines, vos Croix bĂ©nites et vos mĂ©dailles. En plus, vous avez nos promesses de vĂ©ritĂ© et de paix ». + + + + + 1929-10-04 Notre-Dame Ne vous effrayez pas encore. Vous recevrez l’avertissement prĂ©cis par l’apparition de taches dans le soleil... Je l’ai dĂ©jĂ  dit Ă  La Salette... Vous verrez le firmament sillonnĂ© de bandes. Il y aura une bande blanche qui contiendra la protection de nos justes. Il y en aura une rouge qui enveloppera le chĂątiment des misĂ©rables qui insultent leur CrĂ©ateur. Il y en aura une noire oĂč l’on verra se dĂ©battre Satan et toute son armĂ©e. Celle-ci sera plus large, parce que Satan a plus d’ñmes pour le servir que mon Divin Fils n’en a pour Le consoler et sĂ©cher Ses larmes. " Le Seigneur "donnera Ses avertissements au moyen de la nature, au dĂ©but de chaque annĂ©e." Les grandes perturbations atmosphĂ©riques avec pluies trop abondantes entraveront les semailles et la nourriture des bestiaux. II est prĂ©dit Deux jours de tĂ©nĂšbres en dehors des trois jours du chĂątiment. Seuls les cierges de cire bĂ©nits donneront de la lumiĂšre. La flamme dit que dans les desseins du Seigneur, il y aura deux jours d’affreuses tĂ©nĂšbres, sĂ©parĂ©es des trois jours que beaucoup d’ñmes ont annoncĂ©s. Le firmament sera violet et rouge ; il sera si bas que la touffe des arbres Ă©levĂ©s sera comme perdue dedans, jusqu’au quart des arbres les plus hauts. Ces deux jours vous prĂ©viendront comme un cachet authentique de la BontĂ©, mais aussi de la descente de Dieu par Sa ColĂšre sur la terre. Vous ne serez pas exempt de ces tĂ©nĂšbres... Pendant ces deux jours les arbres seront brĂ»lĂ©s et ne produiront aucun fruit l’annĂ©e suivante, car la sĂšve sera comme brĂ»lĂ©e et arrĂȘtĂ©e. La pluie qui tombera de ce ciel bas aura une odeur infecte et, partout oĂč elle tombera, ce sera comme de gros grĂȘlons de feu qui perceront ce qu’il y a de plus solide et laisseront la tĂąche d’une brĂ»lure visible. Vos demeures seront prĂ©servĂ©es. Il n’y a que ce qui est lĂ©ger en couverture qui souffrira ». L’eau qui aura coulĂ© sur la terre sera noire, d’un noir effrayant et presque toute la terre portera cette tache Ă©galement partout ; mais elle ne nuira pas Ă  ce qui sert d’aliments aux chrĂ©tiens ». La flamme dit qu’en Bretagne, dans ces deux jours de tĂ©nĂšbres, sous ce ciel bas, il paraĂźtra une lumiĂšre, mais que personne ne pourra voir, car il ne faudra pas mettre la figure au jour par l’ouverture d’une porte ; il y aura un envoi de Dieu, sous la forme d’un Ă©clair brĂ»lant, qui obscurcirait l’Ɠil humain ». Le Seigneur me presse de vous faire passer Ses paroles et Ses volontĂ©s. Le jour de ces tĂ©nĂšbres sera encore supportable, malgrĂ© l’obscuritĂ©... Mais si le jour est calme, la nuit sera violente, et pendant les deux nuits, des cris sortiront on ne saura d’oĂč ; on n’entendra point de pas, ni de marche sur la terre, couverte de Justice. La nuit, la bougie bĂ©nite, comme le cierge ne devront pas ĂȘtre Ă©teints. Le jour, on pourra s’en passer, par une grĂące qui vient du plus loin du CƓur de Dieu ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Sam 21 Mai - 029 + + + + + 1941-03-04 Parole de Notre Dame des Douleurs Je vous salue, mes enfants, de mon cƓur de MĂšre et de toute ma tendresse. Je viens Ă©tablir mon trĂŽne au milieu de vous. - Merci, bonne MĂšre ! Nous aussi, nous vous saluons, du fond de nos cƓurs. - Mes enfants, ne soyez pas attristĂ©s, si vous me voyez descendre ainsi revĂȘtue d’un deuil complet. Pas une parcelle de son vĂȘtement ne porte de la blancheur, ni aucune couleur rĂ©jouissante. Son front est voilĂ© jusqu’aux sourcils. Elle est toute triste et dit Ce n’est pas Ă  cause de vous, mes enfants, que je porte ce vĂȘtement noir, c’est Ă  cause... - son cƓur bat de douleur, je le vois bien - c’est Ă  cause de cette heure malheureuse qui, pour de longs jours, va vous envelopper et achever de perdre ce malheureux royaume qui me fut si cher et qui l’est encore. Si je dis longs, c’est Ă  cause de la profondeur de douleurs que ces jours renferment... » PersĂ©cutions religieuses et fermeture des couvents Je prends le deuil pour le reste des derniĂšres maisons de vierges qui vivent dans la priĂšre. Une heure est dĂ©cidĂ©e qui va briser leur repos intime et faire couler des larmes de regret. Toutes ces maisons seront brisĂ©es, plus tĂŽt qu’aucun de vous qui avez la foi ne peut le concevoir. Tout Ă  coup l’enfer va rugir. Ce cri ne cessera plus... Les ministres de mon Fils seront renvoyĂ©s de leurs demeures et dispersĂ©s au milieu du peuple. Quand la main de l’homme perfide va se poser pour la troisiĂšme fois sur le reste de ces maisons de grĂąces qui, par leurs priĂšres, ont retenu la colĂšre de mon Divin Fils, quand cette main se posera pour la troisiĂšme fois... elle ira jusqu’au bout, sans excepter personne, pas mĂȘme les familles de foi qui resteront chez elles, dans la priĂšre. Leurs demeures seront souillĂ©es par l’entrĂ©e d’hommes redoutables... Il n’y a que mon Fils et moi qui connaissions la suite de leurs desseins. Ces desseins conduiront jusqu’au renversement coupable, complet et parfait de toutes choses ». La Vierge lĂšve un peu sa robe noire qui cache ses pieds, et fait voir Ă  Marie-Julie une large couronne noire qui n’a plus que quelques points blancs. Elle la tire de ses pieds et la prend dans ses mains virginales La voilĂ , dit-elle, cette couronne malheureuse, autrefois si blanche, si admirĂ©e de tous les rois Ă©trangers, et renommĂ©e jusqu’aux extrĂ©mitĂ©s du monde. Aujourd’hui, sous cette forme douloureuse, c’est la couronne de la France. Elle conservera cette couleur dĂ©chirante jusqu’au jour oĂč l’Homme de Dieu, mon fils, viendra relever la France de ses ruines. Il prendra, dans les larmes, ce triste diadĂšme et se le posera autour du front, relevant, avec un cƓur brisĂ©, ce royaume tombĂ© dans les dĂ©combres les plus ignobles et les plus coupables. Dans cette couronne, mes enfants, toute la France est enfermĂ©e, exceptĂ© toi, ĂŽ Bretagne ! J’aurais voulu ne pas la poser, cette noire couronne, pas mĂȘme sur la pointe de tes terres, ĂŽ Bretagne que j’aime ; mais mon Fils en a rĂ©servĂ© un coin pour l’épreuve la plus douloureuse. J’interviendrai le plus que je pourrai. La Sainte Vierge lĂšve, Ă  deux mains, la couronne vers le ciel et dit " Mon Fils, puisque tout mon peuple est menacĂ©, hors la Bretagne gardĂ©e par ma mĂšre et protĂ©gĂ©e par ma bontĂ©, oh ! du moins conservez le reste de vos maisons qui se sont sacrĂ©es Ă  vous ; gardez, dans la paix, vos apĂŽtres, fidĂšles ; laissez-leur le repos. " La trĂšs Sainte Vierge se tait. On entend cette parole, la voix de Dieu qui parle comme juge et pĂ©nĂštre dans les profondeurs " Ma MĂšre, dans peu de temps, il n’y aura plus de paix ni de repos ; dans peu de temps, il n’y aura plus que la libertĂ© pour le mal, pour l’incendie, le sang et la mort. " VoilĂ  les paroles que j’ai entendues, fortement et avec vĂ©ritĂ©. La Sainte Vierge dĂ©pose la couronne Ă  ses pieds et dit " O France si chĂšre, je te regarde d’un Ɠil mouillĂ© de pleurs. Je vois cette couronne se lever de tes pieds. Tu la poseras sur ta tĂȘte. Tu viendras enfoncer sans pitiĂ© l’arme de la mort dans le cƓur de tes gĂ©nĂ©reux combattants, l’épĂ©e du trĂ©pas. " Sa voix se pĂąme comme celle d’une mĂšre Ă  qui la mort vient d’enlever ce qu’elle a de plus cher. La Sainte Vierge, les yeux fixĂ©s sur la France, lui dit encore " O France ! pour toi, j’ai tant de fois pleurĂ© et intercĂ©dĂ©. Je ne te demande qu’un seul acte de charitĂ© Ă©pargne au berceau l’innocence ; laisse la vie aux anges de la terre, afin qu’ils puissent attirer sur toi le commencement de la misĂ©ricorde... Mes enfants, c’est par bontĂ© que je vous prĂ©viens de l’approche de ces calamitĂ©s mortelles et de tous les grands malheurs. Mes enfants, bien prĂšs de ce lieu oĂč vous resterez paisibles, au commencement de ce grand et dernier orage qui amĂšnera ensuite de beaux jours, vous verrez tomber de bien prĂšs des flĂ©aux si grands et si nombreux que vous serez bien angoissĂ©s de voir tant souffrir jusqu’autour de vous. Mes enfants, vous verrez tomber sur le monde des maladies mortelles qui ne laissent pas mĂȘme le temps de se disposer Ă  paraĂźtre devant mon Fils ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Sam 21 Mai - 029 + + + + + Sans date La Bretagne devrait moins souffrir de cette pluie et de cette tempĂȘte. Notre Seigneur nous annonce Je laisserai la moitiĂ© de la moisson. Mais sachez que Je saurais bien trouver, dans cette Bretagne, ceux qui M’outragent et blasphĂšment Mon Nom... Heureux ceux qui ne seront pas Ă©loignĂ©s de la Croix ! Mes enfants, dans ce dĂ©luge de frayeur, vous porterez Ma Croix, fĂ»t-elle toute petite ou grande ! Vous direz la priĂšre suivante ». + + + + + Sans date JĂ©sus dit Ma justice frappera vos terres et vos rĂ©coltes
 Soyez sans inquiĂ©tudes, je saurai subvenir Ă  tout, mĂȘme Ă  vos subsistances. Je calmerai la faim et la frayeur de vos animaux. Je laisserai Ă  la Bretagne vingt-cinq pour cent des rĂ©coltes ». + + + + + HerculeregardantMessages 161Date d'inscription 12/10/2017Sujet Re Marie-Julie Jahenny - Extraits d'Extases sur la Mission de la Bretagne. Sam 21 Mai - 030 + + + + + Dates multiples DU LIVRE DES PROPHETIES 1874-1877 I. Je viendrai dans un peu de temps sauver la France. Je la sauverai au moment oĂč l'on s'y attendra le moins ; mais priez. 2. J'avais annoncĂ© Ă  Marguerite-Marie que, lorsque la dĂ©votion Ă  mon divin CƓur serait rĂ©pandue par toute la France et au-delĂ , alors les chrĂ©tiens ne se respecteraient plus ; la charitĂ© serait bannie de la terre ; le mal serait fait par presque tous les hommes ici-bas. J'avais promis qu'alors je descendrais sur la terre, avec Mon Amour et Ma Justice ; que je sĂ©parerais les pĂ©cheurs de mes amis aux uns je donnerais la Justice, aux autres Mon Amour. Que ce secret soit connu ! Dit JĂ©sus. 3. A MARIE JULIE Tu verras le commencement des chĂątiments, mais non le couronnement de la France. La plus grande partie des chĂątiments se dirigera vers Paris. VoilĂ  le temps oĂč les jours deviendront noirs. Trois jours de ravages, de deuil, de larmes et de pĂ©nitence, pendant lesquels les lumiĂšres du ciel seront Ă©teintes et les anges consternĂ©s... Trois jours d'enfer. 4. Petite Soeur, dit MARGUERITE MARIE, c'est nous, bien vils instruments, qui avons Ă©tĂ© choisies pour publier sa gloire. - Vous n'avez pas Ă©tĂ© choisies pour la mĂȘme Ɠuvre, reprend le DIVIN JESUS Marguerite-Marie a Ă©tĂ© choisie pour publier la gloire de mon SacrĂ©-CƓur, et toi pour publier la gloire de ma croix. L'Ɠuvre de ma Croix est grande ; elle s'Ă©lĂšvera en gloire, sera puissante, immense. 5. Vois qu'Ă  l'Ă©poque oĂč je sauverai mon peuple, ce ne sera par aucune puissance des hommes. C'est mon CƓur divin qui, seul, sauvera ce royaume qui ne sera plus qu'un dĂ©sordre honteux, oĂč l'impiĂ©tĂ© rĂšgnera en plein triomphe. 6. Je vois que la croyance et la vraie foi dans le divin CƓur s'affaibliront beaucoup, au moment oĂč les hommes triompheront Ă  plein grĂ©. 7. Avant le dernier souffle de tes lĂšvres mourantes, il faut Ă  Dieu un immense sacrifice. Il faut que des victimes soient immolĂ©es, et que leurs blessures deviennent aussi larges qu'un fleuve profond. 8. Dans le cƓur de la France, la patrie de ton berceau, est plantĂ© un signe rouge qui fait reculer d'Ă©pouvante. 9. Je viendrai avec mes Ă©clairs et mon tonnerre. Je confondrai l'impie ; je le rĂ©duirai en cendre et en poussiĂšres. Vous marcherez sur les cendres. 10. Les chĂątiments commenceront par PARIS. ChĂątiments pour les villes du MIDI. Quelle boucherie. 11. Dans la France, il sera versĂ© plus de sang qu'Ă  Rome. Ce ne sera pas long. 12. La VENDEE surtout sera protĂ©gĂ©e Nombre de vendĂ©ens verseront leur sang, car ils ont conservĂ© leur foi. 13. L'ALSACE ET LA LORRAINE se rendront sƓurs françaises. Elles viendront Ă  la France par les armes. 14. Le couchant, depuis LOURDES jusqu'au Nord, sera Ă©pargnĂ©, sauf BORDEAUX. 15. NANTES aura moins Ă  souffrir. Le diocĂšse sera comparativement protĂ©gĂ© ; mais nulle grĂące pour les impies et les mauvaises familles ! Quelques malheurs seulement dans les familles. 16. Je voyais la VendĂ©e protĂ©gĂ©e ; mais sur ses frontiĂšres c'Ă©tait trĂšs mauvais. Dans le midi et le centre... Jusqu'Ă  BOUSSAY, le sang coulera comme Ă  torrents. Le Christ approchant de la terre de DOUE, fera retentir un Ă©clat de punition terrible. 17. TOULOUSE sera Ă©pargnĂ© Ă  cause de Sainte Germaine de Pibrac ; mais elle n'est pas au bout de ses peines. MENDE et RODEZ seront Ă©pargnĂ©es. 18. Le Seigneur me dit que sa justice irritĂ©e tombera sur VALENCE et, de lĂ , se dirigera sur MARSEILLE. 19. Notre-Seigneur dit que ROME, NAPLES et L'ANGLETERRE allaient subir de cruelles vengeances. 20. France, l'homme qui a fait ton malheur, c'est celui qui a Ă©tĂ© la cause que mon CƓur a Ă©tĂ© rejetĂ© pour toujours. Sois sĂ»re que jamais la terre de France ne sera gouvernĂ©e par aucun de ses descendants. 21. Jeunesse, jeunesse, prenez les armes. DĂ©fendez votre foi. 22. Satan dit Voyez... Il m'a donnĂ© une certaine libertĂ© et aujourd'hui je suis Ă  la veille de remporter une complĂšte victoire. Il me dit de rentrer au fond des enfers il a menti. 23. Le dĂ©saccord des français n'empĂȘchera pas le triomphe. JĂ©sus ne consultera pas les hommes. 24. J'arrĂȘterai la vengeance des impies par le chĂątiment. Si je laissais faire, il ne resterait de traces que les pierres de mes Ă©glises. Les cruels barbares entreront dans les Ă©glises ; puis ils iront dans les cloĂźtres... Ils demanderont de me renier et de fouler la Croix. Ils allumeront l'incendie qui dĂ©truira tout. 25. LĂ  oĂč les PERES DE LA CROIX ont fait vƓu de porter le Crucifix Ă  dĂ©couvert, il y aura encore une plus grande fureur. 26. Les nuages deviennent si bas qu'on semble les toucher. Le soleil n'a plus de force. Les tĂ©nĂšbres sont Ă©paisses on ne sait plus l'heure du jour. La foi se rĂ©veille en Bretagne. Les uns se prosternent Ă  terre ; d'autres se mettent les bras en croix, tournent leur cƓur en haut et font amende honorable au SacrĂ© CƓur. On se relĂšve sans se reconnaĂźtre. Les corps demandent sĂ©pulture. 27. AprĂšs ces trois jours, oĂč les jours seront noirs, mes ministres auront plus de libertĂ© ils recommenceront Ă  cĂ©lĂ©brer les Saints MystĂšres, mais secrĂštement. 28. Oh ! Si tu comprenais les cris des mĂšres de famille qui donneront leurs fils ; si tu comprenais les cris des enfants qui seront au berceau ! 29. Le flambeau de la Sainte Eglise ne sera Ă©teint que trois jours. Il se trouvera des Ăąmes charitables qui enlĂšveront, avec promptitude, tous les vases sacrĂ©s. 30. Seigneur, les pĂšres de l'Eglise vous retireront-ils du tabernacle ? - Oui, ma victime, il y en a qui le feront, mais pas tous ils prĂ©fĂšreront sauver leur vie, et me laisser exposĂ©. 31. La France se sauvera seule. Les autres nations lui refuseront leur secours. Le commencement de cet acharnement sera la profanation de mon temple. Toutes Lesmaux du corps donnent l'idĂ©e de la mort, les peines de l'Ăąme celles de l'Ă©ternitĂ©. Astolphe de Custine 3 Bien des maux, bien des maux sont le Rechercher Interne GoogleRĂ©sultats par Messages Sujets Tags Recherche avancĂ©eDerniers sujets» 10 aoĂ»t Sainte PhilomĂšnepar Tite Aujourd'hui Ă  906» 27 aoĂ»t Saint AmĂ©dĂ©e de Clermont de Lausannepar ami de la MisĂ©ricorde Aujourd'hui Ă  851» MĂ©ditation Le saint esclavage de l'admirable MĂšre de Dieupar ami de la MisĂ©ricorde Aujourd'hui Ă  839» La communion dans la mainpar Tite Hier Ă  1643» La priĂšre des psaumes - par Françoise Jeu 25 AoĂ» - 2303» 26 aoĂ»t Sainte Marie de JĂ©sus crucifiĂ© Maryam Baouardypar ami de la MisĂ©ricorde Jeu 25 AoĂ» - 2302» Quand est-ce que l'Avertissement aura lieu?3 Ă©vĂšnements doivent d'abord arriver par Françoise Jeu 25 AoĂ» - 2123» Veillons et prions CHAPELET quotidien Ă  la Grotte de Françoise Jeu 25 AoĂ» - 2015» 25 aoĂ»t Saint Louis Louis IXpar ami de la MisĂ©ricorde Mer 24 AoĂ» - 2301» ChaĂŻne d'amour - Louange vivante et Sylvain Françoise Mer 24 AoĂ» - 2206» 24 aoĂ»t Saint BarthĂ©lĂ©my NatanaĂ«lpar ami de la MisĂ©ricorde Mar 23 AoĂ» - 2224» Les 3 jours de tĂ©nĂšbre au Padre Pio Famille St Joseph - PĂšre JM Verlindepar Françoise Mar 23 AoĂ» - 1023» Les chĂątiments sont proches - Etes-vous prĂȘt ?par Françoise Mar 23 AoĂ» - 728» Les 3 jours de tĂ©nĂšbres du Padre PIO - un enseignement de Fabienne Françoise Mar 23 AoĂ» - 723» 23 aoĂ»t Saint Julien de Lescarpar ami de la MisĂ©ricorde Lun 22 AoĂ» - 2312» Le code Ratzingerpar ami de la MisĂ©ricorde Dim 21 AoĂ» - 2325» 22 aoĂ»t Marie Reinepar ami de la MisĂ©ricorde Dim 21 AoĂ» - 2256» Deux histoires inspirantes de NOEL/Huillam Daverec YouTube 18/12/2021par Françoise Dim 21 AoĂ» - 2032» 21 aoĂ»t Saint Pie Xpar ami de la MisĂ©ricorde Sam 20 AoĂ» - 2329» 20 aoĂ»t Saint Bernard de Clairvaux par ami de la MisĂ©ricorde Sam 20 AoĂ» - 2309» Le SERMON de l'EPIPHANIE - 10 janvier 2021 - Les Capucins de Morgon/ Françoise Sam 20 AoĂ» - 034» 19 aoĂ»t Saint Jean Eudes par ami de la MisĂ©ricorde Ven 19 AoĂ» - 037» 18 aoĂ»t Sainte HĂ©lĂšnepar ami de la MisĂ©ricorde Mer 17 AoĂ» - 2305» 17 aoĂ»t Bienheureuse Leopoldina Naudetpar ami de la MisĂ©ricorde Mer 17 AoĂ» - 2235» L'avenir de Paris et de la France selon la visionnaire Catherine Tite Mar 16 AoĂ» - 1441» 16 aoĂ»t Saint Etienne de Hongriepar ami de la MisĂ©ricorde Lun 15 AoĂ» - 2250» 15 aoĂ»t Assomption de la Vierge Mariepar ami de la MisĂ©ricorde Dim 14 AoĂ» - 2259» 14 aout Saint Maximilien Kolbepar ami de la MisĂ©ricorde Sam 13 AoĂ» - 2326» 13 aoĂ»t Saint DorothĂ©e de Gazapar ami de la MisĂ©ricorde Ven 12 AoĂ» - 2325» 12 aoĂ»t Sainte Jeanne-Françoise FrĂ©miot de Chantal par ami de la MisĂ©ricorde Jeu 11 AoĂ» - 2333» 11 aoĂ»t Sainte Claire d'Assise par ami de la MisĂ©ricorde Mer 10 AoĂ» - 2324» 10 aoĂ»t Saint Laurent de Romepar ami de la MisĂ©ricorde Mer 10 AoĂ» - 006» CRASHDEBUG Nostradamus - La fin des Temps - Saison 1 -par Françoise Mar 9 AoĂ» - 2112» 9 aoĂ»t Sainte ThĂ©rĂšse-BĂ©nĂ©dicte de la Croix Edith Steinpar ami de la MisĂ©ricorde Lun 8 AoĂ» - 2336» Du site de Ben Françoise Lun 8 AoĂ» - 1839 -33% Le deal Ă  ne pas rater Jumbee Roundnet – Jeu de plein air Ă  29,99€ € € Voir le deal Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. LES FORUMS CHRÉTIENS LES SAINTS DU JOUR. AuteurMessageami de la MisĂ©ricordeconsacrĂ©Messages 4987Date d'inscription 18/05/2017Age 64Localisation RĂ©gion parisienneSujet 4 aoĂ»t Saint Jean-Baptiste-Marie Vianney Lun 3 AoĂ» - 2210 4 aoĂ»t Saint Jean-Baptiste-Marie Vianney PrĂȘtre Il naquit en 1786 Ă  Dardilly, prĂšs de Lyon. Vers l'Ăąge de dix-huit ans, Jean-Baptiste apprit Ă  lire pour devenir prĂȘtre. GrĂące au curĂ© d'Ecully, l'AbbĂ© Balley, il put combler les lacunes qui lui permirent de terminer ses prĂȘtre le 13 aoĂ»t 1815, il fut chargĂ© de la paroisse d'Ars sur Formans. DĂšs lors il devint le CurĂ© d'Ars. Infatigable prĂ©dicateur et confesseur, sa rĂ©putation se propagea et l'on venait de partout pour l'entendre et bĂ©nĂ©ficier de ses conseils en confession. En 1830 dĂ©jĂ , la paroisse comptait plus de cent mille pĂ©lĂ©rins. Nombreuses conversions et guĂ©risons des Ăąmes se produisirent durant son ministĂšre. Il vĂ©cut dans un ascĂ©tisme rigoureux et lutta frĂ©quemment contre les assauts du malin. Il mourut le 4 aoĂ»t 1859. Il est le saint protecteur des curĂ©s et son prĂ©nom Jean vient de l'hĂ©breu " Dieu a fait MisĂ©ricorde ou don de Dieu". Un extrait de sermon de Saint Jean-Marie Vianney sur le jugement dernier,Ce n'est plus, mes frĂšres 1, un Dieu revĂȘtu de nos infirmitĂ©s, cachĂ© dans l'obscuritĂ© d'une pauvre Ă©table, couchĂ© dans une creche, rassasiĂ© d'opprobres, accablĂ© sous le pesant fardeau de sa croix ; c'est un Dieu revĂȘtu de tout l'Ă©clat de sa puissance et de sa majestĂ©, qui fait annoncer sa venue par les prodiges les plus effrayants, c'est-Ă -dire, par l'Ă©clipse du soleil, de la lune, par la chute des Ă©toiles, et par un entier bouleversement de la nature. Ce n'est plus un Sauveur qui vient avec la douceur d'un agneau, pour ĂȘtre jugĂ© des hommes et les racheter c'est un Juge justement irritĂ©, qui juge les hommes dans toute la rigueur de sa justice. Ce n'est plus un Pasteur charitable qui vient chercher ses brebis Ă©garĂ©es, et les pardonner c'est un Dieu vengeur qui vient sĂ©parer pour jamais les pĂ©cheurs des justes, accabler les mĂ©chants de sa plus terrible vengeance, et ensevelir les justes dans un torrent de douceurs. Moment terrible, moment Ă©pouvantable, quand arriveras-tu ? moment malheureux, hĂ©las ! peut-ĂȘtre que, dans quelques matins, nous entendrons les avant-coureurs de ce Juge si redoutable au pĂ©cheur. O vous, pĂ©cheurs, sortez du tombeau de vos pĂ©chĂ©s, venez au tribunal de Dieu, venez vous instruire de la maniĂšre dont le pĂ©cheur sera traitĂ©. L'impie, dans ce monde, semble vouloir mĂ©connaĂźtre la puissance de Dieu, en voyant les pĂ©cheurs sans punition ; il va mĂȘme jusqu'Ă  dire Non, non, il n'y a ni Dieu ni enfer ; ou bien Dieu ne fait pas attention Ă  ce qui se passe sur la terre. Mais attendons le jugement, et, en ce grand jour, Dieu manifestera sa puissance et montrera Ă  toutes les nations qu'il a tout vu et tout diffĂ©rence, M. F., de ces merveilles qu'il opĂ©ra en crĂ©ant le monde ! Que les eaux, dit le Seigneur, arrosent, fertilisent la terre ; et, dĂšs l'instant mĂȘme, les eaux couvrirent la terre et lui donnĂšrent la fĂ©conditĂ©. Mais, quand il viendra pour dĂ©truire le monde, il commandera Ă  la mer de franchir ses bornes avec une impĂ©tuositĂ© Ă©pouvantable qui engloutira tout l'univers dans sa fureur. Lorsque Dieu crĂ©a le ciel, il ordonna aux Ă©toiles de s'attacher au firmament. A sa voix, le soleil eclaira le jour, et la lune prĂ©sida Ă  la nuit. Mais dans ce dernier jour, le soleil s'obscurcira, et la lune et les Ă©toiles ne donneront plus de lumiĂšre. Tous ces astres merveilleux tomberont avec un fracard diffĂ©rence, M. F. ! Dieu en crĂ©ant le monde employa six jours ; mais pour le dĂ©truire, un clin d'oeil suffira. Pour crĂ©er l'univers et tout ce qu'il renferme, Dieu n'appela aucun spectateur de tant de merveilles ; mais pour le dĂ©truire, tous les peuples seront en prĂ©sence, toutes les nations confesseront qu'il y a un Dieu et qu'il est puissant. Venez, rieurs impies, venez, incrĂ©dules raffinĂ©s, venez apprendre ou reconnaĂźtre s'il y a un Dieu, s'il a vu toutes vos actions, et s'il est tout-puissant ! O mon Dieu ! que le pĂ©cheur changera de langage dans ce moment ! que de regrets ! oh ! que de repentir d'avoir laissĂ© un temps si prĂ©cieux ! Mais ce n'est plus temps, tout est fini pour le pĂ©cheur, tout est dĂ©sespĂ©rĂ© ! Oh ! que ce moment sera terrible ! Saint Luc nous dit que les hommes sĂ©cheront de frayeur sur la plante de leurs pieds, en pensant aux malheurs qui leur sont prĂ©parĂ©s. HĂ©las ! M. F., l'on peut bien sĂ©cher de crainte et mourir de frayeur, dans l'attente d'un malheur infiniment moins grand que n'est celui dont le pĂ©cheur est menacĂ©, et qui, trĂšs certainement, lui arrivera, s'il continue Ă  vivre dans le ce moment, M. F., que je me dispose Ă  vous parler du jugement, oĂč nous paraĂźtrons tous pour rendre compte de tout le bien et le mal que nous aurons fait, pour y recevoir notre sentence dĂ©finitive pour le ciel ou pour l'enfer si dĂ©jĂ  un ange venait vous annoncer de la part de Dieu que dans vingt-quatre heures, tout l'univers sera rĂ©duit en feu par une pluie de feu et de soufre, que vous commenciez Ă  entendre les tonnerres gronder, les fureurs des tempĂȘtes renverser vos maisons, les Ă©clairs tellement multipliĂ©s que l'univers ne fĂ»t plus qu'un globe de feu, et que l'enfer vomĂźt dĂ©jĂ  tous ses rĂ©prouvĂ©s dont les cris et les hurlements se font entendre vers les coins du monde ; que le seul moyen d'Ă©viter tous ces malheurs fĂ»t de quitter le pĂ©chĂ© et de faire pĂ©nitence ; pourriez-vous, M. F., entendre tous ces hommes sans verser des torrent de larmes et crier misĂ©ricorde. Ne vous verrait-on pas vous jeter au pied des autels pour demander misĂ©ricorde ? O aveuglement, ĂŽ malheur incomprĂ©hensible de l'homme pĂ©cheur les maux que vous annonce votre pasteur sont encore infiniment plus Ă©pouvantables et dignes d'arracher vos larmes, de dĂ©chirer vos ! ces vĂ©ritĂ©s si terribles vont ĂȘtre autant de sentences qui vont prononcer votre condamnation Ă©ternelle. Mais le plus grand de tous les malheurs est que vous y soyez insensibles, et, que vous continuiez Ă  vivre dans le pĂ©chĂ©, et que vous ne reconnaissiez votre folie que dans le moment oĂč vous n'avez plus de remĂšdes. Encore un moment et ce pĂ©cheur, qui vivait tranquille dans le pĂ©chĂ©, sera jugĂ© et condamnĂ© ; encore un instant, et il emportera ses regrets dans l'Ă©ternitĂ©. Oui, M. F., nous serons jugĂ©s, rien de si certain ; oui, nous serons jugĂ©s sans misĂ©ricorde ; oui, nous regretterons Ă©ternellement d'avoir pĂ©chĂ©1. - Nous lisons dans l'Écriture sainte, M. F., que toutes les fois que Dieu veut envoyer quelque flĂ©au au monde ou Ă  son Église, il a toujours fait prĂ©cĂ©der quelque signe pour commencer Ă  jeter la terreur dans les coeurs et pour les porter Ă  flĂ©chir sa justice. Voulant faire pĂ©rir l'univers par un dĂ©luge, l'arche de NoĂ©, qui resta cent ans pour se bĂątir, fut un signe pour porter les hommes Ă  la pĂ©nitence, sans quoi ils devaient tous PĂ©rir. L'historien JosĂšphe nous dit qu'avant la destruction de la ville de JĂ©rusalem, il parut pendant longtemps une comĂšte en forme de coutelas, qui jetait la consternation dans le monde. Chacun se disait HĂ©las ? que veut dire ce signe ? peut-Ă©tre que c'est quelque grand malheur que Dieu va nous envoyer. La lune demeura huit nuits sans donner de lumiĂšre ; les gens semlaient dĂ©jĂ  ne plus pouvoir vivre. Tout Ă  coup, il parut un homme inconnu, qui, pendant trois ans, ne faisait autre chose que crier par les rues de JĂ©rusalem, le jour et la nuit Malheur Ă  JĂ©rusalem ! Malheur Ă  JĂ©rusalem !... On le prend, on le bat de verges pour l'empĂšcher de crier, rien ne l'arrĂȘte. Au bout de trois ans il s'Ă©crie Ah ! malheur Ă  JĂ©rusalem ; ah ! malheur a moi. Une pierre lancĂ©e par une machine lui tombe dessus, et l'Ă©crase Ă  l'instant mĂȘme. Alors, tous les maux dont cet inconnu avait menacĂ© JĂ©rusalem lui tombĂšrent. La famine fut si grande, que les mĂšres allaient jusqu'Ă  Ă©gorger leurs enfants pour s'en servir de nourriture. Les habitants, sans savoir pourquoi, s'Ă©gorgeaient les uns les autres ; la ville fut prise et comme anĂ©antie ; les rues et les places Ă©taient toutes couvertes de cadavres ; le sang coulait comme des riviĂšres ; le peu de ceux qui sauvĂšrent leur vie fut vendu comme des comme le jour du jugement, sera le jour le plus terrible et le plus effrayant qui ait jamais Ă©tĂ©, il sera prĂ©cedĂ© de signes si effrayants qu'ils jetteront la terreur jusqu'au fond des abĂźmes. Notre-Seigneur nous dit que, dans ce moment malheureux pour le pĂ©cheur, le soleil ne donnera plus de lumiĂšre, et que la lune sera semblable Ă  une masse de sang, et que les Ă©toiles tomberont du ciel. L'air sera tellement rempli d'Ă©clairs qu'il sera tout en feu, et l'on entendra les tonnerres dont le bruit sera si grand que les hommes sĂšcheront de frayeur sur la plante de leurs pieds. Les vents seront si impĂ©tueux que rien ne pourra leur rĂ©sister. Les arbres et les maisons seront entraĂźnĂ©s dans les chaos de la mer ; la mer elle-mĂȘme sera tellement agitĂ©e par les tempĂȘtes que ses flots s'Ă©lĂšveront jusqu'Ă  quatre coudĂ©es au-dessus des plus bautes montagnes, et descendront si bas que l'on verra les horreurs des enfers ; toutes les crĂ©atures, mĂȘme inanimĂ©es, sembleront vouloir s'anĂ©antir pour Ă©viter la prĂ©sence de leur CrĂ©ateur en voyant combien les crimes des hommes ont souillĂ© et dĂ©figurĂ© la terre. Les eaux des mers et des fleuves bouillonneront comme des huiles dans les brasiers ; les arbres et les plantes vomiront des torrents de sang; les tremblements de terre seront si grands que l'on verra la terre s'ouvrir de toutes parts la plupart des arbres et des bĂȘtes seront abĂźmĂ©s, les hommes qui resteront seront comme des insensĂ©s ; les rochers, les montagnes s'Ă©crouleront avec une fureur Ă©pouvantable. AprĂšs toutes ces horreurs, le feu sera allumĂ© aux quatre coins du monde, mais un feu si violent qu'il brĂ»lera les pierres, les rochers et la terre, comme un brin de paille qui est jetĂ© dans une fournaise. Tout l'univers sera rĂ©duit en cendres ; il faut que cette terre qui a Ă©tĂ© souillĂ©e par tant de crimes soit purifiĂ©e par le feu qui sera allumĂ© par la colĂšre du Seigneur, d'un Dieu justement irritĂ©.AprĂšs, M. F., que cette terre couverte de tant de crimes sera purifiĂ©e, Dieu enverra ses anges qui sonneront de la trompette aux quatre coins du monde, qui diront Ă  tous les morts Levez-vous, morts, sortez de vos tombeaux, venez et paraissez au jugement. Alors tous les morts, bons et mauvais, justes et pĂ©cheurs reprendront les mĂȘme formes qu'ils avaient autrefois, la mer vomira tous les cadavres qui sont renfermĂ©s dans ses chaos, la terre rejettera tous les corps ensevelis depuis tant de siĂšcles dans son sein. AprĂšs cette rĂ©volution, toutes les Ăąmes des saints descendront du ciel toutes rayonnantes de gloire, chaque Ăąme s'approchera de son corps en lui donnant mille et mille bĂ©nĂ©dictions. Venez, lui dira-elle, venez le compagnon de mes souffrances ; si vous avez travaillĂ© Ă  plaire Ă  Dieu ; si vous avez fait consister votre bonheur dans les souffrances et les combats, oh ! que de biens nous sont rĂ©servĂ©s. Il y a dĂ©jĂ  plus de mille ans que je jouis de ce bonheur ; oh ! quelle joie pour moi de venir vous annoncer tant de biens qui nous sont prĂ©parĂ©s pour l'Ă©ternitĂ©. Venez, bĂ©nis yeux, qui tant de fois vous ĂȘtes fermĂ©s Ă  l'aspect des objets impurs, crainte de perdre la grĂące de votre Dieu, venez dans le ciel oĂč vous ne verrez que des beautĂ©s que l'on ne verrait jamais en ce monde. Venez, mes oreilles, qui avez eu en horreur des paroles et des discours impurs et calomniateurs ; venez, et vous entendrez dans le ciel cette musique cĂ©leste, qui vous jettera dans un ravissement continuel. Venez, mes pieds et mes mains qui, tant de fois, vous ĂȘtes employĂ©s Ă  soulager les malheureux ; allons passer notre Ă©ternitĂ© dans ce beau ciel oĂč nous verrons notre aimable et charitable Sauveur qui nous a tant aimĂ©s. Ah! vous y verrez Celui qui, tant de fois, est venu reposer dans votre coeur. Ah! nous y verrons cette main encore teinte du sang de notre divin Sauveur, par laquelle il nous a mĂ©ritĂ© tant de joie. Enfin, le corps et l'Ăąme des saints se donneront mille et mille bĂ©nĂ©dictions, et cela pendant toute l' que tous les saints auront repris leurs corps tout rayonnants de gloire, tous lĂ , selon les bonnes oeuvres et les pĂ©nitences qu'ils auront faites, attendront avec plaisir le moment oĂč Dieu va dĂ©voiler Ă  la face de tout l'univers toutes les larmes, toutes les pĂ©nitences, tout le bien qu'ils auront accompli pendant leur vie sans mĂȘme en laisser une seule, un seul, dĂ©jĂ  tous heureux du bonheur de Dieu mĂȘme. Attendez, leur dira JĂ©sus-Christ lui-mĂȘme, attendez, je veux que tout l'univers voie combien vous avez travaillĂ© avec plaisir. Les pĂ©cheurs endurcis, les incrĂ©dules disaient que j'Ă©tais indiffĂ©rent Ă  tout ce que vous faisiez pour moi ; mais je vais leur montrer aujourd'hui que j'ai vu et comptĂ© toutes les larmes que vous versiez dans le fond des dĂ©serts ; je vais leur montrer aujourd'hui que j'Ă©tais Ă  cĂŽtĂ© de vous sur les Ă©chafauds. Venez tous, et paraissez devant ces pĂ©cheurs qui m'ont mĂ©prisĂ© et outragĂ©, qui ont osĂ© nier que j'existais, que je les voyais. Venez, mes enfants, venez mes bien-aimĂ©s et vous verrez combien j'ai Ă©tĂ© bon, combien mon amour a Ă©tĂ© grand pour M. F., un instant, ce nombre infini d'Ăąmes justes rentrant dans leurs corps qu'elles rendent semblables Ă  de beaux soleils. Vous verrez tous ces martyrs, la palme Ă  la main. Voyez-vous toutes ces vierges, la couronne de la virginitĂ© sur la tĂȘte. Voyez-vous tous ces apĂŽtres, tous ces prĂȘtres ; autant qu'ils ont sauvĂ© d'Ăąmes, autant de rayons de gloire dont ils sont embellis. M. F., tous diront, Ă  Marie, cette MĂšre-vierge Allons rejoindre Celui qui est dans le ciel pour donner un nouvel Ă©clat Ă  vos non, un moment de patience ; vous avez Ă©tĂ© mĂ©prisĂ©s, calomniĂ©s et persĂ©cutĂ©s des mĂ©chants, il est juste, avant d'entrer dans ce royaume Ă©ternel, que les pĂ©cheurs viennent vous faire amende terrible et effrayante rĂ©volution ? j'entends la mĂȘme trompette qui crie aux rĂ©prouvĂ©s de sortir des enfers. Venez, pĂ©cheurs, bourreaux et tyrans, dira Dieu qui voulait tous vous sauver, venez, paraissez au tribunal du Fils de l'Homme Ă  celui dont vous avez si souvent osĂ© vous persuader qu'il ne vous voyait, ni ne vous entendait ! Venez et paraissez, car tout ce que vous avez jamais commis sera manifestĂ© en face de tout l'univers. Alors l'ange criera AbĂźmes des enfers, ouvrez vos portes ! vomissez tous ces rĂ©prouvĂ©s ! leur juge les appelle. Ah! terrible moment ! toutes ces malheureuses Ăąmes rĂ©prouvĂ©es, horribles comme des dĂ©mons, sortiront des abĂźmes, iront, comme des dĂ©sespĂ©rĂ©es, chercher leurs corps. Ah ! cruel moment ! dans l'instant oĂč l'Ăąme entrera dans son corps, ce corps Ă©prouvera toutes les rigueurs de l'enfer. Ah ! ce maudit corps, ces maudites Ăąmes se donneront mille et mille malĂ©dictions. Ah ! maudit corps, dira l'Ăąme Ă  son corps qui a roulĂ© et traĂźnĂ© dans la fange de ses impuretĂ©s ; il y a dĂ©jĂ  plus de mille ans que je souffre et que je brĂ»le dans les enfers. Venez, maudits yeux, qui tant de fois avez pris plaisir Ă  faire des regards dĂ©shonnĂȘtes sur vous ou sur d'autres, venez en enfer pour y contempler les monstres les plus horribles. Venez, maudites oreilles, qui avez pris tant de plaisir Ă  ces paroles, Ă  ces discours impurs, venez Ă©ternellement entendre les cris, les hurlements et les rugissements des dĂ©mons. Venez, maudite langue et maudite bouche, qui tant de fois avez donnĂ© des baisers impurs et qui n'avez rien Ă©pargnĂ© pour contenter votre sensualitĂ© et votre gourmandise ; venez en enfer oĂč vous n'aurez que le fiel des dragons pour nourriture. Viens, maudit corps, que j'ai tant cherchĂ© Ă  contenter; viens, tu seras Ă©tendu pendant l'Ă©ternitĂ© dans un Ă©tang de feu et de soufre, allumĂ© par la puissance et la colĂšre de Dieu ! Ah! qui pourra comprendre et nous raconter les malĂ©dictions que le corps et l'Ăąme vont se vomir pendant toute l' M. F., voilĂ  tous les justes et les rĂ©prouvĂ©s qui ont repris leur ancienne forme, c'est Ă  dire leurs corps tels que nous les voyons maintenant, qui attendent leur juge, mais un juge juste et sans compassion, pour punir ou rĂ©compenser, selon le bien et le mal que nous aurons fait. Le voilĂ  qui arrive, assis sur un trĂŽne, Ă©clatant de gloire, environnĂ© de tous les anges, l'Ă©tendard de sa croix, qui marchera devant lui. Les damnĂ©s voyant leur juge ; ah! que dis-je ? voyant celui qu'ils n'ont vu que pour leur procurer le bonheur du paradis, et qui, malgrĂ© lui, se sont damnĂ©s Montagnes, s'Ă©crieront-ils, Ă©crasez-nous, arrachez-nous de la face de notre juge ; rochers, tombez-nous dessus ; ah ! de grĂące, prĂ©cipitez-nous dans les enfers ! Non, non, pĂ©cheur, avance, et viens rendre compte de toute ta vie. Avance, malheureux, qui as tant mĂ©prisĂ© un Dieu si bon. Ah ! mon juge, mon pĂšre, mon crĂ©ateur, oĂč sont mon pĂšre, ma mĂšre qui m'ont damnĂ© ? Ah ! je veux les voir ; ah ! je veux leur demander le ciel, qu'ils m'ont laissĂ© perdre. Mon pĂšre et ma mĂšre, c'est vous qui m'avez damnĂ© ; c'est vous qui ĂȘtes cause de mon malheur. Non, non, avance vers le tribunal de ton Dieu, tout est perdu pour toi. Ah ! mon juge, s'Ă©criera cette jeune fille, oĂč est ce libertin qui m'a ravi le ciel ? Non, non, avance ! il n'y a plus de secours... - tu es damnĂ©e ! plus d'espĂ©rance pour toi oui, tu es perdue ! oui, tout est perdu, puisque tu as perdu ton Ăąme et ton Dieu. Ah ! qui pourracomprendre le malheur d'un damnĂ© qui verra vis-Ă -vis de lui, c'est-Ă -dire du cĂŽtĂ© des saints, un pĂšre ou une mĂšre tout rayonnants de gloire et pour le ciel, et se voirsoi rĂ©servĂ© pour l'enfer ! Montagnes, diront ces rĂ©prouvĂ©s, arrachez-nous ; ah ! de grĂące, tombez-nous dessus ! Ah ! portes des abĂźmes, ouvrez-vous pour nous cacher ! Non, pĂ©cheur, tu as toujours mĂ©prisĂ© mes commandements mais c'est aujourd'hui que je veux te montrer que je suis ton maĂźtre. Parais devant moi avec tous tes crimes dont ta vie n'est qu'un tissu. Ah ! c'est alors, nous dit le prophĂšte ÉzĂ©chiel, que le Seigneur prendra cette grande feuille miraculeuse, oĂč sont Ă©crits et consignĂ©s tous les crimes des hommes. Combien de pĂ©chĂ©s qui n'ont jamais paru aux yeux de l'univers et qui vont paraĂźtre. Ah! tremblez, vous qui, peut-ĂȘtre depuis quinze ou vingt ans, avez accumulĂ© pĂ©chĂ©s sur pĂ©chĂ©s. Ah ! malheur Ă  vous !Alors JĂ©sus-Christ, le livre des consciences Ă  la main, appellera tous les pĂ©cheurs pour les convaincre de tous les pĂ©chĂ©s qu'ils auront commis pendant toute leur vie, d'un ton de tonnerre Ă©pouvantable. Venez, impudiques, leur dira-t-il, approchez et lisez jour par jour ; voilĂ  toutes ces pensĂ©es qui ont sali votre imagination, tous ces dĂ©sirs honteux qui ont corrompu votre coeur ; lisez et comptez vos adultĂšres, voilĂ  le lieu, le moment oĂč vous les avez commis, voilĂ  la personne avec laquelle vous avez pĂ©chĂ©. Lisez toutes vos mollesses et vos lubricitĂ©s, lisez et comptez combien vous avez perdu d'Ăąmes qui m'avaient coĂ»tĂ© si cher. Il y avait plus de mille ans que votre corps Ă©tait pourri et votre Ăąme en enfer, que votre libertinage entraĂźnait encore des Ăąmes en enfer. Voyez-vous cette femme que vous avez perdue, voyez ce mari, ces enfants et ces voisins! tous demandent vengeance, tous vous accusent que vous les avez perdus et que sans vous ils seraient pour le ciel. Venez, filles mondaines, instruments de Satan, venez et lisez tous ces soins et ces temps que vous avez employĂ©s Ă  vous parer ; comptez le nombre de mauvaises pensĂ©es et de mauvais dĂ©sirs que vous avez donnĂ©s Ă  ceux qui vous ont vues. Voyez-vous toutes les Ăąmes qui crient que c'est vous qui les avez perdues. Venez, mĂ©disants, semeurs de faux rapports, venez et lisez, voilĂ  oĂč sont marquĂ©es toutes vos mĂ©disances, vos railleries et vos noirceurs ; voilĂ  tous les troubles que vous avez fait naĂźtre, toutes les pertes et tous les maux dont votre maudite langue a Ă©tĂ© la premiĂšre malheureux, entendre en enfer les cris et les hurlements Ă©pouvantables des dĂ©mons. Venez, maudits avares, lisez et comptez cet argent et ces biens pĂ©rissables auxquels vous avez attachĂ© votre coeur, au mĂ©pris de votre Dieu, et pour lesquels vous avez sacrifiĂ© votre Ăąme. Avez-vous oubliĂ© votre duretĂ© pour les pauvres ? Le voilĂ , lisez, et comptez-le. VoilĂ  votre or et votre argent, demandez-leur maintenant du secours, dites-leur qu'ils vous tirent d'entre mes mains. Allez, maudits, crier famine dans les enfers. Venez, vindicatifs, lisez et, voyez tout ce que vous avez dit pour nuire Ă  votre prochain, comptez toutes ces injustices, comptez toutes ces pensĂ©es de haine et de vengeance que vous avez nourries dans votre coeur ; allez, malheureux, en enfer. Vous avez Ă©tĂ© rebelles mes ministres vous ont mille fois dit que si vous n'aimiez pas votre prochain comme vous-mĂȘme, il n'y avait point de pardon pour vous. Retirez-vous de moi, maudits, allez aux enfers, oĂč vous serez la victime de ma colĂšre Ă©ternelle, oĂč vous appprendrez que la vengeance n'est que pour Dieu seul. Viens, viens, ivrogne, regarde, voilĂ  jusqu'Ă  un verre de vin, jusqu'Ă  un morceau de pain que tu as arrachĂ© de la bouche de ta femme et de tes enfants; voilĂ  tous tes excĂšs, les reconnais-tu ? sont-ce bien les tiens, ou ceux de ton voisin ? VoilĂ  le nombre de nuits, de jours que tu as passĂ©s dans les cabarets, les dimanches et les fĂštes ; voilĂ , jusqu'Ă  une seule, les paroles dĂ©shonnĂȘtes que tu as dites dans ton ivresse ; voilĂ  tous les jurements, toutes les imprĂ©cations que tu as vomies ; voilĂ  tous les scandales que tu as donnĂ©s Ă  ta femme, Ă  tes enfants et Ă  tes voisins. Oui, j'ai tout Ă©crit et tout comptĂ©. Va, malheureux, t'enivrer dans les enfers du fiel de ma colĂšre. Venez, marchands, ouvriers, de quelque Ă©tat que vous soyez ; venez, rendez-moi compte jusqu'Ă  une obole de tout ce que vous avez achetĂ© et vendu ; venez, examinons ensemble si vos mesures et vos comptes sont conformes aux miens. VoilĂ , marchands, le jour oĂč vous avez trompĂ© cet enfant. VoilĂ  ce jour oĂč vous avez fait payer deux fois la mĂȘme chose. Venez, profanateurs des sacrements, voilĂ  tous vos sacrilĂšges, toutes vos hypocrisies. Venez, pĂšres et mĂšres, rendez-moi compte de ces Ăąmes que je vous ai confiĂ©es ; rendez-moi compte de tout ce qu'on fait vos enfants, vos domestiques ; voilĂ  toutes les fois que vous leur avez donnĂ© la permission pour aller dans des lieux et des compagnies oĂč ils ont pĂ©chĂ©. VoilĂ  toutes les mauvaises pensĂ©es et les mauvais dĂ©sirs que votre fille a donnĂ©s ; voilĂ  tous les embrassements et autres actions infĂąmes ; voilĂ  toutes ces paroles impures que votre fils a prononcĂ©es. Mais, Seigneur diront les pĂšres et. mĂšres, je ne le lui ai pas commandĂ©. N'importe, leur dira leur juge, les pĂ©chĂ©s de tes enfants sont les tiens. OĂč sont les vertus que tu leur as fait pratiquer ? oĂč sont les bons exemples que tu leur as donnĂ©s ou les bonnes oeuvres que tu leur as fait faire ? HĂ©las ! que vont devenir ces pĂšres et mĂšres qui voient que leurs enfants, les uns s'en vont danser, les autres dans les jeux et les cabarets, et qui vivent tranquilles. O mon Dieu, quel aveuglement ! Oh ! que de crimes dont ils vont se voir accablĂ©s dans ces terribles moments ! Oh ! que de pĂ©chĂ©s cachĂ©s qui vont ĂȘtre manifestĂ©s Ă  la face de tout l'univers ! Oh ! abĂźmes profonds des enfers, ouvrez-vous pour engloutir ces foules de preuves qui n'ont vĂ©cu que pour outrager Dieu et se me direz-vous, toutes les bonnes oeuvres que nous avons faites ne nous serviront donc de rien ? Ces jeĂ»nes, ces pĂ©nitences, ces aumĂŽnes, ces communions, ces confessions seront donc sans rĂ©compense ? Non, vous dira JĂ©sus-Christ, toutes vos priĂšres n'Ă©taient que routines, vos jeĂ»nes qu'hypocrisies, vos aumĂŽnes que vaine gloire ; votre travail n'avait point d'autre but que l'avarice et la cupiditĂ©, vos souffrances n'Ă©taient accompagnĂ©es que de plaintes et de murmures ; dans ce que vous faisiez, je n'Ă©tais pour rien. D'ailleurs je vous ai rĂ©compensĂ© par des biens temporels, j'ai bĂ©ni votre travail, j'ai donnĂ© la fertilitĂ© Ă  vos champs, enrichi vos enfants ; le peu de bien que vous avez fait, je vous en ai donnĂ© toute la rĂ©compense que vous pouviez en attendre. Mais, nous dira-t-il, vos pĂ©chĂ©s vivent encore, ils vivront Ă©ternellement devant moi ; allez, maudits, au feu Ă©ternel prĂ©parĂ© pour tous ceux qui m'ont mĂ©prisĂ© pendant leur terrible, mais infiniment juste. Quoi de plus juste ! Un pĂ©cheur qui, toute sa vie, n'a fait que se rouler dans le crime, malgrĂ© les grĂąces que le bon Dieu lui prĂ©sentait sans cesse pour en sortir ! Voyez-vous ces impies qui se raillaient de leur pasteur, qui mĂ©prisaient la parole de la vie, qui tournaient en ridicule ce que leur pasteur leur disait ? Voyez-vous ces pĂ©cheurs qui se faisaient gloire de n'avoir point de religion, qui raillaient ceux qui la pratiquaient ? les voyez-vous ces mauvais chrĂ©tiens qui avaient si souvent Ă  la bouche ces horribles blasphĂšmes, qui disaient qu'ils trouvaient encore le pain bien bon et qu'ils n'avaient pas besoin de la confession ? Voyez-vous ces incrĂ©dules qui nous disaient que, quand nous Ă©tions morts, tout Ă©tait fini ? Voyez-vous leur dĂ©sespoir, les entendez-vous avouer leur impiĂ©tĂ© ? les entendez-vous crier misĂ©ricorde ? Mais tout est fini, vous n'avez plus que l'enfer pour partage. Voyez-vous cet orgueilleux qui raillait et mĂ©prisait tout le monde ? le voyez-vous abĂźmĂ© dans son coeur, condamnĂ© pour une Ă©ternitĂ© sous les pieds des dĂ©mons ? Voyez-vous cet incrĂ©dule qui disait qu'il n'y a ni Dieu ni enfer ? Le voyez-vous avouer Ă  la face de tout l'univers qu'il y a un Dieu qui le juge et un enfer oĂč il va ĂȘtre prĂ©cipitĂ© pour ne jamais en sortir ? Il est vrai que Dieu donnera la libertĂ© Ă  tous les pĂ©cheurs de donner leurs raisons et leurs excuses pour se justifier, s'ils le peuvent. Mais, hĂ©las! que pourra dire un criminel qui ne voit que crime et qu'ingratitude ? HĂ©las ! tout ce que pourra dire un pĂ©cheur dans ce moment malheureux ne servira qu'Ă  montrer davantage son impiĂ©tĂ© et son sans doute, M. F., ce qu'il y aura de plus effrayant dans ce terrible moment; ce sera quand nous verrons que Dieu n'a rien Ă©pargnĂ© pour nous sauver ; qu'il nous a fait part des mĂ©rites infinis de sa mort sur la croix; qu'il nous a fait naĂźtre dans le sein de son Église ; qu'il nous a donnĂ© des pasteurs pour nous montrer et nous enseigner tout ce que nous devions faire pour ĂȘtre heureux. Il nous adonnĂ© les sacrements pour nous faire recouvrer son amitiĂ© toutes les fois que nous l'avions perdue, il n'a point mis de bornes au nombre des pĂ©chĂ©s qu'il voulait nous pardonner; si notre retour Ă©tait sincĂšre, nous sommes sĂ»rs de notre pardon. Il nous a attendu nombre d'annĂ©es quoique nous ne vivions que pour l'outrager; il ne voulait pas nous perdre ou plutĂŽt il voulait absolument nous sauver ; et nous n'avons pas voulu ! C'est nous-mĂȘmes qui le forçons par nos pĂ©chĂ©s de lui faire porter une sentence de rĂ©probation Ă©ternelle Allez, maudits enfants, allez trouver celui que vous avez imitĂ© pour moi, je ne vous reconnais pas, sinon pour vous Ă©craser de toutes les fureurs de ma colĂšre nous dit le Seigneur par un de ses prophĂštes, venez, hommes, femmes, riches et pauvres, pĂ©cheurs, qui que vous soyez, de quelque Ă©tat et condition que vous soyez, dites tous ensemble, dites vos raisons et moi je dirai les miennes. Entrons en jugement, pesons tout au poids du sanctuaire. Ah ! terrible moment pour un pĂ©cheur, qui, de quelque cĂŽtĂ© qu'il considĂšre sa vie, ne voit que pĂ©chĂ© et point de bien. Mon Dieu ! que va-t-il devenir! Dans ce monde, le pĂ©cheur a toujours quelque excuse a allĂ©guer Ă  tous les pĂ©chĂ©s qu'il a commis ; il porte mĂȘme son orgueil jusqu'au tribunal de la pĂ©nitence, oĂč il ne devrait paraĂźtre que pour s'accuser lui-mĂȘme et se condamner. Les uns, c'est l'ignorance ; les autre, les tentations trop violentes ; enfin d'autres, les occasions et les mauvais exemples voilĂ , tous les jours, les raisons que donnent les pĂ©cheurs pour cacher la noirceur de leurs crimes. Venez, pĂ©cheurs orgueilleux, voyons si vos excuses seront bien reçues au jour du jugement, et expliquez-vous avec celui qui a le flambeau Ă  la main, qui a tout vu, et tout comptĂ©, et tout pesĂ©. Vous ne saviez pas, dites-vous, que cela Ă©tait un pĂ©chĂ© ! Ah ! malheureux, vous dira JĂ©sus-Christ, si vous Ă©tiez nĂ© parmi les nations idolĂątres qui n'ont jamais entendu parler du vrai Dieu, vous pourriez encore un peu vous excuser sur votre ignorance ; mais, vous, chrĂ©tien, qui avez eu le bonheur de naĂźtre dans le sein de mon Église, d'ĂȘtre Ă©levĂ© au centre de la lumiĂšre, vous Ă  qui l'on parle de votre bonheur Ă©ternel ? DĂšs votre enfance, on vous apprenait tout ce qu'il fallait faire pour vous le procurer, vous que jamais l'on ne cessa d'instruire, d'exhorter et de reprendre, vous osez vous excuser sur votre ignorance. Ah ! malheureux, si vous viviez dans l'ignorance, c'Ă©tait bien parce que vous n'aviez pas voulu vous instruire ; c'Ă©tait bien parce que vous n'aviez pas voulu profiter des instructions ou que vous les aviez fuies. Allez, malheureux ? allez, vos excuses ne vous rendent encore que plus digne de malĂ©dictions ! Allez, maudit enfant, dans les enfers y brĂ»ler avec votre dira un autre, mes passions Ă©taient bien vives et ma faiblesse Ă©tait bien grande. Mais, leur dira le Seigneur, puisque Dieu Ă©tait si bon que de vous faire connaĂźtre vos faiblesses, et que vos pasteurs vous disaient qu'il fallait continuellement veiller sur vous-mĂȘme, vous mortifier, si vous vouliez les dompter pourquoi faisiez-vous donc tout le contraire ? pourquoi preniez-vous tant de soins de contenter votre corps et vos plaisirs ? Dieu vous faisait connaitre votre faiblesse et vous tombiez Ă  chaque instant ? Pourquoi n'aviez-vous donc pas recours Ă  Dieu pour lui demander sa grĂące ? pourquoi n'Ă©coutiez-vous pas vos pasteurs qui ne cessaient de vous exhorter Ă  demander les grĂąces et les forces dont vous aviez besoin pour vaincre le dĂ©mon ? Pourquoi avez-vous eu tant d'indiffĂ©rence et de mĂ©pris pour les sacrements, oĂč vous aviez tant de grĂąces, de force, pour faire le bien et Ă©viter le mal ? pourquoi avez-vous donc si souvent mĂ©prisĂ© la parole de Dieu qui vous aurait guidĂ© dans le chemin que vous deviez prendre pour aller Ă  lui ? Ah ! pĂ©cheurs ingrats et aveugles, tous ces biens Ă©taient Ă  votre disposition, vous pouviez vous en servir comme tant d'autres. Qu'avez-vous fait pour vous empĂȘcher de tomber dans le pĂ©chĂ© ? Et c'est que vous n'avez priĂ© que par routine ou habitude. Allez, malheureux ! Plus vous aviez connu votre faiblesse, plus vous deviez avoir recours Ă  Dieu qui vous aurait soutenu et aidĂ© Ă  opĂ©rer votre salut. Allez, maudit, vous n'en ĂȘtes que plus il y a tant d'occasions de pĂ©cher, dira encore un autre. Mon ami, je connais trois sortes d'occasions qui peuvent nous porter au pĂ©chĂ©. Tous les Ă©tats ont leurs dangers. Je dis qu'il y en a trois sortes celles oĂč nous sommes nĂ©cessairement exposĂ©s par les devoirs de notre Ă©tat, celles que nous rencontrons sans les chercher, et celles oĂč nous nous engageons sans nĂ©cessitĂ©. Si celles oĂč nous nous engageons sans nĂ©cessitĂ© ne nous serviront point d'excuses, ne cherchons pas Ă  excuser un pĂ©chĂ© par un autre pĂ©chĂ©. Vous avez entendu chanter une mauvaise chanson, dites-vous ; vous avez entendu une mĂ©disance ou une calomnie, et pourquoi ĂȘtes-vous allĂ©s dans cette maison ou cette compagnie ? pourquoi frĂ©quentez-vous ces personnes sans religion ? Ne savez-vous pas que celui qui s'expose au danger est coupable et y pĂ©rira ? Celui qui tombe sans s'exposer se relĂšve aussitĂŽt et sa chute le rend encore plus vigilant et plus sage. Mais ne voyez-vous pas que Dieu, qui nous a promis son secours dans nos tentations, ne nous l'a pas promis lorsque nous avons la tĂ©mĂ©ritĂ© de nous exposer de nous-mĂȘme. Allez, malheureux vous avez cherchĂ© vous-mĂȘme Ă  vous perdre ; vous mĂ©ritez l'enfer qui est rĂ©servĂ© aux pĂ©cheurs comme me direz-vous, l'on a continuellement de mauvais exemples devant les yeux. Vous avez de mauvais exemples, quelle frivole excuse ! Si vous en avez de mauvais, n'en avez-vous pas aussi de bons ? Pourquoi n'avez-vous pas plutĂŽt suivi les bons que les mauvais ? Lorsque vous voyiez aller cette jeune fille Ă  l'Ă©glise, Ă  la table sainte, pourquoi ne la suiviez-vous pas plutĂŽt que celle qui allait aux danses ? Lorsque ce jeune homme venait Ă  l'Ă©glise pour y adorer JĂ©sus-Christ dans son tabernacle, pourquoi n'avez-vous pas plutĂŽt suivi ses traces que celles de celui qui allait au cabaret ? Dites plutĂŽt, pĂ©cheur, que vous aviez mieux aimĂ© suivre la voie large qui vous a conduit dans ce malheur oĂč vous vous trouvez, que dans le chemin que le Fils de Dieu Ă  tracĂ© lui-mĂȘme. La vraie cause de vos chutes et de votre rĂ©probation ne vient donc ni des mauvais exemples, ni des occasions, ni de vos faiblesses, ni des grĂąces qui vous manquaient ; mais seulement des mauvaises dispositions de votre coeur que vous n'avez pas voulu rĂ©primer. Si vous avez fait le mal, c'est parce que vous l'avez bien voulu. Votre perte ne vient donc uniquement que de me direz-vous l'on nous avait toujours dit, que Dieu Ă©tait bon. Il est vrai qu'il est bon, mais il est jute ; sa bontĂ© et sa misĂ©ricorde sont passĂ©es pour vous il n'y a plus que sa justice et sa vengeance. HĂ©las ! M. F., nous qui avons tant de rĂ©pugnance pour nous confesser, si, cinq minutes avant ce grand jour, Dieu nous donnait des prĂȘtres pour confesser nos pĂ©chĂ©s, afin qu'il fussent effacĂ©s, hĂ©las ! avec quel empressement n'en profiterions-nous pas ? ce qui ne nous sera jamais accordĂ© en ce moment de dĂ©sespoir. Le roi Bogoris fut bien plus sage que nous. Ayant Ă©tĂ© instruit par un missionnaire de la religion catholique, mais retenu encore par les faux plaisirs du monde, par un effet de la providence de Dieu, un peintre chrĂ©tien Ă  qui il avait donnĂ© commission de peindre dans son palais la chasse la plus terrible aux bĂȘtes farouche, lui peignit au contraire le jugement dernier, le monde tout en feu, JĂ©sus-Christ au milieu des tonnerres et des Ă©clairs, l'enfer dĂ©jĂ  ouvert, pour engloutir les damnĂ©s, avec des figures si Ă©pouvantables que le roi resta immobile. Revenu Ă  lui-mĂȘme, il se rappela de ce que ce missionnaire lui avait dit, pour Ă©viter les horreurs de ce moment-lĂ  oĂč le pĂ©cheur ne peut avoir que le dĂ©sespoir pour partage, et renonçant de suite Ă  tous ses plaisirs, il passa le reste de sa vie dans la pĂ©nitence et les ! M. F., si ce prince ne s'Ă©tait pas converti, il serait Ă©galement mort, il aurait quittĂ© tous ses biens et ses plaisirs, il est vrai, un peu tard ; mais, mourant, depuis bien des siĂšcles, ils auraient passĂ© Ă  d'autres. Il serait en enfer qui brĂ»lerait pour jamais, tandis qu'il est dans le ciel pour une Ă©ternitĂ© et qu'il est content, en attendant ce grand jour, de voir que tous ses pĂ©chĂ©s lui sont pardonnĂ©s et qu'ils ne reparaĂźtront jamais, ni aux yeux de Dieu, ni aux yeux des fut cette pensĂ©e bien mĂ©ditĂ©e par saint JĂ©rĂŽme qui lui porta Ă  tant de rigueurs sur son corps et Ă  tant verser de larmes. Ah ! s'Ă©criait-il dans cette vaste solitude, il me semble que j'entends, Ă  chaque instant, cette trompette qui doit rĂ©veiller tous les morts, m'appeler au tribunal de mon juge. Cette mĂȘme pensĂ©e faisait trembler un David sur son trĂŽne, un Augustin au milieu de ses plaisirs, malgrĂ© tout les efforts qu'il faisait pour Ă©touffer cette pensĂ©e, qu'un jour il serait jugĂ©. Il disait de temps en temps Ă  son ami Alipe Ah ! cher ami, un jour viendra que nous paraĂźtrons tous devant le tribunal de Dieu pour y recevoir la rĂ©compense du bien ou le chĂątiment du mal que nous aurons fait, pendant notre vie ; quittons, mon cher ami, lui disait-il, la route du crime pour celle qu'ont suivie tous les saints. PrĂ©parons-nous Ă  ce jour dĂšs l'heure Jean Climaque nous rapporte qu'un solitaire quitta son monastĂšre pour passer dans un autre pour y faire plus de pĂ©nitence. La premiĂšre nuit, il fut citĂ© au tribunal de Dieu qui lui montra qu'il Ă©tait redevable envers sa justice de cent livres d'or. HĂ©las ! Seigneur, s'Ă©cria-t-il, que vais-je faire pour les acquitter ? Il demeura trois ans dans ce monastĂšre, oĂč Dieu permit qu'il fĂ»t mĂ©prisĂ© et mal traitĂ© de tous les autres, au point qu'il semble que personne ne pouvait le souffrir. Notre Seigneur lui apparut une deuxiĂšme fois en lui disant qu'il n'avait encore acquittĂ© qu'un quart, de sa dette. Ah ! Seigneur, s'Ă©cria-t-il, que faut-il donc que je fasse pour me justifier ? Il contrefit le fou pendant treize ans, faisant tout ce qu'on voulait ; on le traitait durement., comme une bĂȘte de somme. Le bon Dieu lui apparut une troisiĂšme fois en lui disant qu'il en avait la moitiĂ©. Ah ! Seigneur, puisque je l'ai voulu, je dois souffrir pour pouvoir payer votre justice. Ah ! mon Dieu ! n'attendez pas que mes pĂ©chĂ©s soient punis aprĂšs le jugement. Saint Jean Climaque nous rapporte un trait qui fait frĂ©mir. Il y avait, nous dit-il, un solitaire qui, depuis quarante ans, pleurait ses pĂ©chĂ©s au fond d'un bois. La veille de sa mort, tout Ă  coup, hors de lui-mĂȘme, ouvrant les yeux, regardant Ă  droite et Ă  gauche de son lit, comme s'il eĂ»t vu quelqu'un qui lui demandait compte de sa vie, il rĂ©pondait d'une voix tremblante Oui, j'ai commis ce pĂ©chĂ©, mais je l'ai confessĂ© et j'en ai fait pĂ©nitence pendant tant d'annĂ©es jusqu'Ă  ce que le bon Dieu m'a pardonnĂ©. Tu as commis aussi ce pĂ©chĂ©, lui disait cette voix. Non, lui rĂ©pondit le solitaire, je ne l'ai pas commis. Avant de mourir on l'entendit crier Mon Dieu, mon Dieu, ĂŽtez, ĂŽtez, s'il vous plaĂźt, mes pĂ©chĂ©s de devant vos yeux, je ne peux plus y tenir. HĂ©las ! qu'allons-nous devenir, si le dĂ©mon reproche mĂȘme les pĂ©chĂ©s que nous n'avons pas commis, nous qui sommes tout couverts de pĂ©chĂ©s et qui n'avons point fait de pĂ©nitence ; hĂ©las! Ă  quoi nous attendre pour ce terrible moment ? si les saints sont Ă  peine rassurĂ©s, qu'allons-nous devenir ?Que devons-nous conclure de tout cela, M. F., ? Le voici C'est qu'il ne faut jamais perdre de vue que nous serons jugĂ©s un jour sans misĂ©ricorde, et que tous nos pĂ©chĂ©s paraĂźtront aux yeux de tous l'univers ; et, qu'aprĂšs ce jugement, si nous nous trouvons dans ces pĂ©chĂ©s, nous irons les pleurer dans les enfers sans pouvoir ni les effacer, ni les oublier. Oh ! que nous sommes aveugle, mes frĂšres, si nous ne profitons du peu de temps qui nous reste Ă  vivre pour nous assurer le ciel. Si nous sommes pĂ©cheurs, nous avons l'espĂ©rance du pardon au lieu que si nous attendons alors, il n'y aura plus de ressources. Mon Dieu ! faites-rnoi la grĂące de ne jamais perdre le souvenir de ce moment terrible, surtout lorsque je serai tentĂ©, pour ne pas me laisser succomber ; afin qu'en ce jour nous entendions ces douces paroles sorties de la bouche du Sauveur Venez, les bĂ©nis de mon PĂšre, possĂ©der le royaume qui vous est prĂ©parĂ© depuis le commencement du monde. »1 Le Saint CurĂ© d'Ars n'Ă©crit jamais que les initiales de cette expres​sionM. F.. comnme on peut le voir dans le fac simile conservons dans la suite son abrĂ©vation. les litanies du Saint CurĂ© d'Ars, Oeuvres du Saint CurĂ© d'Ars DU 4 AOÛT JĂ©sus MisĂ©ricordieux vous bĂ©nisseami de la MisĂ©ricorde 4 aoĂ»t Saint Jean-Baptiste-Marie Vianney Page 1 sur 1 Sujets similaires» 4 aoĂ»t Saint Jean-Baptiste-Marie Vianney» 4 aoĂ»t Saint Jean-Baptiste-Marie Vianney» 4 aoĂ»t Saint Jean-Baptiste-Marie Vianney» 4 aoĂ»t Saint Jean Marie Vianney» Saint CurĂ© d'ARS - Saint Jean-Marie de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Forum Catholique LE MONASTÈRE INTÉRIEUR. LES FORUMS CHRÉTIENS LES SAINTS DU vers
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Change ta vibration, Change ta vie... AccĂ©der Ă  l'espace de rĂ©glement Cliquez sur le boutons ci-dessous L'Ateliers est proposĂ© Ă  37 € Paypal ou CB Ci-dessous les dĂ©tails de vos Ateliers Les Ateliers se passent en direct sur Internet aux dates ci-dessous ou en replay si ces dates sont dĂ©passĂ©es. Vous pouvez rĂ©server Ă  tout moment et vous accĂ©dez immĂ©diatement Ă  votre espace privĂ© ou sont stockĂ© les replays et les documents en tĂ©lĂ©chargement. Vous accĂ©dez Ă  cet espace 24h/24 et 7jrs/7 DĂ©coder les maux du corps pour entendre les mots de l'Ăąme Philippe David Stellaire Dans cet atelier, Marie nous guidera sur le chemin de l’acceptation, du pardon et de l’Amour de nous-mĂȘmes. Et Djwal Khul nous apprendra Ă  nous faire suffisamment confiance et Ă  trouver la force de vivre une profonde rĂ©conciliation. Ils seront tous deux le reflet de l’équilibre yin-yang qui permet d’incorporer la douceur et le courage nĂ©cessaire afin de transcender nos Ă©preuves. Et par la puissance du Verbe, nous identifierons les causes de nos maux physiques qui mĂšneront Ă  la guĂ©rison. Atelier N°1 Mardi 17 DĂ©cembre Ă  20H30 DĂ©coder les maux du corps pour entendre les mots de l'Ăąme Dans cet atelier, Marie nous guidera sur le chemin de l’acceptation, du pardon et de l’Amour de nous-mĂȘmes. Et Djwal Khul nous apprendra Ă  nous faire suffisamment confiance et Ă  trouver la force de vivre une profonde rĂ©conciliation. Ils seront tous deux le reflet de l’équilibre yin-yang qui permet d’incorporer la douceur et le courage nĂ©cessaire afin de transcender nos Ă©preuves. Et par la puissance du Verbe, nous identifierons les causes de nos maux physiques qui mĂšneront Ă  la guĂ©rison. Points vus et dĂ©veloppĂ©s lors de cet Ateliers 1- Identifier les racines de nos mal-ĂȘtres 2- Faire de nos Ă©preuves des chances 3- S’écouter, se pardonner et avancer libre 4- Vivre une nouvelle santĂ© par le Verbe Les Ateliers se passent en direct sur Internet aux dates ci-dessous ou en replay si ces dates sont dĂ©passĂ©es. Vous pouvez rĂ©server Ă  tout moment et vous accĂ©dez immĂ©diatement Ă  votre espace privĂ© ou sont stockĂ© les replays et les documents en tĂ©lĂ©chargement. Vous accĂ©dez Ă  cet espace 24h/24 et 7jrs/7 AccĂ©der Ă  l'espace de rĂ©glement Cliquez sur le boutons ci-dessous L'Ateliers est proposĂ© Ă  37 € Paypal ou CB
Les maux du corps sont les mots de l’ñme. Ainsi on ne doit pas guĂ©rir le corps sans chercher Ă  guĂ©rir l’ñme. » Platon (428-348 av. J.C.) Liens santĂ©. Le cerveau Ă  tous les niveaux; Manger Bouger; Liens ostĂ©opathie . ATSA Ecole ostĂ©opathie; Approche tissulaire; Bruno Ducoux D.O. DĂ©codage biologique . Sens bio-logique des symptĂŽmes; Sens biologique; BiodĂ©codage;
Lesodeurs sont un signe de reconnaissance du monde extérieur et jouent un rÎle de résonance dans notre psychisme. On dit couramment de quelqu'un "qu'on ne peut pas le sentir" quand il s'agit d'une personne qu'on n'aime pas ou sur laquelle on a des doutes. On dira d'une affaire douteuse "qu'elle sent mauvais". Ces expressions se concrétisent dans certaines affections EcvDnUT.
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  • les maux du corps sont les cris de l Ăąme